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L’ONUSIDA salue la nomination du nouveau Coordonnateur pour les Etats-Unis de la lutte mondiale contre le sida


Genève, 28 avril 2009 – Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue l’annonce par le Président des Etats-Unis Barack Obama de la nomination du Dr Eric Goosby en tant que nouveau Coordonnateur de la lutte mondiale contre le sida.

Le Dr Goosby a plus de 25 ans d’expérience dans les questions liées au sida. Son expérience va de ses premières années passées à traiter des patients lors de l’apparition du sida, à son engagement au plus haut niveau du leadership politique.

« Le Dr Goosby est un leader solide et efficace de l’action contre le sida aux Etats-Unis et sur le plan international, » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Il a été aux avant-postes de l’épidémie et sait ce qui fonctionne au niveau des pays. Je me réjouis de collaborer étroitement avec lui et avec l’Administration Obama pour réaliser nos objectifs communs consistant à accélérer l’accès à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui en matière de VIH. »

Avec plus de 33 millions de personnes vivant avec le VIH à travers la planète, l’appui mondial pour le sida n’a jamais été aussi important.


L’ONUSIDA salue la nomination du nouveau Coordonn

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L’ONUSIDA se déclare préoccupé par la décision de l’Assemblée nationale burundaise de criminaliser les relations homosexuelles


GENÈVE, 27 avril 2009 – Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) regrette la décision de l’Assemblée nationale burundaise de criminaliser les relations homosexuelles et se déclare préoccupé à ce sujet.

L’ONUSIDA avait bon espoir qu’une telle loi ne soit pas promulguée puisqu’en février dernier, les sénateurs burundais avaient massivement rejeté un amendement du code pénal qui comprenait des dispositions prévoyant l’emprisonnement des personnes ayant des rapports sexuels avec des personnes de même sexe.
 
« La décision de criminaliser les relations homosexuelles est une grave régression pour la riposte au sida au Burundi et pour les droits des personnes visées par cette loi », a déclaré Michel Sidibé, le Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Étant donné que ces lois de caractère discriminatoire poussent les gens à vivre dans la clandestinité, elles auront un effet négatif tant sur l’offre de programmes de prévention du VIH que sur l’accès au traitement des personnes vivant avec le VIH. »
 
Des faits indiquent que, s’agissant des lesbiennes, des personnes transsexuelles et des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, la protection de leurs droits, tant dans la législation que dans la pratique, et l’intensification des programmes visant à répondre à leurs besoins en matière de VIH et de santé constituent, si elles vont de pair, des composantes indispensables et complémentaires d’une riposte efficace à l’épidémie.

Dans la Déclaration politique sur le VIH/sida adoptée par les Nations Unies en 2006, les États se sont engagés à faire tomber les obstacles juridiques à la riposte au sida et à voter des lois protégeant les populations vulnérables. Toutefois, plus de 80 pays sont toujours dotés d’une législation prohibant les comportements homosexuels.

L’ONUSIDA exhorte les gouvernements à prendre des mesures visant à éliminer la stigmatisation et la discrimination auxquelles doivent faire face les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les lesbiennes et les personnes transsexuelles, et à créer des contextes sociaux et juridiques garantissant le respect des droits de l’homme et l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui dans le domaine du VIH.


L’ONUSIDA se déclare préoccupé par la décision de

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L'ONUSIDA accueille avec satisfaction la libération au Sénégal de neuf hommes emprisonnés en raison de leur orientation sexuelle


SENEGAL/GENEVE, 20 avril 2009 – L'ONUSIDA accueille avec satisfaction la décision prise par la cour d'appel de Dakar de libérer neuf membres d'une organisation de sensibilisation au problème du sida, emprisonnés depuis décembre 2008.  
Les neufs hommes avaient été condamnés en janvier 2009 pour actes contre-nature et création d'une association de malfaiteurs, selon les termes employés par les tribunaux sénégalais.

L'annonce de cette libération fait suite à un appel soutenu par des organisations de la société civile, le secteur public et certains partenaires, notamment l'ONUSIDA, le PNUD, l'Ambassade de France et l'Ambassade de Suède représentant l'Union européenne, tous ayant collaboré pour arriver à la libération des détenus depuis leur incarcération l'année dernière.

