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L'ONUSIDA salue l'accord par le National Health Institutes des États-Unis de la première licence volontaire pour la Communauté de brevets sur les médicaments
30 septembre 2010 30 septembre 2010Le National Institutes of Health des États-Unis, la Communauté de brevets sur les médicaments et UNITAID annoncent un accord historique pour la nouvelle Communauté de brevets sur les médicaments
GENÈVE, le 30 septembre 2010––Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue la décision du National Institutes of Health (NIH) qui a annoncé aujourd'hui son intention de partager des brevets avec la Communauté de brevets sur les médicaments. C'est la première fois qu'un détenteur de brevet partage une propriété intellectuelle sur les médicaments antirétroviraux avec la Communauté de brevets sur les médicaments créée il y a peu.
Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA, a déclaré : « Cette décision du NIH souligne le rôle potentiel immense que la Communauté de brevets sur les médicaments peut remplir dans l'amélioration de l'accès des personnes vivant avec le VIH à des médicaments moins chers, plus récents et plus efficaces. Je salue l'initiative du NIH et j'encourage tous les partenaires publics et privés, et principalement les sociétés pharmaceutiques et les centres de recherche, à suivre cet exemple de coopération avec la Communauté de brevets pour les médicaments afin d'élargir l'accès au traitement contre le VIH. »
C'est en juillet 2008 que UNITAID, un mécanisme financier international pour la santé, a mis en place la Communauté de brevets sur les médicaments afin d'améliorer l'accès à des médicaments antirétroviraux plus récents par le biais de la création d'un « pot commun » de brevets et d'informations sur les antirétroviraux offerts par les entreprises productrices de médicaments.
La Communauté de brevets sur les médicaments cherche à améliorer l'accès au traitement en favorisant la réduction du prix des antirétroviraux existant, en stimulant la production de médicaments plus récents de première et de deuxième ligne et en augmentant le nombre d'entreprises génériques capables de produire ces médicaments.
Dans les pays à revenu faible et intermédiaire, près de 15 millions de personnes ont besoin d'un traitement, mais seules 5 millions y ont accès. Cette annonce va contribuer à la promotion de Traitement 2.0, une plate-forme de traitement simplifiée qui comprend la production de meilleurs médicaments avec un risque de pharmacorésistance réduit et moins d'effets secondaires ; un dépistage simplifié du VIH, des techniques de contrôle plus simples et une plus grande implication de la communauté.

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La France augmente sa contribution à la riposte contre le sida
20 septembre 2010 20 septembre 2010Le Président Sarkozy soutient l'ONUSIDA dans ses efforts pour promouvoir l'intégration du SIDA dans les Objectifs du Millénaire
NEW YORK/GENÈVE, 20 septembre 2010 – L’ONUSIDA salue l’annonce du Président français Nicolas Sarkozy de verser 1,4 milliard de dollars au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme pour la période 2011-2013. L’information a été communiquée par le Président français lors du Sommet sur les objectifs du Millénaire pour le développement qui se déroule aux Nations Unies et devrait être la première de plusieurs promesses de soutien avant la Conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial du 4-5 octobre.
« À un moment où les finances publiques sont fragiles, la France a donné la priorité aux intérêts des personnes vivant avec le VIH » a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « J’invite instamment tous les autres pays à suivre l’exemple de la France pour que le Fonds mondial soit totalement financé ».
Mr Sidibé a également rencontré le Président Sarkozy et Mme Carla Bruni Sarkozy lors d’une entrevu à l’occasion du sommet des ODM. Le Président Sarkozy a salué l’approche d’ONUSIDA consistant à utiliser le SIDA pour faire progresser l’agenda de la santé en général et du développement. L’ONUSIDA promeut le concept de SIDA+ODM qui vise à intégrer le SIDA avec les autres ODM, afin d’optimiser l’efficacité dans l’utilisation des ressources et ainsi améliorer et sauver des vies.
« Investir dans la riposte contre le sida est pertinent car l’impact sur les populations est global » a déclaré M. Sidibé. « L’heure est à l’élargissement et à l’intensification des programmes, et non le contraire. Je félicite le Président Sarkozy pour son leadership audacieux et le soutien qu’il apporte à la lutte contre le sida ».
