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Paul De Lay et Jan Beagle nouveaux Directeurs exécutifs adjoints de l’ONUSIDA
23 juin 2009 23 juin 2009GENEVE, 23 juin 2009 – Le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a nommé le Dr Paul De Lay et Mme Jan Beagle aux postes de Directeurs exécutifs adjoints du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA). Le Dr De Lay sera responsable de la supervision des aspects programmatiques de l’ONUSIDA et Mme Beagle de la gestion et des relations extérieures.
« Je me réjouis de travailler étroitement avec le Dr Paul De Lay et Mme Jan Beagle au moment où nous intensifions le soutien de l’ONUSIDA aux pays en vue de la réalisation de leurs objectifs en matière d’accès universel, » a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, M. Michel Sidibé. « Ce sont deux leaders, et ils contribueront à accroître l’efficacité de l’ONUSIDA. »
Le Dr Paul De Lay participe depuis plus d’une décennie à la planification stratégique, à la mise en œuvre et au suivi de programmes nationaux et internationaux sur le sida. Le Dr De Lay occupe la fonction de Directeur exécutif adjoint de l’ONUSIDA depuis le 8 janvier 2009 ; il a rejoint le programme commun en 2003. Ses responsabilités en tant que Directeur du département Evidence, Suivi et Evaluation consistaient à diriger les activités de l’ONUSIDA dans le domaine du suivi de la situation de l’épidémie, à promouvoir la production d’informations stratégiques sur l’épidémie de VIH en termes du niveau et de la qualité des efforts de prévention et de traitement et de l’impact de la riposte, ainsi qu’à établir les rapports annuels adressés au Secrétaire général de l’ONU sur les progrès réalisés sur la voie de la réalisation de la Déclaration d’engagement de l’Assemblée générale des Nations Unies de 2001.
Docteur en médecine, le Dr De Lay a été formé et possède de l’expérience dans les domaines de la médecine générale, des maladies infectieuses et tropicales, de l’épidémiologie, de la médecine préventive et de la santé publique. Il a pratiqué la médecine clinique pendant 15 ans. Auparavant, il a également occupé le poste de Chef de la division VIH/sida à l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) et travaillé pour le Programme mondial de lutte contre le sida à l’Organisation mondiale de la Santé.
Mme Jan Beagle est actuellement Directrice générale adjointe de l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG). Forte de 30 ans d’expérience aux Nations Unies dans le domaines politique, du développement, de la gestion, de l’administration et des questions interinstitutions, Mme Beagle a également occupé le poste de sous-Secrétaire générale de l’ONU à la gestion des ressources humaines d’octobre 2005 à 2007. En cette qualité, elle a dirigé l’élaboration de la stratégie globale de réforme de la gestion des ressources humaines, « Investir dans le capital humain ».
Avant d’entrer aux Nations Unies en 1979, Mme Beagle était au service diplomatique de son pays. Elle a été notamment pendant cinq ans représentante de la Nouvelle-Zélande auprès des Nations Unies. Mme Beagle a obtenu une licence et une maîtrise en histoire et en relations internationales de l’Université d’Auckland.
Paul De Lay et Jan Beagle nouveaux Directeurs exé
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Le Secrétaire général des Nations Unies et les responsables de la Campagne mondiale contre le sida et de l’ONUSIDA annoncent le thème de la prochaine Journée mondiale sida ‘Accès universel et droits de la personne’
16 juin 2009 16 juin 2009NEW YORK, 16 juin 2009 – En anticipation de la Journée mondiale sida de cette année, M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies, et les responsables de la Campagne mondiale contre le sida et du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) se sont réunis pour en annoncer le thème : ‘Accès universel et droits de la personne’.
Ce thème a été choisi car il est fondamentalement nécessaire de protéger les droits de la personne et de réaliser un accès pour tous aux services de prévention, de traitement, de soins et d’appui en rapport avec le VIH. Il permet aussi d’appeler les pays à supprimer les lois qui engendrent de la discrimination à l’encontre des personnes vivant avec le VIH, des femmes et des groupes marginalisés. Les pays sont aussi instamment invités à accomplir les nombreux engagements qu’ils ont pris – dans le cadre de la Déclaration d’engagement sur le VIH/sida de 2001 et de la Déclaration politique sur le VIH/sida de 2006 – de protéger les droits de la personne.
S’exprimant avant la diffusion de l’annonce aux Nations Unies à New York, M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA, a déclaré : « Réaliser un accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui en rapport avec le VIH est un impératif des droits de l’homme. Il est essentiel que la riposte mondiale à l’épidémie de sida soit basée sur les droits de la personne et que la discrimination et les lois répressives à l’encontre des personnes les plus affectées par le VIH soient supprimées ».
