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L’ONUSIDA salue l’arrivée de Deborah Dugan, la nouvelle PDG de (RED)


(RED) va se joindre au mouvement pour l’élimination des nouvelles infections à VIH chez les enfants d’ici à 2015

Genève, le 21 septembre 2011 — Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) félicite Deborah Dugan pour sa nomination au poste de PDG de (RED).

Pionnière des médias, Mme Dugan apporte sa riche expérience des secteurs de la télévision, du cinéma et de l’édition, et mettra son savoir-faire au service de (RED) au moment où cette organisation élargit ses partenariats avec des marques de renommée internationale.

« Mme Dugan s’est mise au travail très rapidement et la perspective d’un partenariat avec une dirigeante aussi dynamique est enthousiasmante pour l’ONUSIDA », a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Nous partageons le même objectif, à savoir éliminer les nouvelles infections à VIH chez les enfants d’ici à 2015, et l’ONUSIDA compte sur (RED) pour mobiliser de nouveaux partenaires et de nouvelles ressources pour ce mouvement. »

L’organisation rejoint la communauté internationale de la santé pour trouver des financements et mener des opérations de sensibilisation qui contribueront à éliminer les nouvelles infections à VIH chez les enfants d’ici à 2015 et à faire émerger la première génération sans sida depuis trente ans.

Les partenaires et les activités de (RED) ont permis de recueillir plus de 175 millions de dollars des États-Unis pour la riposte au sida et de toucher plus de 7,5 millions de personnes affectées par la maladie en Afrique. Parmi les partenaires de (RED) figurent American Express au Royaume-Uni, Apple, Bugaboo, Converse, Dell, Gap, Hallmark aux États-Unis, Nike et Starbucks.


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Sophie Barton-Knott
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Les Fidji lèvent l'interdiction de voyage pour les personnes vivant avec le VIH


GENèVE, 26 Août 2011—Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue la décision prise par le Gouvernement des Fidji d'abroger les restrictions à l'entrée, au séjour et à la résidence sur la base de la sérologie VIH. Grâce à cette réforme —annoncée officiellement aujourd'hui par le Président des Fidji lors du congrès international sur le sida en Corée du Sud— les Fidji rejoignent la liste croissante des pays qui alignent leur législation nationale en matière de VIH sur les normes internationales de santé publique.

« Il s'agit d'un grand pas en avant dans nos efforts pour préserver la liberté de mouvement dans le monde des personnes vivant avec le VIH », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Les restrictions qui limitent le mouvement sur le seul critère du statut sérologique positif au VIH sont discriminatoires et constituent une violation des droits de l'homme », a-t-il ajouté.

Aux Fidji, comme ailleurs dans la région Asie-Pacifique, la lutte accrue contre le sida porte ses fruits et l'épidémie se stabilise. Toutefois, le nombre des nouvelles infections à VIH continue d'augmenter à un rythme plus soutenu que le nombre de personnes commençant un traitement, et la stigmatisation et la discrimination entravent considérablement les progrès.

D'après le décompte de l'ONUSIDA, avec la suppression des restrictions de voyage aux Fidji, ce sont encore 47 pays, territoires ou régions qui continuent d'imposer certaines formes de restrictions à l'entrée, au séjour et la résidence des personnes vivant avec le VIH, fondées sur la séropositivité. Au moins 128 pays n'appliquent pas de telles restrictions.


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L'Arménie lève l'interdiction de voyage pour les personnes vivant avec le VIH


GENEVE, 15 juillet 2011 — Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue la décision prise par le Gouvernement arménien de lever les restrictions de voyage imposées aux personnes vivant avec le VIH. Les réformes, qui sont entrées en vigueur hier, alignent la législation du pays sur les normes internationales de santé publique.