L'ONUSIDA a exhorté tous les gouvernements à prendre des mesures visant d'une part, à éliminer la stigmatisation et la discrimination à l'égard des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et d'autre part, à créer un environnement social et juridique garantissant le respect des droits de l'homme.

« L'homophobie et la criminalisation fondée sur l'orientation sexuelle des individus ne font que renforcer l'épidémie de sida », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « J'accueille aujourd'hui avec satisfaction la décision prise par la cour d'appel de libérer ces hommes. Nous exhortons le Sénégal à prendre des mesures afin que disparaissent de telles lois qui compromettent la riposte au sida. »

Les droits des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes doivent être protégés ; en outre, la question de la stigmatisation et de la discrimination doit être abordée, en amendant les lois qui interdisent certains actes sexuels entre adultes consentants dans la sphère privée, en renforçant la lutte contre les discriminations, en assurant des services de conseil juridique et en soutenant des campagnes sur le thème de l'homophobie. La capacité des pays à réaliser leurs objectifs en matière d'accès universel à l'horizon 2010 sera fortement compromise en l'absence de telles mesures.


L'ONUSIDA accueille avec satisfaction la libérati

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L’ONUSIDA encourage la prévention du VIH en association pour atteindre les objectifs de l’accès universel


GENÈVE, 18 mars 2009 – La priorité absolue de l’ONUSIDA est l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui dans le domaine du VIH.

On compte chaque jour plus de 7 400 nouvelles infections à VIH. Le monde ne peut pas enrayer l’épidémie de sida s’il ne les empêche pas de survenir. Les pays doivent connaître leur épidémie et y adapter leur riposte. L’ONUSIDA préconise et encourage des approches complètes de la prévention du VIH par des stratégies d’association.

Les préservatifs sont un élément essentiel de la prévention en association, qui comprend aussi notamment l’accès à l’information sur le VIH, l’accès au traitement, les mesures de réduction des risques, le report de l’activité sexuelle, la fidélité, la diminution du nombre de partenaires et de relations simultanées, la circoncision, la jouissance des droits de l’homme et la réduction de la stigmatisation.

Les pays doivent avoir recours à l’ensemble des stratégies et des méthodes existantes qui reposent sur des données concrètes et sont fondées sur les droits de l’homme. Comme cela est indiqué dans le dernier Rapport sur l’épidémie mondiale de sida de l’ONUSIDA, la forte intensification des efforts en matière de prévention et de traitement dans le domaine du VIH  produit actuellement des résultats dans plusieurs pays.

Dans certains des pays les plus touchés par le VIH, l’utilisation du préservatif augmente chez les jeunes qui ont des partenaires multiples. Parmi ces pays figurent le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Ghana, Haïti, le Kenya, le Malawi, la Namibie, l’Ouganda, la Tanzanie, le Tchad et la Zambie.

Une approche de la prévention du VIH fondée sur un seul élément n’est pas efficace et peut entraver la riposte au sida. Il n’existe pas de « solution miracle » pour la prévention du VIH. Les pays doivent s’appuyer sur un mélange d’actions et de tactiques comportementales, biomédicales et structurelles de prévention du VIH, adapté à la réalité de leur épidémie et aux besoins de ceux qui sont le plus exposés au risque, à l’instar du traitement antirétroviral, qui, par une association et un dosage appropriés de médicaments, sauve actuellement des millions de vies.

L’ONUSIDA travaille avec des partenaires, des gouvernements et la société civile, en particulier des réseaux de personnes vivant avec le VIH, le secteur privé et des groupes d’inspiration religieuse, pour permettre aux pays d’atteindre l’accès universel à des services complets de prévention, de traitement, de soins et d’appui dans le domaine du VIH.




L’ONUSIDA encourage la prévention du VIH en assoc

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Les droits des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes confirmés par les sénateurs du Burundi


GENEVE, le 18 février 2009— L'ONUSIDA accueille avec satisfaction la décision prise par le Sénat burundais de rejeter un projet de loi visant à criminaliser l'homosexualité. Les sénateurs burundais ont massivement rejeté un amendement du code pénal qui comprenait des dispositions prévoyant l'emprisonnement des personnes ayant des rapports sexuels avec des personnes de même sexe.