Il existe toujours dans de nombreux pays des lois et des politiques qui empêchent les personnes les plus vulnérables au VIH d’avoir accès aux services de prise en charge du VIH et qui les criminalisent. Cela inclut des lois qui criminalisent (i) les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les transsexuel(le)s et les lesbiennes, (ii) les professionnel(le)s du sexe, et (iii) les consommateurs de drogues ainsi que les dispositifs de réduction des risques et les traitements de substitution dont ils ont besoin. Quelque 84 pays ont déclaré être dotés de lois et de politiques qui font obstacles à des services efficaces de prévention, de traitement, de soins et d’appui en rapport avec le VIH pour les populations vulnérables.
S’exprimant depuis Le Cap, en Afrique du Sud, M. Marcel van Soest, Directeur exécutif de la Campagne mondiale contre le sida, a déclaré : « L’épidémie n’a pas disparu, des dizaines de millions de personnes sont toujours affectées mais ceux qui sont le plus durement touchés, les pauvres et les populations marginalisées de la société n’ont souvent pas leur mot à dire lorsque les décisions et les lois importantes sont prises ou élaborées. Leur droit fondamental à la santé et à vivre sans avoir peur de la stigmatisation et de la discrimination doit être renforcé ».
Les gouvernements continuent de voter et d’appliquer des lois dont la portée est exagérément vaste qui criminalisent la transmission du VIH et sont ainsi en totale contradiction avec leurs engagements à « promouvoir… un environnement social et juridique favorable à une annonce volontaire et sans risque de son statut sérologique VIH ».
Quelque 59 pays sont toujours dotés de lois qui imposent des restrictions à l’entrée, au séjour et à la résidence de personnes vivant avec le VIH au seul motif de leur séropositivité, exerçant une discrimination qui les prive de leur liberté de mouvement et de leur droit au travail.
Parallèlement, les lois et les réglementations qui protègent les personnes vivant avec le VIH de la discrimination et les femmes des inégalités entre les sexes et de la violence sexuelle ne sont pas pleinement mises en œuvre ni appliquées.
Mme Allyson Leacock, Présidente du comité d’orientation de la Campagne mondiale contre le sida, a ajouté : « Le thème des droits de la personne nous concerne tous, les communautés, les gens comme vous et moi, et concernent nos gouvernements pour qu’ils s’engagent à honorer et à respecter la dignité des personnes vulnérables et des personnes qui vivent déjà avec le VIH ».
Le Secrétaire général des Nations Unies et les re
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L’ONUSIDA demande que la transmission mère-enfant du VIH soit virtuellement éliminée d’ici à 2015
21 mai 2009 21 mai 2009Le Directeur exécutif de l’ONUSIDA rencontre les Ministres de la Santé et le Secrétaire général des Nations Unies pendant l’Assemblée mondiale de la Santé pour tenter d’accélérer les progrès sur la voie de l’accès universel

GENEVE, 21 mai 2009 – Au cours de la semaine de l’Assemblée mondiale de la Santé, le Directeur exécutif de l’ONUSIDA a rencontré des Ministres de la Santé afin de souligner l’engagement de l’ONUSIDA pour permettre aux pays d’atteindre leurs objectifs liés à l’accès universel.
L’ONUSIDA a exposé les principaux domaines prioritaires dans lesquels l’action conjointe des Nations Unies fera une différence significative pour la riposte au sida et apportera une contribution positive à l’agenda du développement au sens large. L’atteinte de résultats dans les domaines qui ont été définis aura un impact direct pour ce qui est de stopper et de commencer à inverser le cours de l’épidémie de sida.
Nombre de domaines prioritaires demandent des actions urgentes et efficaces qui sauvent des vies, notamment la prévention de la transmission du VIH des mères à leurs enfants et la fourniture d’une prise en charge et d’un traitement continus pour les femmes, leurs partenaires et leurs enfants.
Il est attesté que l’administration opportune de médicaments antirétroviraux aux femmes enceintes positives au VIH réduit considérablement le risque de transmission du VIH à leurs bébés. Il s’agit d’une intervention qui a fait ses preuves, peu coûteuse, et efficace. Et cependant, les dernières estimations montrent qu’en 2007, seules 33% des femmes enceintes positives au VIH bénéficiaient du traitement nécessaire et seules 21% des femmes dans les pays à revenu faible ou intermédiaire avaient été testées pour le VIH dans le cadre de leur prise en charge anténatale. Des progrès dans ce domaine ne peuvent être réalisés que par l’intégration de programmes destinés à prévenir la transmission du VIH des mères à leurs enfants dans le contexte plus large de la santé reproductive.