Les restrictions qui limitent les mouvements d'un individu au seul motif de sa séropositivité sont discriminatoires et constituent une violation des droits de l’homme. Il n'existe aucune preuve que de telles restrictions contribuent à protéger la santé publique ou à prévenir la transmission du VIH. Par ailleurs, les restrictions de voyage liées au VIH n'ont pas de justification économique dans la mesure où les personnes vivant avec le VIH peuvent mener une vie professionnelle longue et productive.

« Je salue la décision de l'Arménie de lever ses restrictions de voyage liées au VIH », a déclaré le directeur exécutif de l'ONUSIDA, M. Michel Sidibé. « J'exhorte les autres pays à suivre cet exemple et à prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître les lois et les pratiques répressives, et ce, dans les meilleurs délais », a-t-il ajouté.

D'après le décompte de l'ONUSIDA, avec la suppression des restrictions de voyage en Arménie, ce sont encore 48 pays, territoires ou régions qui continuent d'imposer certaines formes de restrictions à l'entrée, au séjour et à la résidence des personnes vivant avec le VIH, fondées sur la séropositivité. Cinq pays refusent de délivrer des visas, même pour des séjours de courte durée et 22 pays expulsent les personnes dont la séropositivité est découverte.



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L'ONUSIDA salue la création de la République du Sud-Soudan


GENÈVE, 9 juillet 2011—Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) se joint à l'ensemble de l'Organisation des Nations Unies et à la communauté internationale pour saluer aujourd'hui la création de la République du Sud-Soudan.

« L'ONUSIDA promet d'apporter son total soutien au président Salva Kiir Mayardit et à son nouveau gouvernement », a déclaré Michel Sidibé, directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Nous sommes impatients de pouvoir travailler en collaboration étroite avec le gouvernement et la société civile de la République du Sud-Soudan afin de les aider dans leur riposte au sida », a-t-il ajouté.

Les données disponibles montrent que le Sud-Soudan est en proie à une épidémie importante de VIH. Plus de 1 % des femmes enceintes ayant recours aux services prénatals au Sud-Soudan vivent avec le VIH, selon le Rapport 2010 de l'ONUSIDA sur l'épidémie mondiale de sida.

Bien que le Sud-Soudan soit confronté à des défis considérables en matière de développement, l'ONUSIDA a des raisons d'être optimiste au vu de l'engagement solide dont fait preuve son Conseil national sur le sida et de l'implication de la société civile. L'ONUSIDA s'engage à soutenir le Soudan et le Sud-Soudan dans leurs efforts en faveur de l'élargissement de l'accès à la prévention, au traitement, aux soins et à l'appui en matière de VIH et l'aide à tous ceux qui sont dans le besoin.


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L’organe directeur de l’ONUSIDA adopte de nouvelles mesures pour renforcer davantage la lutte contre le VIH


GENÈVE, 23 juin 2011— L’organe directeur du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), le Conseil de coordination du programme, s’est réuni à Genève du 21 au 23 juin pour faire le point sur les progrès accomplis et mettre en place de nouvelles mesures visant à garantir plus d’efficacité et de responsabilité dans la lutte contre le sida.

Le Directeur exécutif de l'ONUSIDA, Michel Sidibé, a présenté son rapport d'avancement le premier jour de la rencontre, dans lequel il a souligné les résultats positifs de la Réunion de haut niveau 2011 des Nations Unies sur le sida. Il a également insisté sur l’importance d’adopter une nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le sida, portant sur le lien entre les violences faites aux femmes et le sida dans les situations de conflit ou post-conflit.

Lors de la Réunion de haut niveau 2011 sur le sida, les États membres des Nations Unies ont adopté une nouvelle Déclaration politique sur le VIH/sida, qui fixe de nouveaux objectifs audacieux pour la lutte contre le VIH. « Cette déclaration a permis d’établir l’ordre du jour de la lutte à venir contre le sida et une feuille de route pour mettre fin à l’épidémie », a déclaré M. Sidibé.