La troisième conférence de reconstitution des ressources organisées par Le Fonds mondial sera présidée par M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies, « La France, par cette annonce, ouvre la voie et affiche ses idéaux. » A-t’il déclaré, « Elle donne aux autres pays un exemple fort pour qu’ils augmentent leurs engagements en faveur du Fonds mondial, dont la reconstitution des ressources servira d’indicateur de la solidarité internationale. Au travers de l’annonce faite par le Président Sarkozy, la France se montre fermement solidaire des femmes, des hommes et des enfants qui, partout dans le monde, ont le plus besoin de traitement, de protection et de soins. »
On estime à près de 2,8 millions le nombre de personnes qui ont accès à un traitement grâce aux financements fournis par le Fonds mondial, ce qui représente plus de la moitié des personnes actuellement sous traitement. Toutefois, on considère que près de 10 millions de personnes vivant avec le VIH ont de toute urgence besoin d’un traitement aujourd’hui. Pour cinq personnes nouvellement infectées, deux seulement sont mises sous traitement.
Les dernières données compilées par l’ONUSIDA révèlent que les nouvelles infections à VIH se sont contractées de 25 % dans 22 pays très durement touchés par le sida d’Afrique subsaharienne. Grâce à la fourniture de traitements antirétroviraux à près de 5,2 millions de personnes, les décès dus au sida ont reculé.

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L'OMS et l'ONUSIDA se félicitent des résultats d'une étude de concept sur le gel vaginal révélant une réduction des risques d'infection au VIH pour les femmes
19 juillet 2010 19 juillet 2010Une étude sud-africaine a pour la première fois révélé qu’un gel contenant un médicament antirétroviral – utilisé en tant que microbicide vaginal – était à même de réduire de 39 % les risques d’infection au VIH de la femme lors d’une relation sexuelle.
VIENNE, le 19 juillet 2010 — Les résultats de cette étude, annoncés aujourd’hui à Vienne lors de la XVIIIème Conférence internationale sur le sida, ont révélé que le risque d’une infection au VIH était sensiblement réduit pour les femmes ayant recours à cette nouvelle génération de gels microbicides contenant la substance antirétrovirale ténofovir. Cette étude a également signalé une réduction sensible des cas d’herpès génital, lequel constitue une infection virale sexuellement transmissible fréquente qui accroît les risques d’infection au VIH.
Les résultats inédits de cette étude de concept ont été obtenus par le Centre sud-africain du Programme de recherche sur le sida (CAPRISA). Ce Centre a indiqué que le gel était sans danger et acceptable lorsqu’il est appliqué une fois au cours des 12 heures qui précèdent la relation sexuelle, et une fois au cours des 12 heures suivantes, chez la femme âgée de 18 à 40 ans. L’utilisation de ce gel réduirait de 39 % le nombre des infections au VIH et diminuerait de 51 % celui des infections à l’herpès simplex virus 2.
« Nous donnons espoir aux femmes. Pour la première fois, nous disposons de résultats sur un projet de prévention contre le VIH initié et suivi par des femmes », a déclaré M. Michel Sidibé, le Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Si ces études sont confirmées, ce microbicide constituera un moyen efficace pour la révolution de la prévention. Il nous aidera aussi à rompre la trajectoire de l’épidémie de sida. »
Les recherches portant sur les microbicides exclusivement destinés à l’usage des femmes, indépendamment de leur partenaire, ont commencé il y a près de vingt ans. Cette étude pourrait ouvrir la voie à de nouvelles possibilités pour la prévention contre le VIH.
« Nous nous félicitons des conclusions obtenues par l’étude du CAPRISA. Toute nouvelle avancée dans la prévention contre le VIH est enthousiasmante, en particulier lorsqu’elle touche les femmes. Nous avons hâte d’obtenir confirmation de ces résultats. Une fois qu’ils se seront avérés sans danger et efficaces, l’OMS travaillera avec les pays et ses partenaires pour accélérer l’accès à ces produits », a déclaré le Dr Margaret Chan, Directeur général de l’OMS.
L’OMS et l’ONUSIDA félicitent le CAPRISA – un centre agréé par l’ONUSIDA pour la coopération sur la recherche en matière de prévention contre VIH – pour la réalisation concluante de cette étude.
Près de la moitié des personnes vivant avec le VIH dans le monde sont des femmes. En Afrique subsaharienne, les infections touchent davantage les femmes que les hommes. Le VIH est l’une des principales causes de la mortalité maternelle.
Étant donné que la transmission du VIH est continûment élevée chez les jeunes femmes vivant dans des environnements à haut risque, il est urgent que ces résultats soient maintenant corroborés et qu’un gel au ténofovir sans danger et efficace soit rapidement accessible pour les femmes qui souhaitent l’utiliser.