« Nous pouvons empêcher les mères de mourir et les bébés d’être infectés par le VIH. C’est la raison pour laquelle j’en appelle à une élimination virtuelle de la transmission mère-enfant du VIH d’ici à 2015, » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « C’est l’un des principaux domaines prioritaires sur lesquels l’ONUSIDA, l’UNICEF, l’OMS et l’UNFPA se doivent d’agir. »
Un autre domaine de focalisation sera d’empêcher les gens vivant avec le VIH de mourir de la tuberculose. La tuberculose est une maladie évitable et curable, et pourtant c’est l’une des principales causes de décès parmi les personnes vivant avec le VIH. On pense qu’environ 80% des personnes vivant avec le VIH sont co-infectées par la tuberculose en Afrique subsaharienne, et pourtant sur le plan mondial seules 2% des personnes vivant avec le VIH ont fait l’objet d’un dépistage de la tuberculose en 2007. Diagnostiquer et traiter la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH représentera une avancée essentielle.
Les autres domaines prioritaires sont notamment les suivants : faire en sorte que les personnes vivant avec le VIH bénéficient d’un traitement salvateur ; protéger les consommateurs de drogues contre l’infection à VIH ; supprimer les lois, politiques, pratiques, la stigmatisation et la discrimination qui entravent les ripostes efficaces au VIH ; mettre un terme à la violence à l’encontre des femmes et des filles ; donner aux jeunes les moyens de se protéger contre le VIH ; et améliorer la protection sociale des personnes affectées par le VIH.
L’ONUSIDA demande que la transmission mère-enfant
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Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l’ONUSIDA, 2009 – 2011 (pdf, 381 Kb.) (en anglais)

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Les ripostes au sida sont un échec chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les populations transsexuelles
15 mai 2009 15 mai 2009L’ONUSIDA et le PNUD lancent un plan pour accroître l’accès à l’information et aux services liés au VIH
GENEVE, 15 mai 2009 – Avant la Journée internationale de lutte contre l’homophobie (le 17 mai), le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) lancent un plan pour encourager des approches nouvelles et améliorées contre le VIH, axées spécifiquement sur les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et sur les populations transsexuelles.
Dans de nombreuses parties du monde, la prévalence du VIH parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes est plus de 20 fois plus élevée qu’au sein de la population générale. Les études montrent que les services de prévention du VIH n’atteignent qu’un dixième à un tiers des hommes qui s’engagent dans des activités homosexuelles. En outre, des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que la majorité des nouvelles infections dans nombre de zones urbaines affectent les hommes ayant des rapports sexuels entre eux.
Et pourtant, ces mêmes groupes ont un accès limité à l’information et aux services de santé liés au VIH du fait de la discrimination, de la violence, de la marginalisation ainsi que d’autres violations des droits humains. Dans bien des pays, ils sont toujours confrontés à des sanctions pénales et au manque d’accès à la justice.
« Les pays doivent être stricts s’agissant du suivi de l’évolution de leurs épidémies et recalibrer leurs programmes de lutte contre le VIH pour répondre aux besoins des personnes les plus exposées au risque d’infection. Dans de nombreux contextes, il s’agira des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, » a déclaré Paul De Lay, Directeur exécutif adjoint par intérim de l’ONUSIDA, en charge du Programme. « Pour être efficaces, les ripostes doivent être fondées sur les réalités épidémiologiques et sociales locales, » a-t-il ajouté.
Ce statu quo est bien loin de répondre aux exigences pour réaliser l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui dans le domaine du VIH – un engagement pris par les Etats Membres de l’ONU en 2006.
« Le cas est clair et urgent, » a déclaré Jeffery O’Malley, Directeur du groupe VIH au PNUD. « Si nous voulons faire de l’accès universel pour les minorités sexuelles une réalité qui a un sens, nous devons nous attacher à mettre un terme à l’homophobie et à la transphobie. Nous devons vaincre les obstacles juridiques et politiques, » a-t-il ajouté.
Le cadre de l’ONUSIDA est une réponse au manque d’engagement et de ressources consacrées aux programmes VIH à l’intention de ces populations.
Le cadre énonce plusieurs facteurs qui entravent l’accès aux services liés au VIH : absence de volonté de la part des gouvernements et des donateurs d’investir dans la santé sexuelle des minorités sexuelles ; impact de la marginalisation sociale sur le désir d’accéder aux services relatifs à la santé ; crainte de la violence et de l’exposition publique ; peur des répercussions pénales ; et manque d’information et de services.
Le cadre d’action passe en revue la manière dont travaillera l’ONUSIDA sur la voie de la réalisation de l’accès universel par le biais de trois objectifs : améliorer les droits humains ; renforcer la base de connaissances grâce à des données de meilleure qualité ; et renforcer les capacités et promouvoir les partenariats pour assurer des ripostes plus larges et plus appropriées. Au sein du partenariat de l’ONUSIDA, le PNUD est axé sur les droits des populations vulnérables telles que les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les personnes transsexuelles.