Lors de son allocution, le Directeur exécutif de l’ONUSIDA a également souligné la nécessité de renforcer le concept de responsabilité partagée dans le cadre de la lutte contre le sida, tout particulièrement dans une période où les ressources internationales pour le sida sont en baisse. « Il nous faut un nouveau type de partenariat, une nouvelle façon de travailler, qui nécessitera de passer d’une logique de dépendance aux bailleurs à une logique de lutte élaborée et gérée par les pays » a-t-il indiqué.

Le principal sujet à l’ordre du jour de la 28e réunion du Conseil de coordination du programme de l’ONUSIDA a été le Cadre unifié du budget, des résultats et des responsabilités pour 2012-2015, qui a été adopté à l’unanimité par le Conseil. Ce cadre a été conçu pour améliorer la cohérence, la coordination et l’impact de la lutte des Nations Unies contre le sida, afin de maximiser l’impact de la famille de l’ONUSIDA au niveau de chaque pays.

Le Cadre relatif aux responsabilités permettra d’assurer la responsabilité à la fois en termes de résultats de programme et de rapport coût-efficacité. Le Conseil a demandé au Secrétariat de l’ONUSIDA de produire des rapports annuels sur la mise en œuvre de ce cadre.

Lors de cette réunion, des discussions ont également eu lieu sur la nécessité d’intégrer la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les programmes portant sur le VIH. Le Conseil a demandé à l’ONUSIDA de faire le bilan des stratégies nationales sur le sida afin d’identifier les lacunes et besoins en termes d’intégration des questions d’alimentation et de nutrition, et de mettre en place un plan d’action pour répondre aux besoins.

Plus de 300 participants et observateurs issus d’États membres des Nations Unies, d’organisations internationales, de la société civile et d’organisations non gouvernementales ont assisté à cette réunion, présidée par le Salvador, tandis que la Pologne a assuré la vice-présidence et l'Égypte le rôle de rapporteur.

Le rapport du Directeur exécutif de l'ONUSIDA soumis au Conseil, les décisions, recommandations et conclusions et un aperçu de l’ensemble des documents présentés à la 28e réunion du CCP sont disponibles sur unaids.org.

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L’ONUSIDA peiné par le décès du militant de la lutte contre le sida, le Dr Robert Carr


GENÈVE, le 11 mai 2011—L’ONUSIDA est profondément peiné par la disparition du Dr Robert Carr, un défenseur passionné des droits des personnes vivant avec le VIH et des communautés marginales, en particulier des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, des travailleurs du sexe et des consommateurs de drogues.

Le Dr Carr fut l’un des membres fondateurs de la Coalition des communautés vulnérables des Caraïbes, l’une des premières organisations régionales à se concentrer sur les questions relatives aux droits et aux besoins des minorités sexuelles. Il a également exercé les fonctions de Directeur exécutif du groupe de la société civile Jamaica AIDS Support. Au moment de sa mort, il était Directeur des politiques et de la mobilisation pour le Conseil international des ONG de lutte contre le sida (ICASO) à Toronto, au Canada.

« Le mouvement antisida a perdu un défenseur infatigable de la justice sociale et des droits de l’homme » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Robert Carr s’est engagé en faveur de la riposte au VIH dans les Caraïbes et dans le monde. Il nous a continûment inspirés. Mes pensées vont à sa famille et à ses amis. »

Le Dr Carr pensait que les minorités sexuelles, les communautés pauvres et marginales des Caraïbes avaient toujours été discriminées et exclues. Il a dédié sa vie au changement qu’il considérait comme urgent pour la région et au-delà. Lorsqu’on lui demanda ce qu’il défendait lors de la Conférence internationale sur le sida en 2010, il répondit, simplement, « la justice ».

Travailleur social et professeur d’université, le Dr Carr a enseigné à l’université des Antilles occidentales et il est l’auteur de nombreux articles sur les droits de l’homme et le VIH, et le contexte social des stigmatisations et des discriminations. Il a été membre du Groupe de référence de l’ONUSIDA sur le VIH et les droits de l’homme, du Forum mondial sur les HSH et les VIH et de plusieurs groupes sur le VIH et les droits de l’homme aux Caraïbes.