« En rejetant cet amendement, les sénateurs burundais ont protégé les droits humains de leur peuple », a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Ils ont également établi un principe moral incitant les législateurs du monde entier à suivre leur exemple dans l'élimination des obstacles à la riposte au sida. »

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Dans la Déclaration politique des Nations Unies sur le VIH/sida de 2006, les états se sont engagés à faire tomber les obstacles juridiques à la riposte au sida et à voter des lois protégeant les populations vulnérables. Les pays dans lesquels il n'existe pas de lois discriminatoires à l'encontre des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, des consommateurs de drogues injectables ou des professionnel(le)s du sexe, sont les pays qui assurent un meilleur accès aux services de prévention, de traitement et de prise en charge médico-sociale du VIH.


Les droits des hommes ayant des rapports sexuels

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L’ONUSIDA et une large coalition travaillent pour faire libérer neuf hommes ayant eu des rapports sexuels avec des hommes au Sénégal qui ont été déclarés coupables et emprisonnés


GENEVE, 15 janvier 2009 – L’ONUSIDA déplore l’arrestation et l’incarcération de neuf membres de l’association ‘AIDES Sénégal’ depuis le 22 décembre 2008. Le 6 janvier 2009, ils ont été jugés devant un tribunal au Sénégal et condamnés pour des actes contre nature et la création d’une association de criminels. L’affaire est actuellement en appel.

Une coalition réunissant des organisations de la société civile, du secteur public et des partenaires tels que l’ONUSIDA, le PNUD, l’Ambassade de France et l’Ambassade de Suède représentant l’Union européenne travaille pour obtenir la libération des détenus.

« Il n’y a pas de place pour l’homophobie. L’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui en rapport avec le VIH doit être ouvert au Sénégal à toutes les personnes qui en ont besoin, y compris les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes » a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Cela ne pourra avoir lieu que si les hommes reconnus coupables sont libérés et si des mesures sont prises pour restaurer la confiance avec les communautés affectées ».

L’homophobie et la criminalisation d’un comportement sexuel entre adultes consentants représentent des obstacles majeurs à des ripostes efficaces contre le VIH. Ces ripostes dépendent de la protection de la dignité et des droits de tous ceux qui sont affectés par le virus, y compris leurs droits et leur capacité à organiser et éduquer leurs communautés, plaider en leur nom et avoir accès aux services de prévention et de traitement du VIH.
L’ONUSIDA prie instamment les pouvoirs publics du Sénégal de prendre des mesures pour éliminer la stigmatisation et la discrimination auxquelles les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sont confrontés et pour créer un environnement juridique habilitant pour eux et les organisations qui travaillent avec eux afin de protéger leurs droits et d’accroître leur accès aux services de prévention, de traitement, de soins et d’appui en rapport avec le VIH. Si l’on n’y parvient pas, le Sénégal risque de ne pas atteindre l’objectif d’accès universel d’ici à 2010.

L’ONUSIDA souhaiterait que l’on crée un environnement social et juridique qui garantit le respect des droits de la personne. Le Programme commun recommande que la loi pénale interdisant les actes sexuels en privé entre adultes consentants soit réexaminée dans l’objectif d’être abrogée.

L’ONUSIDA invite instamment les autorités sénégalaises à prendre les mesures juridiques nécessaires pour libérer les neuf détenus.


Contact : Sophie Barton-Knott | tel. +41 22 791 1697 | bartonknotts@unaids.org

L’ONUSIDA et une large coalition travaillent pour

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La criminalisation des comportements sexuels et de la transmission du VIH entrave les ripostes au sida


Geneva, 27 novembre 2008— La criminalisation des comportements sexuels adultes et la violation des droits humains des personnes vivant avec le VIH entravent les activités de lutte contre le VIH dans le monde. L’ONUSIDA presse les pays à supprimer les lois et politiques qui empêchent les individus d’accéder aux programmes de prévention et de traitement du VIH et d’adopter des lois qui protègent les personnes vivant avec le VIH de la coercition et des atteintes à leur vie privée.