Cadre d’action de l’ONUSIDA : L’accès universel pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les personnes transsexuelles
Les ripostes au sida sont un échec chez les homme
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Moving forward on ‘Positive Health, Dignity and Prevention’ – people living with HIV set principles for engagement
08 mai 2009 08 mai 2009AMSTERDAM / GENEVA, 8 May 2009 – At an international technical consultation on ‘positive prevention’ convened by the Global Network of People Living with HIV/AIDS (GNP+) and UNAIDS on 27-28 April 2009 in Tunisia, experts outlined the ways in which people living with HIV should be central to HIV responses, in particular when and where those response have a direct impact on the lives of people living with HIV. The group agreed on the key elements of comprehensive ‘Positive Health, Dignity and Prevention’ (PHDP) programmes.
More than half of the 50 participants were people living with HIV who lead programmes and drive policies aimed at achieving better HIV responses and higher health and quality of life standards for people living with HIV. Along with development agencies, civil society organizations, country implementers, multilateral and UN agencies, and donor agencies, participants developed a set of values and principles as well as programmatic content and recommendations to guide the national, regional and international efforts of diverse stakeholders.
The experts stressed a human rights approach based on legal protections and a policy environment free of stigma and discrimination. They recommended programmes promote holistic health and wellness, including access to HIV treatment, care and support services, and by doing so contributions are made to the health and wellbeing of their partners, families and communities. Additionally, it was recommended that PHDP efforts should be responsive to the needs of key populations.
Kevin Moody, the International Coordinator and CEO of GNP+, stated, “To date, many positive prevention programmes have placed an undue burden of responsibility for HIV transmission on HIV positive people. The technical consultation was an opportunity to collectively frame policies and programmes within a human rights perspective and to shift the focus of preventing HIV transmission to a shared responsibility of all individuals irrespective of HIV status”.
Michael Bartos, Team Leader of the HIV prevention, care and support team at UNAIDS, added, “At the technical consultation, we learnt about work happening in many communities where people living with HIV are leading the design, programming, implementation, research, monitoring and evaluation of HIV programmes, including prevention programmes. Crucially, in coining the term ’Positive Health, Dignity and Prevention’, the group overcame the divide between HIV prevention and programmes that aim to improve the wellbeing of people living with HIV”.
The international technical consultation is part of an ongoing process of defining the role of HIV-positive people in PHDP. Further consultations at regional and national levels and with different key populations are planned to establish a common understanding of PHDP and provide guidance in developing policies and programmes globally.
A meeting report and a full set of values, principles, programmatic content and recommendations will be made public in early July 2009.
The Global Network of People living with HIV (GNP+) is a global network for and by people living with HIV. GNP+ advocates to improve the quality of life of people living with HIV. The central theme for the work of GNP+ is Reclaiming Our Lives! GNP+ programs are organized under four platforms of action: Empowerment; HIV Prevention; Human Rights; and Sexual and Reproductive Health and Rights. For more information, please visit www.gnpplus.net
UNAIDS is an innovative joint venture of the United Nations, bringing together the efforts and resources of the UNAIDS Secretariat and ten UN system organizations in the AIDS response. The Secretariat headquarters is in Geneva, Switzerland—with staff on the ground in more than 80 countries. The Cosponsors include UNHCR, UNICEF, WFP, UNDP, UNFPA, UNODC, ILO, UNESCO, WHO and the World Bank. Contributing to achieving global commitments to universal access to comprehensive interventions for HIV prevention, treatment, care and support is the number one priority for UNAIDS. Visit the UNAIDS website at www.unaids.org
Moving forward on ‘Positive Health, Dignity and P
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La star du football Emmanuel Adebayor nommée Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA
23 mars 2009 23 mars 2009
Genève, le 23 mars 2009 – Le joueur de football togolais Emmanuel Adebayor a été nommé Ambassadeur itinérant du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA). Le joueur vedette du club Arsenal, élu «Footballeur africain de l'année», utilisera sa popularité en tant que sportif pour sensibiliser davantage le grand public à l'épidémie mondiale de VIH, et notamment à la question de l'importance des mesures visant à éviter de nouvelles infections parmi les jeunes.
L'intérêt de M. Adebayor à travailler sur le problème du sida est né des conséquences de l'épidémie qu'il a pu observer dans son pays natal, le Togo. « Les jeunes sont les plus affectés par l'épidémie dans le monde entier », a-t-il déclaré. « Parmi eux, beaucoup ne sont pas conscients du problème du VIH, ni du risque de contamination, et ne savent pas comment se protéger. J'espère pouvoir changer cela grâce à ma nouvelle fonction d'Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA. »
M. Adebayor rejoint ainsi son homologue Michael Ballack, également Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA, pour une collaboration sur une campagne de sensibilisation au problème du VIH, qui a pour thème : « Sur le terrain nous sommes des adversaires, en dehors du terrain, nous unissons le monde contre le sida ».
« Les stars du sport comme Emmanuel sont d'excellents modèles de comportement pour les jeunes », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Je suis persuadé qu'il saura utiliser le talent et la détermination qu'on lui connaît sur les terrains pour apprendre aux jeunes comment se protéger du VIH dans leur vie quotidienne.»