Parallèlement aux essais complémentaires qui seront prochainement réalisés en vue de confirmer ces résultats, il reste plusieurs tâches à accomplir, à savoir : déterminer les modalités d’approbation applicables à cette nouvelle utilisation du ténofovir par les autorités nationales chargées de la réglementation des médicaments, explorer les canaux par lesquels les approvisionnements pourront être effectués et maintenus pour ce produit dans le cadre des programmes de prévention combinée, fixer la fréquence des dépistages au VIH, accélérer les études visant à élargir les connaissances sur la sûreté de ce produit, en particulier dans le cas de son utilisation par des jeunes femmes (âgées de moins de 18 ans) et des femmes enceintes.
L’OMS et l’ONUSIDA réuniront une consultation d’experts en août afin de stimuler et de favoriser la rapidité de l’action menée. Cette consultation rassemblera des militants de la santé de la femme et de la prévention contre le VIH, des scientifiques, des équipes de chercheurs en microbicides, des concepteurs de produits microbicides et des experts de santé publique. Leurs échanges porteront sur les étapes à venir du produit. Étant donné l’importance de la contribution des femmes, des scientifiques sud-africains, des militants et des décideurs politiques ayant participé à cette étude, du rôle moteur qu’ils ont joué à cette occasion, et de leur aide dans la mise en œuvre de cette étude sur le gel ténofovir, cette consultation aura lieu en Afrique du Sud.
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Joint statement of UN agencies on criminal charges brought against HIV activists and health and social workers in eastern Europe and central Asia
15 juillet 2010 15 juillet 2010GENEVA, 15 July 2010—Five United Nations agencies—UNICEF, UNFPA, WHO, UNAIDS, and UNDP—express concern that health and social workers have suffered as a result of their professional activities in the response to HIV in several countries in eastern Europe and central Asia.
Persecution, criminal investigation, arrests and sentencing of HIV activists as well as health and social workers affect not only the lives of the people involved but also discourage other activists and professionals, and deprive societies of some of the most valuable and vital resources in the response to the epidemic—people’s commitment and energy at the community level.
Health, social and outreach workers are at the front line of the response to HIV, providing critical assistance to the hundreds of thousands of people who need it. They also help countries meet their goals and obligations in the HIV response, linking government efforts with the most vulnerable to HIV—young people and populations at high risk of infection.
In several countries of eastern Europe and central Asia, health and social workers and volunteers have been prosecuted because of their professional activities—activities they felt compelled to carry out in order to save lives, as the epidemic does not wait for societies to adjust and re-examine principles and approaches.
The activities of these practitioners have been guided by scientific evidence on how best to achieve good public health outcomes. Often challenging taboos, health and social workers inform adolescents about the behaviours that lead to HIV infection, help injecting drug users through harm reduction activities, support prevention programmes for sex workers and men who have sex with men, and work in oral substitution centres for drug users or in health facilities in conditions that are far from perfect.
Eastern Europe and central Asia is the only region in the world where new HIV infections remain on the rise. The contribution of these front-line practitioners is essential in responding to the epidemic in the region. They need the support and protection of authorities, and their basic human rights must be ensured.
The UN agencies urge governments to acknowledge the critical role of health and social workers in the prevention and treatment of HIV infection and to better understand the complexity of their work. We appeal to the governments of the region to bring an end to counterproductive persecution and harassment, to discontinue procedures that hamper their work and release those who have been detained.
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L’ONUSIDA salue la création d’une nouvelle entité des Nations Unies dédiée aux femmes
05 juillet 2010 05 juillet 2010Genève, 5 juillet 2010 – Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue le regroupement de quatre entités des Nations Unies en charge de la promotion des femmes au sein de l’« ONU Femmes », entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes. La nouvelle entité offrira aux femmes et aux filles une nouvelle voix puissante et aidera à faire progresser la riposte au sida.
« J’ai hâte de travailler avec l’ONU Femmes » a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Ensemble, nous pouvons faire en sorte que toutes les femmes vivant avec le VIH aient un accès au traitement lorsqu’elles en ont besoin. Le plus important est que nous pouvons restaurer leur dignité et leurs droits ».
Près de la moitié des personnes vivant avec le VIH dans le monde sont des femmes. En Afrique subsaharienne, il y a plus de femmes infectées par le virus que d’hommes. Le VIH est la principale cause de mortalité des mères et à l’origine d’un décès maternel sur cinq.
Les inégalités entre les sexes, la violence, l’absence d’accès à l’éducation, à la santé et aux opportunités économiques rendent les femmes vulnérables au VIH.
Toutefois, en travaillant en équipe et sur des objectifs communs, la riposte au sida et le mouvement en faveur de la promotion des femmes peuvent réduire considérablement l’impact du virus sur celles-ci et leur famille.