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L’ONUSIDA exprime sa préoccupation envers le « Projet de loi anti-homosexualité » en Ouganda


Genève, le 10 mai 2011—L’ONUSIDA est préoccupé par le projet réitéré du Parlement ougandais d’adopter un « Projet de loi anti-homosexualité ». L’ONUSIDA considère que la criminalisation fondée sur l’orientation sexuelle constitue, dans le contexte de la riposte au VIH, un déni des droits de l’homme et une menace pour la santé publique.

« Le leadership mené très tôt par l’Ouganda dans la riposte au VIH, sous la direction du Président Museveni, a contribué à juguler l’avancée de l’épidémie dans le pays », a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé. « Le respect des droits de toutes les personnes, qui incluent ceux des groupes les plus vulnérables au VIH, a conduit à l'ouverture des services de prévention, de traitement, de soins et d’accompagnement du VIH. Le projet de loi anti-homosexualité risque de remettre en cause cette avancée et de priver les ressortissants ougandais de leur dignité et de leurs droits de l’homme », a-t-il ajouté.

La loi prévoit que tout personne coupable d’actes homosexuels sera condamnée à une peine d’emprisonnement à vie ; que toute personne séropositive coupable sera condamnée à la peine de mort ; et que chaque personne est tenue de signaler à la police toute « activité homosexuelle ». L'homosexualité est illégale selon les lois existant en Ouganda et passible d’une peine maximale d’emprisonnement de 14 ans.

À l’heure où le monde prépare la Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale de l’ONU de 2011 sur le sida, en juin, afin de commémorer les 30 ans d’existence de l’épidémie de VIH et de s’engager en faveur de la vision visant zéro nouvelle infection au VIH, zéro discrimination et zéro décès dû au sida, l’ONUSIDA appelle les gouvernements à s’assurer que leurs lois soutiennent la non discrimination pour toutes les personnes affectées par le VIH.

Soixante-dix-neuf pays et territoires continuent de criminaliser les comportements homosexuels dans le monde. L’ONUSIDA invite ces pays et territoires à réviser ou abroger les lois qui discriminent les minorités sexuelles.


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Le Premier ministre de Saint-Kitts-et-Nevis assistera à la Réunion de haut niveau de 2011 sur le sida


Genève, 26 avril 2011—Le Premier ministre de Saint-Kitts-et-Nevis, le Dr Denzil Douglas, assistera à la Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations Unies sur le sida, qui rassemblera des dirigeants mondiaux à New York, du 8 au 10 juin. Le Dr Douglas a été le principal responsable de la santé et du VIH au sein de la Communauté des Caraïbes.

«L’annonce de la venue du Premier ministre Douglas à la réunion de juin envoie un message important sur l’engagement de Saint-Kitts-et-Nevis dans la redynamisation du mouvement mondial antisida aux côtés des autres dirigeants internationaux», a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé.

En 2001, les États membres des Nations Unies se sont réunis pour la première fois au sujet du VIH – ce fut la Session spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur le VIH/sida. Lors de l’examen de suivi de 2006, qui fut la Réunion de haut niveau sur le sida, les États membres se sont engagés à réaliser tous les efforts possibles pour réaliser l’objectif de l'accès universel à la prévention, aux traitements, aux soins et au soutien anti-VIH.

La Réunion de haut niveau de juin 2011 fournira une plateforme importante aux États membres de l’ONU pour évaluer les réalisations et les lacunes de la riposte mondiale au VIH, et modeler l’évolution future de l’épidémie.