L'ONUSIDA estime que près de la moitié des nouvelles infections se produisent chez les jeunes âgés de 15 à 24 et que la clé de l'inversion du cours de l'épidémie réside dans la prévention des nouvelles infections dans cette tranche d'âge.
La star du football Emmanuel Adebayor nommée Amba
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Le nouveau Directeur exécutif définit l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui en rapport avec le VIH comme priorité absolue de l’ONUSIDA
10 février 2009 10 février 2009Demandes d’investissement de 25 milliards de dollars US visant à garantir que les pays atteignent les objectifs de 2010
LE CAP, Afrique du Sud, 10 février 2009—Lors de sa première mission dans le pays, le nouveau Directeur exécutif du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), M. Michel Sidibé, a présenté, dans la cité de Khayelitsha, les grandes orientations et les priorités qu’il a fixées pour l’ONUSIDA.
Dans une allocution à l’intention des responsables communautaires et politiques, M. Sidibé a salué la ténacité et la persévérance des citoyens, qui conjuguent leurs efforts pour atteindre des buts malgré des défis considérables. « Je souhaitais commencer mon voyage public dans ce lieu où la riposte communautaire, avec le concours du gouvernement, de la société civile et des principales parties prenantes, ouvre la voie à l’accès universel en Afrique du Sud. Ensemble, ils répondent à la demande de prévention, de traitement, de soins et d’appui dans le domaine du VIH », a déclaré M. Sidibé.
L’Afrique subsaharienne demeure la région du monde la plus lourdement touchée par le VIH. C’est là que se trouvent les deux tiers (67%) de l’ensemble des personnes vivant avec le VIH et qu’ont eu lieu les trois quarts des décès dus au sida en 2007. Les neuf pays d’Afrique australe continuent de porter une part disproportionnée du fardeau mondial – 35% des infections à VIH et 38% des décès dus au sida.
A l’instar d’autres régions du monde, l’Afrique australe ressent actuellement les effets de la crise économique mondiale. M. Sidibé a souligné la nécessité d’honorer les engagements d’investissements nationaux et internationaux afin de réaliser les objectifs de 2010 du pays.
« Nous ne pouvons pas laisser la crise économique nous paralyser », a affirmé M. Sidibé. « Il convient de mettre en œuvre les mesures de stimulation et les ajustements économiques en gardant à l’esprit que des êtres humains sont concernés. Une mère ne devrait pas avoir à choisir entre bénéficier d’un traitement régulier du sida et nourrir ses enfants. Nous ne pouvons pas manquer à nos obligations envers les 4 millions de personnes sous traitement et les millions d’autres qui en ont actuellement besoin. »
La plupart des pays ont fixé des objectifs ambitieux en matière d’accès universel pour 2010, qui visent des personnes bien réelles. Pour que les pays atteignent les objectifs précis qu’ils ont définis, il est estimé qu’un investissement de 25 milliards de dollars US sera nécessaire en 2010, ce qui représente 11,3 milliards de plus que la somme disponible aujourd’hui.
Un nouveau rapport publié aujourd’hui par l’ONUSIDA, intitulé What countries need: Investments needed for 2010 targets, prévoit qu’environ un tiers de l’investissement de 25 milliards de dollars US sera d’origine nationale. Les investissements d’origines multilatérale et bilatérale devront couvrir les 17 milliards de dollars US restants.
Plus de 9 milliards de dollars US seront alloués au renforcement de systèmes de santé, et 9 autres milliards serviront à fournir des services de santé dédiés au VIH. Les investissements nécessaires garantiraient également le financement intégral du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, un mécanisme de financement novateur dont dépendent les pays pour financer leurs plans nationaux sur le sida.
On observerait, dans les pays atteignant leurs objectifs de 2010 liés au sida, des résultats remarquables:
- Il est estimé que 2,6 millions de nouvelles infections à VIH seront évitées, réduisant ainsi l’incidence du VIH d’environ 50%.
- 1,3 million de décès peut être évité dans les deux prochaines années.
- Quelque 6,7 millions de personnes recevront un traitement antirétroviral.
- Plus de 70 millions de femmes enceintes subiront un dépistage et bénéficieront de services de prévention de la transmission mère-enfant.
- Les programmes de prévention du VIH toucheront 20 millions d’hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, 7 millions de professionnel(le)s du sexe et 10 millions de consommateurs de drogues injectables. En outre, quelque 8,1 milliards de préservatifs masculins et féminins seraient distribués.
- 7 millions d’orphelins et d’enfants vulnérables auront bénéficié de programmes d’appui social.