L’ONUSIDA a récemment souligné l’importance de la promotion de l’égalité des sexes et de l’éradication de la violence et de la discrimination à l’encontre des femmes en nommant la célèbre chanteuse Annie Lennox ambassadrice internationale de bonne volonté de l’ONUSIDA. Cette dernière a pour mission spécifique de sensibiliser et de soutenir les femmes affectées par l’épidémie de sida.
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L’ONUSIDA se félicite de l’annonce américaine en faveur de l’Initiative pour la santé mondiale (GHI)
18 juin 2010 18 juin 2010GENÈVE, 18 juin 2010 – L’ONUSIDA se félicite de l’annonce faite par le gouvernement américain en faveur de la nouvelle Initiative pour la santé mondiale (GHI) et de ses premières décisions. Cette initiative, qui s’élève à 63 milliards de dollars USD sur six ans, vise à améliorer les résultats produits par le secteur de la santé et à renforcer les systèmes de santé existants. Elle entend mettre sur pied des programmes exhaustifs dans plus de 80 pays, lesquels ambitionnent de sauver des vies humaines, notamment par la prestation de services contre le VIH auprès des femmes, des bébés et des enfants.
« En renforçant les systèmes de santé existants et en intégrant les services contre le VIH, on assure aux personnes vivant avec le VIH des soins de qualité », a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « L’Initiative pour la santé mondiale ne doit pas diminuer son appui à l’engagement mondial, lequel a promis des traitements et des services de soutien contre le VIH à des millions de personnes. L’ONUSIDA se réjouit à l’idée de travailler étroitement avec les structures dirigeantes de cette Initiative. Il entend promouvoir l’appropriation, par les pays, de la réalisation de l’objectif de l’accès universel aux services de prévention, de traitements, de soins et de soutien contre le VIH. »
Le Bangladesh, l’Éthiopie, le Guatemala, le Kenya, le Malawi, le Mali, le Népal et le Rwanda ont été choisis pour former un premier ensemble de pays-partenaires. Ils recevront des ressources de la part de GHI en vue d’étayer, selon leurs priorités nationales, leurs programmes de santé existants. Des procédures strictes de suivi et d’évaluation seront mises en œuvre pour assurer la responsabilisation et stimuler la professionnalisation. Elles permettront d’identifier les obstacles et d’introduire rapidement des améliorations.
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L’ONUSIDA se félicite de l’adoption d’une norme de travail internationale sur le VIH
17 juin 2010 17 juin 2010
La nouvelle norme a été adoptée par les délégués présents à la Conférence internationale du Travail, à l’issue de deux années de débats intenses et actifs. Genève, 17 juin 2010.
Source : OIT
Genève, 17 juin 2010 — Les représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs réunis pour la conférence annuelle de l’Organisation internationale du Travail (OIT) ont aujourd’hui adopté une norme de travail internationale qui fait date. Cette norme vise à renforcer la riposte mondiale au VIH en milieu professionnel.
Elle s’ajoute au Recueil de directives pratiques sur le VIH/sida de l’OIT pour 2001. Elle vient renforcer et étendre les politiques antidiscriminatoires relatives au monde du travail. Elle réitère le droit des personnes à conserver leur emploi quel que soit leur statut sérologique et fait valoir que les salariés ne doivent pas être contraints d’effectuer un dépistage au VIH pour des raisons professionnelles. Elle défend également la nécessité de mener une action ciblée pour protéger les droits des populations plus vulnérables à l’infection au VIH.
« Les travailleurs, qui constituent la sève de l’économie, doivent être protégés », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « La nouvelle norme de l’OIT nous permettra de faire un pas de plus vers notre objectif d’accès universel aux services de prévention, de traitements, de soins et de soutien contre le VIH. »
Dans tous les pays, le virus affecte la tranche d’âge qui est la plus économiquement active. La majorité des 33,4 millions de personnes vivant avec le VIH sont des travailleurs qualifiés et expérimentés. Leurs familles, leurs communautés et leur pays ont fortement besoin d’eux.
La nouvelle norme de travail constitue le premier instrument juridique, approuvé au niveau international, qui concerne expressément le VIH sur le lieu de travail. Elle vise à accroître sensiblement l’impact des programmes de prévention et de traitement contre le VIH sur les travailleurs dans le monde.