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L’ONUSIDA presse la Côte d’Ivoire d’intervenir rapidement pour rouvrir les services de prise en charge du VIH


GENÈVE, 14 avril 2011 – L’ONUSIDA s’inquiète toujours des informations annonçant des interruptions de l’accès aux services de prévention, de traitement et de soins du VIH en Côte d’Ivoire, et ce, bien que le pays s’oriente vers la paix et la réconciliation.

La Côte d’Ivoire affiche la prévalence du VIH la plus élevée de l’Afrique occidentale avec un taux estimé de 3,4 % parmi la population adulte. Plus de 70 000 personnes vivant en Côte d’Ivoire étaient sous traitement antirétroviral lorsque la crise électorale a débuté à la fin 2010. Les interruptions de l’accès au traitement peuvent avoir de graves conséquences sur la santé des personnes vivant avec le VIH.

«Nous savons que les conflits et l’agitation civile peuvent accroître la vulnérabilité des personnes à l’infection à VIH et menacent la santé de ceux qui sont sous traitement antirétroviral» a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. «En cette période de transition, j’invite instamment les autorités et les organisations de la société civile de Côte d’Ivoire à rouvrir de toute urgence les services de prévention et de traitement du VIH destinés aux personnes séropositives» a-t-il ajouté.

L’ONUSIDA se réjouit de travailler avec le Président Alassane Ouattara, son gouvernement et les partenaires dans les prochains mois pour rouvrir les services basiques de santé et de prise en charge du VIH destinés à tous ceux qui en ont besoin.


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Le Président du Salvador prêtera son appui à la Réunion de haut niveau de l’ONU sur le sida


Le Salvador - premier pays d’Amérique latine à annoncer la présence de hauts responsables à la réunion de juin qui façonnera l’avenir de la riposte au VIH

Genève, 14 avril 2011Le Président du Salvador, Mauricio Funes, a retenu les dates de la Réunion de haut niveau des Nations Unies sur le sida pour y participer, à New York, en juin prochain. Cette réunion sera cruciale pour l’élaboration de l’avenir de la riposte au sida puisque les États membres de l’ONU se réunissent pour discuter des moyens de surmonter les obstacles qui continuent d’empêcher de nombreux pays à atteindre leurs objectifs en matière d’accès universel.

En 2001, les États membres avaient, pour la première fois, tenu une réunion sur le VIH qui a fait date – il s’agissait de la Session spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur le VIH/sida. Lors de l’examen de suivi, en 2006, à la Réunion de haut niveau sur le sida, les États membres se sont engagés à poursuivre leurs efforts pour atteindre l’objectif de l’accès universel à la prévention, aux traitements, aux soins et au soutien au VIH.

La réunion qui aura lieu en juin fournira une tribune aux États membres et aux partenaires pour examiner les progrès réalisés à ce jour et trouver les moyens de relever les nombreux défis posés à la riposte au sida aujourd’hui.  

«Trente ans se sont écoulés depuis le premier cas de sida signalé», a déclaré Michel Sidibé. «Au cours de ces trente années, la forme de l’épidémie a considérablement changé et il est essentiel que la riposte s’adapte aux nouvelles réalités. La promesse de soutien du Président Funes à la réunion de juin constitue un signe encourageant sur l’engagement du Salvador à prioriser le VIH dans son programme politique, et son intention de s'unir aux efforts mondiaux visant à susciter une nouvelle génération sans VIH.»

Au Salvador, le pourcentage des personnes ayant besoin de traitements, et bénéficiant d'une thérapie antirétrovirale, a augmenté de 17 % en 2004 à 53 % en 2009 – tandis que le nombre des personnes vivant avec le VIH a reculé de 27 % de 2001 à 2009.

Le Salvador a assuré la présidence du Conseil de coordination du Programme de l’ONUSIDA pour 2011. Ce Conseil de programmation de l’ONUSIDA agit en tant qu’organe directeur pour toutes les questions programmatiques liées aux politiques, aux stratégies, aux finances, au suivi et à l’évaluation de l’ONUSIDA.


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