« Il ne sera pas facile de combler cet écart, mais cela est réalisable et absolument nécessaire si nous nous destinons à accélérer le rythme de la riposte à l’épidémie de sida », a déclaré M. Sidibé. « Ensemble, nous contribuerons à sauver des vies – en plaçant davantage de personnes sous traitement, en veillant à ce que les femmes enceintes reçoivent des soins prénatals complets, notamment des services liés au VIH, et en garantissant que toute une génération d’enfants terminent leurs études. »
Le Directeur exécutif a en outre préconisé une obligation accrue de rendre des comptes, afin de faire travailler l’argent disponible de manière plus efficace pour ceux qui en ont besoin. Il a insisté sur le fait que les programmes devaient être financièrement avantageux, viser à mettre un terme au gaspillage dans le domaine de la prestation de services et réduire les coûts unitaires. Un soutien des donateurs mieux aligné et coordonné permettra également de renforcer les répercussions des investissements.
Dans une lettre à l’intention de partenaires, qui doit également être publiée aujourd’hui, M. Sidibé affirme que l’ONUSIDA redoublerait d’efforts pour aider les pays à réaliser leurs objectifs en matière d’accès universel, notamment la cartographie des indicateurs et un appui aux pays ciblé pour les pays susceptibles d’accuser du retard. Cette lettre énonce également dix éléments requis pour atteindre les objectifs en matière d’accès universel.
- Obtenir des résultats pays par pays – en fixant des objectifs ambitieux.
- Promouvoir les droits humains des personnes vivant avec le VIH et touchées par le VIH – en supprimant les lois qui entravent la prestation et l’utilisation de services liés au sida.
- Soutenir les revendications politiques en matière d’accès universel – en renforçant les liens avec la société civile et les associations communautaires.
- Investir dans la recherche et utiliser les éléments tangibles – par le biais d’un investissement à long terme dans la prophylaxie pré-exposition, les microbicides et les vaccins.
- Placer les activités de prévention au premier rang des priorités – en éradiquant le sida pédiatrique et en enseignant aux jeunes les compétences nécessaires pour se protéger contre le VIH et la violence.
- Mobiliser les ressources dont les pays ont besoin – notamment en finançant intégralement le Fonds mondial.
- Utiliser au mieux et élargir les partenariats – en élargissant le réseau de partenaires afin d’associer de nouveaux partenaires.
- Tirer parti des ripostes au sida afin d’obtenir des résultats plus étendus pour les personnes – redynamiser les systèmes de santé pour faire en sorte que les personnes vivant avec le VIH ne décèdent pas de la tuberculose et qu’elles aient accès aux soins de santé primaires.
- Suivre les progrès – pays par pays et donateur par donateur – en garantissant la transparence et l’obligation de rendre des comptes à tous les niveaux.
- Prévoir de poursuivre les progrès accomplis – en responsabilisant les communautés et les familles touchées par le VIH, en rétablissant leur dignité, et en garantissant un financement durable et fiable.
Depuis 2001, des progrès non négligeables ont permis à des millions de personnes de bénéficier de services liés au VIH, en particulier dans les pays à revenus faible et intermédiaire. Aujourd’hui, quelque 4 millions de personnes sont sous traitement antirétroviral. Fin 2007, le nombre de nouvelles infections à VIH par an était tombé à 2,7 millions, contre 3 millions en 2005. Les nouvelles infections chez les enfants ont chuté, grâce à l’élargissement rapide des services de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant. Dans de nombreuses régions du monde, les jeunes retardent de plus en plus le moment de devenir sexuellement actifs, ont de moins en moins de partenaires sexuels ou utilisent des préservatifs. En outre, des millions d’enfants rendus orphelins par le sida ont désormais accès à une protection et à un appui sociaux. Tous ces résultats favorables doivent être maintenus en cette période économique difficile.
Le nouveau Directeur exécutif définit l’accès uni
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Informations express sur les besoins d'investissement (pdf, 38.1 Kb) (en anglais)
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Les temps forts de la 23ème réunion de l’organe directeur de l’ONUSIDA
17 décembre 2008 17 décembre 2008Genève, 18 décembre 2008 – L’organe directeur du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) s’est réuni à Genève, Suisse, du 15 au 17 décembre pour le 23ème Conseil de Coordination du Programme (CCP).
Sous la présidence actuelle du CCP, les Etats-Unis d’Amérique, plus de 300 représentants et observateurs des Etats Membres des Nations Unies, des organisations internationales, de la société civile et des organisations non gouvernementales y ont participé.
Il s’agissait de la dernière réunion du conseil pour le Dr Peter Piot en tant que Directeur exécutif de l’ONUSIDA. Le CCP a rendu hommage à son leadership et a reconnu ses nombreuses réalisations, qui vont de l’inscription et du maintien du sida sur l’agenda politique mondial et de la mobilisation d’importantes ressources pour le sida à l’établissement d’alliances à travers toute une gamme de secteurs et d’acteurs.
