MESSAGE A L’OCCASION DE LA SESSION DE HAUT NIVEAU DU FONDS MONDIAL DE LUTTE CONTRE LE SIDA, LA TUBERCULOSE ET LE PALUDISME AVEC LES MINISTRES DE LA SANTE DU MOYEN-ORIENT ET D’AFRIQUE DU NORD

Discours par

Discours du Dr. Peter Piot, Directeur exécutif de l'ONUSIDA

Discours de Dr Peter Piot, Directeur exécutif de l'ONUSIDA

Discours prononcé lors de la 18e Réunion du Conseil de Coordination du Programme, Genève, 27 juin 2006

Le contexte de cette conférence diffère essentiellement de celui de toutes les autres
réunions de ce genre. Je suis convaincu, profondément, que nous avons pour la
première fois une chance de prendre de l'avance sur l'épidémie. Nous le devons tant
aux progrès de la science qu'à l'activisme de la décennie écoulée. Mais le défi
persiste ; et nous devons encore agir plus et mieux sur l'un et l'autre plan afin
d'arriver à un succès complet.

En l’espace de 25 ans, le VIH a infecté 65 millions de personnes et fait 25 millions de victimes. Il y a aujourd’hui 40 millions de personnes dont la vie est affectée par le VIH/sida, dont près de la moitié sont des femmes. Le nombre de femmes séropositives – y compris de femmes mariées – est plus élevé que jamais.

Discours du Peter Piot, Directeur exécutif de l’ONUSIDA: 21ème réunion du Conseil de Coordination du Programme

Je suis heureux de partager cette importante journée avec Mme Carla Bruni-Sarkozy, qui vient d’être nommée Ambassadrice du Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, pour la protection des mères et des enfants contre le VIH. Je salue mes collègues associés à la lutte contre le sida, le directeur exécutif du Fonds Mondial, Michel Kazatchkine, et le directeur associé des Partenariats avec les programmes de l’UNICEF, Pascal Villeneuve.

Michel Sidibé