Récemment, plusieurs pays et organismes locaux se sont mis à envisager des mesures juridiques telles que la criminalisation de l’homosexualité, le recours à la technologie pour surveiller les mouvements des personnes vivant avec le VIH et le dépistage obligatoire du VIH ainsi que la réinsertion forcée des professionnel(le)s du sexe et des toxicomanes. Ce type de mesures a un effet négatif sur le fonctionnement des programmes de prévention du VIH et sur l’accès aux traitements des personnes vivant avec le VIH. Non contentes de violer les droits humains des individus, elles stigmatisent davantage encore ces populations.

« L’homophobie, sous toutes ses formes est l’un des principaux facteurs qui, à l’échelle mondiale, nous empêchent de mettre un terme à cette épidémie, » a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, le Dr Peter Piot. « Tant que les communautés, les ONG, les gouvernements et les organisations internationales ne respecteront ni n’encourageront les droits de toutes les personnes, quelle que soit leur sexualité, nous ne pourrons pas stopper le sida. »

Les restrictions visant les personnes vivant avec le VIH, qu’elles consistent à limiter leur capacité à voyager, à surveiller leurs mouvements ou à criminaliser la transmission du VIH, ne sont pas toutes fondées sur des pratiques rationnelles de santé publique. Elles risquent de marginaliser les personnes vivant avec le VIH et de faciliter plus encore la transmission du VIH.

Les lois qui réduisent la stigmatisation et la discrimination, protègent l’intimité et encouragent l’égalité sexospécifique et sexuelle contribuent à sauver des vies. On ne relève que 26% des pays indiquant disposer de lois qui protègent les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes. Actuellement, 84 pays dans le monde ont des lois interdisant les rapports sexuels avec des personnes de même sexe.

Dans la déclaration politique sur le VIH/sida de 2006, les gouvernements se sont engagés à supprimer ces obstacles juridiques et à passer des lois susceptibles de protéger les populations vulnérables. Ce sont les pays qui n’appliquent aucune loi à l’encontre des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, des consommateurs de drogues injectables et des professionnel(le)s du sexe qui ont atteint, dans leurs activités de prévention du VIH, des taux de couverture plus élevés.

Pour contacter l’ONUSIDA : Mallory Smuts | +41 22 7911697, email: smutsm@unaids.org

About UNAIDS

L’ONUSIDA est une entreprise conjointe innovante des Nations Unies qui rassemble les efforts et les ressources du Secrétariat de l’ONUSIDA et de dix organisations du système des Nations Unies dans leur riposte au sida. Le siège du Secrétariat est à Genève (Suisse) – le personnel est présent sur le terrain dans plus de 80 pays. Des groupes thématiques des Nations Unies assurent la cohérence de l’action des programmes conjoints sur le sida au niveau des pays. Les organismes coparrainants de l’ONUSIDA comprennent le HCR, l’UNICEF, le PAM, l’UNFPA, l’ONUDC, le BIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Visitez le site de l’ONUSIDA sur www.unaids.org


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Le Dr Piot dirigera le nouvel Institut pour la santé mondiale de l’Imperial College à Londres


Genève, 17 octobre 2008 - L’ONUSIDA félicite le Dr Peter Piot à l’occasion de sa nomination au poste de premier Directeur du nouvel Institut pour la santé mondiale de l’Imperial College à Londres. Il prendra la tête des recherches entreprises par l’institut pour trouver des solutions de grande portée aux problèmes de santé qui frappent les populations défavorisées dans le monde entier.

Les priorités de l’institut consisteront à coordonner les travaux entrepris pour combattre les maladies infectieuses tant anciennes que nouvelles, dont le sida, la tuberculose, le paludisme et les maladies tropicales négligées, qui restent des causes importantes de décès à l’échelle mondiale, en particulier dans les pays les plus démunis. Elles porteront également sur les maladies chroniques telles que le diabète, les maladies cardio-vasculaires et le cancer, qui commencent à constituer de graves problèmes de santé pour de nombreux pays en développement, ainsi qu’en Asie et au Moyen-Orient.