Dans ses remarques au Conseil, le Dr Piot s’est penché sur la riposte et sur les changements dont il a été témoin depuis les débuts de l’ONUSIDA en 1996. « Le sida a été un puissant agent de changement, qui a permis de dénoncer et de vaincre des injustices, » a déclaré le Dr Piot. « Grâce au sida, les thèmes liés à la crise du personnel de santé, à la crise des systèmes de santé, aux questions de droits humains, aux questions de droits des gays, aux questions de droits des femmes, et aux violences faites aux femmes, sont tous inscrits à l’ordre du jour. »
Le CCP a salué la nomination de M. Michel Sidibé en tant que Directeur exécutif entrant de l’ONUSIDA. Le Dr Piot a prié le Conseil de continuer d’apporter à M. Sidibé le même soutien que celui dont il a bénéficié.
Dans sa réponse, M. Sidibé a applaudi le leadership du Dr Piot et loué sa passion et sa vision. M. Sidibé a également évoqué ses priorités pour aller de l’avant, notamment le début d’une nouvelle ère de responsabilisation, la lutte contre la stigmatisation et la discrimination et en faveur du respect des droits humains, et le maintien des investissements. « Le moment est venu de rassembler notre sagesse collective afin de pouvoir avancer de manière décisive, avec un accent clair sur les résultats, sur l’action, sur les prestations et sur l’efficacité, » a déclaré M. Sidibé.
Les questions politiques importantes débattues lors de la réunion du CCP comprenaient notamment : les restrictions spécifiques au VIH à l’entrée, au séjour et à la résidence ; la sensibilité des ripostes au sida aux questions sexospécifiques; la participation de la société civile au CCP ; et le budget-plan de travail intégré de l’ONUSIDA.
Survol des principaux points de l’ordre du jour, conclusions, et recommandations
- Restrictions spécifiques au VIH à l’entrée, au séjour et à la résidence
Le Conseil encourage fortement tous les pays à éliminer les restrictions spécifiques au VIH à l’entrée, au séjour et à la résidence et à faire en sorte que les personnes vivant avec le VIH ne soient plus exclues, détenues ou déportées sur la base du statut VIH. S’appuyant sur une décision antérieure, le Conseil a décidé qu’aucune réunion du CCP ne se tiendrait dans un pays appliquant des restrictions spécifiques au VIH relatives à l’entrée, au séjour et à la résidence du fait du statut VIH d’un individu. L’ONUSIDA est prié de présenter un rapport d’activité lors de la prochaine réunion du CCP, qui portera sur les efforts réalisés pour mettre en œuvre les recommandations de la Cellule de réflexion. - Sensibilité aux questions sexospécifiques et orientation dans la riposte au sida
Le Conseil a demandé que l’ONUSIDA prépare un rapport d’activité lors de la 24ème réunion du CCP précisant le travail effectué par l’ONUSIDA pour aider les pays à instaurer l’égalité des sexes, notamment des estimations séparées des besoins pour les femmes et les filles et pour les communautés lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles, soulignant l’action menée au niveau des pays, ainsi que les actions de suivi, notamment l’établissement d’une stratégie interinstitutions pour prendre en compte le VIH et les femmes et les filles, conformément à la stratégie adoptée pour les populations lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles. - Participation de la société civile au CCP
Le Conseil a encouragé les Etats Membres à considérer la possibilité d’impliquer, dans la capacité qu’ils jugeront appropriée, un ou plusieurs représentants de la société civile, notamment des personnes vivant avec le VIH et des communautés affectées, au sein de leurs délégations nationales aux réunions du CCP, et recommandé que le Secrétariat de l’ONUSIDA, les bureaux de pays et les Equipes d’appui aux régions explorent et définissent des manières de soutenir les Etats Membres afin d’intégrer la société civile dans leurs délégations. - Session thématique sur le partenariat entre l’ONUSIDA et le Fonds mondial
La session thématique de la 23ème réunion était axée sur les relations entre l’ONUSIDA et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme et les questions des liens avec l’architecture internationale en matière d’appui technique et les partenariats public-privé. - Budget-plan de travail intégré de l’ONUSIDA
Le CCP a reçu un rapport sur la mise en œuvre du budget-plan de travail intégré (BPTI) de l’ONUSIDA qui soulignait les activités de l’ONUSIDA pour 2006-2007. Le CCP a prié tous les pays de fournir des ressources adéquates pour financer pleinement le BPTI 2008-2009 et de s’engager à mettre en œuvre le cadre stratégique pour 2007-2011. - Election des membres du Bureau
Le CCP a élu l’Ethiopie en tant que Président, les Pays-Bas en tant que Vice-Président, et le Guatemala en tant que Rapporteur du CCP pour une année civile à compter du 1er janvier 2009.