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Le Dr Peter Piot nommé Directeur de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres
31 mai 2010 31 mai 2010
GENÈVE, 31 mai 2010 – L’ONUSIDA félicite le Dr Peter Piot pour sa récente nomination en qualité de Directeur de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres, une école nationale supérieure de santé publique et une institution majeure pour la recherche et l’enseignement postuniversitaire sur la santé mondiale.
« Dans ces nouvelles fonctions, Peter Piot apporte une vision unique en son genre et une riche expérience en santé publique mondiale », a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé. « L’ONUSIDA se réjouit à l’idée de renforcer sa collaboration avec cette École londonienne aujourd’hui placée sous la conduite de Peter Piot. »
Le Dr Piot a assumé les fonctions de Directeur exécutif de l’ONUSIDA et de Secrétaire général adjoint des Nations Unies entre 1995 et 2008. Il dirige actuellement l’Institut pour la santé mondiale tout en étant professeur de santé mondiale à l’Imperial College de Londres.
De plus amples informations sur cette nomination sont disponibles (en anglais) sur : http://www.lshtm.ac.uk/news/2010/lshtmnewdirector.html
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L’ONUSIDA exprime sa vive inquiétude concernant un jugement au Malawi
20 mai 2010 20 mai 2010GENEVE, 20 mai 2010 – L’ONUSIDA se dit très préoccupé par la condamnation prononcée par un tribunal correctionnel du Malawi à l’encontre de Steven Monjeza et Tiwonge Chimbalanga.
Les deux hommes avaient été arrêtés puis inculpés par des officiers de police en décembre 2009 pour « pratiques indécentes entre hommes » et « actes contre nature ». Ils ont ensuite été maintenus en détention pendant près de cinq mois, malgré plusieurs demandes de libération conditionnelle et des inquiétudes sur leur état de santé. Ils ont tous deux été condamnés à 14 ans de prison et de travaux forcés.
L’ONUSIDA considère la criminalisation fondée sur l’orientation sexuelle des individus comme un pas en arrière pour la protection des droits de l’homme, qui menace les avancées en matière de santé publique dans la lutte contre le sida. La criminalisation des comportements sexuels contraint les personnes homosexuelles à la clandestinité et entrave les programmes relatifs au VIH destinés à répondre à leurs besoins.
Plus de 80 pays à travers le monde considèrent que l’homosexualité est illégale. L’ONUSIDA exhorte tous les gouvernements à assurer le plein respect des droits humains des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, des lesbiennes et des personnes transsexuelles en abrogeant les lois qui interdisent les actes sexuels entre adultes consentants dans la sphère privée ; en appliquant des lois qui protègent ces groupes contre la violence et la discrimination ; en favorisant les campagnes de lutte contre l’homophobie et la transphobie ; et en faisant en sorte de répondre aux besoins essentiels en matière de santé.
L’ONUSIDA exprime sa vive inquiétude concernant u
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Journée internationale du vaccin contre le VIH
18 mai 2010 18 mai 2010Message de Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA
Genève, 18 mai 2010 — La création de la Journée internationale du vaccin contre le VIH montre clairement que le meilleur espoir de mettre un terme à l’épidémie de sida passe par un vaccin sûr et très efficace contre le VIH.
Suite aux résultats modestes mais encourageants d’une protection de 31 % contre l’infection lors de l’essai de vaccin anti-VIH en Thaïlande en 2009, la mise au point d’un vaccin sûr et performant n’a jamais été aussi près d’aboutir. Toutefois, réaliser cette prouesse suppose encore surmonter des défis de taille et beaucoup reste à faire.
Je tiens à louer les efforts inlassables des communautés, des participants à l‘étude et des chercheurs qui ont contribué à l’objectif d’élaborer un vaccin sûr et efficace. La mise au point d‘un vaccin est un effort commun qui, au fil des années, a montré tout l’intérêt d’un partenariat entre le Nord et le Sud — tant au niveau du partage d’idées et de connaissances que de l’obtention de résultats.
L’ONUSIDA soutient la recherche d’un vaccin contre le VIH et continuera à œuvrer avec ses partenaires pour appuyer les programmes en vue de la mise au point d’un tel vaccin. Avec 2,7 millions de nouvelles infections en 2008, il est impératif de continuer à investir dans la recherche d’autres stratégies de prévention.
Dans le même temps, l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui en matière de VIH doit rester une priorité absolue.
Nous devons prendre en charge sans tarder toutes les personnes vivant avec le VIH nécessitant un traitement et accélérer nos efforts pour prévenir les nouvelles infections ; en effet, chaque fois que deux personnes commencent un traitement qui leur sauvera la vie, cinq autres contractent l’infection.
Journée internationale du vaccin contre le VIH
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