« L’Imperial College est une institution réellement dynamique prête à abattre les cloisons qui séparent les disciplines, » a déclaré le Dr Piot. « C’est précisément ce qu’il faut pour réaliser notre vision d’un Institut pour la Santé mondiale et je me réjouis d’intégrer le College pour tenter de la concrétiser. » L’ONUSIDA se réjouit de poursuivre son association avec le Dr Piot dans ses nouvelles fonctions. Il quittera l’ONUSIDA à fin 2008.

D’autres détails concernant cette nomination peuvent être consultés sur le site www3.imperial.ac.uk/news

Contact ONUSIDA

Edward Mishaud | Tél. +41 22 791 5587 | mishaude@unaids.org


Le Dr Piot dirigera le nouvel Institut pour la sa

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Le Dr Piot dirigera le nouvel Institut pour la santé mondiale de l’Imperial College à Londres (en anglais)


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Courriel : mishaude@unaids.org  


Liens externes:

Imperial College Londres

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UNAIDS mourns the passing of Dr Allan Rosenfield, public health professor and practitioner


Geneva, 14 October 2008 – UNAIDS mourns the death of Dr Allan Rosenfield, Dean Emeritus of the Mailman School of Public Health at Columbia University and longstanding professor in population studies and family health.

Dr Rosenfield was regarded by his peers as a tre leader in global public health and a tireless advocate for women’s reproductive health and human rights. He was co-principal investigator of the MTCT-Plus Initiative, the first major multi-country, family centred HIV care and treatment programme in resource-limited settings. Established in 2002, the programme links prevention of mother-to-child transmission in 13 sites in 9 countries with care and treatment for women living with HIV, their children, and their partners.

Throughout his career, Dr Rosenfield led several pioneering studies in developing countries that brought attention to the plight of women during childbirth and the impact of HIV on women and children in communities where vital resources were scarce. Dr Rosenfield promoted the role of non-medical personnel in health services delivery and led discussions on the provision of antiretroviral drugs to prevent mother-to-child transmission of HIV.

Beyond his involvement in academia, Dr Rosenfield served on the board of amfAR and was an advisor to several national and international organizations focused on the issues he so passionately pursued. He will be sorely missed.


UNAIDS mourns the passing of Dr Allan Rosenfield,

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L’ONUSIDA félicite les lauréats du Prix Nobel, récompensés pour leurs travaux sur le VIH


Genève, 6 octobre 2008 – L’ONUSIDA se réjouit de l’annonce, par l’Assemblée Nobel de l’Institut Karolinska, de la remise du Prix Nobel de Médecine 2008 aux chercheurs français Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier, codécouvreurs du VIH.

L’ONUSIDA félicite les deux scientifiques, dont les travaux ont non seulement permis d’identifier le VIH en 1981, mais qui pendant des décennies sont restés à la pointe de la recherche et du plaidoyer autour du virus qui provoque le sida et de la manière dont il est traité.

Comme l’a relevé l’Assemblée Nobel dans son communiqué, leur découverte du VIH « a été essentielle à la compréhension actuelle de la biologie de cette maladie et à son traitement antirétroviral ».

« Je félicite le Dr Barré-Sinoussi et le Dr Montagnier de ce prix prestigieux, qui montre bien la portée du VIH et la manière dont l’épidémie de sida a influencé notre monde depuis sa découverte, » a déclaré le Dr Peter Piot, Directeur exécutif de l’ONUSIDA.

Plus de 33 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde. Environ 25 millions d’individus sont décédés de maladies liées au sida depuis la découverte du virus.

Le Dr Barré-Sinoussi et le Dr Montagnier partagent le Prix Nobel de Médecine 2008 avec le Dr Harald zur Hausen, un chercheur allemand qui, au début des années 1970, a découvert le virus responsable du cancer du col de l’utérus.

Pour de plus amples informations sur le Prix Nobel de Médecine, consultez le communiqué annonçant le prix 


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Liens externes:

Communiqué annonçant le prix (6 octobre 2008) (en anglais)

Site web oficiel du Prix Nobel (en anglais) 

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