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Les temps forts de la 23ème réunion de l’organe d
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Le musicien vedette africain Toumani Diabaté nommé Ambassadeur itinérant de l’ONUSIDA
12 décembre 2008 12 décembre 2008Genève, 12 décembre 2008 – Le musicien africain Toumani Diabaté, du Mali, a été nommé Ambassadeur itinérant pour le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) afin d’accroître la sensibilisation sur les thèmes liés au sida. Toumani Diabaté est le descendant d’une longue tradition de griots et de chanteurs de gospel. Il a mêlé cette ancienne tradition musicale d’Afrique de l’Ouest à d’autres musiques modernes et traditionnelles en provenance du monde entier. En outre, il a joué un rôle déterminant dans l’introduction de la kora, une harpe luth à 21 cordes, au public partout dans le monde, et en faisant de la kora un instrument de concert solo.
« M. Toumani Diabaté sera un modèle pour aider à réduire la stigmatisation et la discrimination auxquelles sont confrontées les personnes vivant avec le VIH », a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, le Dr Peter Piot. « En tant qu’Ambassadeur itinérant de l’ONUSIDA, sa voix contribuera aussi à la prise de conscience au sujet des répercussions du sida sur les individus et leurs familles. »
En tant que musicien de notoriété internationale et défenseur de la lutte contre le sida, Toumani Diabaté, avec sa proximité et son engagement, aidera l’ONUSIDA à aller de l’avant dans la riposte au sida. Aujourd’hui, il utilise sa musique pour permettre aux gens de s’assumer et pour diffuser des messages de sensibilisation. M. Diabaté a déjà participé à diverses campagnes sur le terrain avec le Haut Conseil national de Lutte contre le sida au Mali.
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Faits et chiffres mondiaux sur le sida
- On estime à 33,0 millions [30,3 millions – 36,1 millions] le nombre de personnes vivant avec le VIH dans le monde
- 2,7 millions [2,2 millions – 3,2 millions] de personnes ont été nouvellement infectées en 2007
- 2,0 millions [1,8 million – 2,3 millions] de personnes sont décédées du sida en 2007
L’ONUSIDA est un projet novateur des Nations Unies, qui rassemble les efforts et les ressources du Secrétariat de l’ONUSIDA et de 10 organisations du système des Nations Unies dans la riposte au sida. Le Siège du Secrétariat se trouve à Genève, Suisse – avec du personnel sur le terrain dans plus de 80 pays. L’action cohérente du système des Nations Unies sur le sida est coordonnée au niveau des pays par le biais de groupes thématiques des Nations Unies et de programmes communs sur le sida. Les Coparrainants de l’ONUSIDA sont les suivants : le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’ONUDC, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Consultez le site web de l’ONUSIDA sur www.unaids.org
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Press Release
M. Michel Sidibé est nommé Directeur exécutif de l’ONUSIDA
01 décembre 2008 01 décembre 2008
Genève, 1er décembre 2008 – A l’occasion de la Journée mondiale sida, le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a nommé M. Michel Sidibé au poste de nouveau Directeur exécutif du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).
Félicitant M. Sidibé pour sa nomination, le Directeur exécutif sortant, le Dr Peter Piot, a déclaré : « Le leadership de l’ONUSIDA est entre de très bonnes mains. L’ONUSIDA a un rôle vital à jouer afin de poursuivre les progrès réalisés dans la riposte mondiale au sida. »
En acceptant cette nomination, M. Sidibé a déclaré, « Je suis vraiment honoré de servir l’ONUSIDA. L’épidémie de sida n’est terminée dans aucune région du monde. Nous devons faire en sorte qu’il y ait un leadership et un engagement financier solides et sur le long terme pour agir contre le sida, qui soient fondés sur des données probantes et sur les droits de l’homme. Je suis heureux de travailler au sein du système des Nations Unies et avec des partenaires venus du monde entier. »
M. Sidibé occupe actuellement les fonctions de Directeur exécutif adjoint – Programmes à l’ONUSIDA et de sous-Secrétaire général des Nations Unies, fort de 27 ans d’expérience en santé publique internationale, développement et sida. Avec plus de 20 ans au service des Nations Unies, il a travaillé pour l’ONUSIDA à Genève depuis 2001 ainsi que pour l’UNICEF à New York ainsi que dans plusieurs pays d’Afrique.
Il a été l’élément moteur de la promotion de l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui dans le domaine du VIH. En tant que coprésident de la Cellule mondiale de réflexion pour une meilleure coordination entre les organismes multilatéraux et les donateurs internationaux dans la riposte au sida, il a dirigé les efforts destinés à aligner les contributions multilatérales à l’appui des programmes et systèmes nationaux. M. Sidibé s’est également attaché à faire avancer le processus de réforme des Nations Unies et à renforcer les partenariats entre la société civile, les pouvoirs publics et les personnes vivant avec le VIH.
Une biographie détaillée
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ONUSIDA │ Mahesh Mahalingam | + 41 22 791 4918
M. Michel Sidibé est nommé Directeur exécutif de
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Discours:
Lire les remarques du Secrétaire général des Nations Unies, Doha, 1er décembre 2008
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