Male circumcision

Male circumcision and HIV: a web special series

23 février 2007

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Male circumcision is one of the world’s oldest surgical practices; carvings depicting circumcisions have been found in ancient Egyptian temples dating as far back as 2300 BC.

In recent months, the issue of male circumcision and its links to the transmission of HIV has hit the headlines and sparked debates across the world. Trials in Kenya, Uganda and South Africa have now all shown that male circumcision significantly reduces a man’s risk of acquiring HIV.

As UNAIDS, the World Health Organization and other partners prepare to look at how to take these findings forward, in terms of UN guidance to countries on policy and programming, at a consultation to be held in Geneva from 5-8 March 2007, www.unaids.org takes an in-depth look at the issue of male circumcision in a special three-part series. Where did male circumcision originate, who practices it and why? These questions and others relating to the history and determinants of male circumcision will be considered in part one of the series – ‘Male Circumcision: context, criteria and culture’, published on Monday 26 February. On Wednesday 28 February, part two –‘Male circumcision and HIV: The here and now’ will summarize current research findings on male circumcision and HIV acquisition. Part three, to be published on Friday 2 March will discuss future action and developments from the United Nations and feature a special interview with UNAIDS Chief Scientific Adviser, Dr Catherine Hankins.


Male Circumcision: context, criteria and culture (Part 1)
Male Circumcision and HIV: the here and now (Part 2)
Moving forwards: UN policy and action on male circumcision (Part 3) 

L’ONUSIDA salue la préqualification par l’OMS du premier dispositif non chirurgical pour la circoncision des hommes adultes à des fins de prévention du VIH

07 juin 2013


GENÈVE, 7 juin 2013 – Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue la récente annonce de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) concernant la préqualification, pour la première fois, d’un dispositif non chirurgical (PrePex™) pour la circoncision des hommes adultes à des fins de prévention du VIH.

Les preuves ne manquent pas pour confirmer que la circoncision masculine médicale réduit de 60 % la transmission du VIH de la femme à l’homme. L’OMS et l’ONUSIDA invitent instamment les pays où la prévalence du VIH est élevée et les taux de circoncision masculine faibles à élargir l’accès à une circoncision masculine médicale volontaire et sûre dans le cadre de leurs efforts de prévention du VIH.

Cependant, de nombreux pays ont des difficultés à promouvoir à grande échelle la circoncision masculine médicale volontaire pour prévenir le VIH en raison, notamment, de la pénurie de prestataires formés et spécialisés en chirurgie pour effectuer la procédure chirurgicale conventionnelle actuelle.

Comparé à cette procédure, le dispositif PrePex™ ne nécessite d’ordinaire pas d’injection d’anesthésique ou de points de suture, et son utilisation sans risque a été prouvée par des médecins et des prestataires de niveau intermédiaire dûment formés pouvant disposer d’une assistance chirurgicale en cas de besoin.

« Ce type d’innovation susceptible de contribuer à améliorer l’efficience, l’accès et la sécurité de la circoncision masculine médicale volontaire, et de favoriser à la fois une augmentation de sa demande, est tout à fait bienvenu » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Si on l’utilise davantage, ce dispositif pourrait avoir un impact significatif sur les efforts de prévention du VIH dans des zones où la prévalence du virus est élevée et les niveaux de circoncision masculine faibles ».

Depuis le début des programmes de circoncision masculine médicale volontaire à des fins de prévention du VIH en 2007, on estime à 2 millions le nombre d’hommes ayant fait l’objet d’une circoncision en Afrique orientale et australe. L’ONUSIDA considère que la circoncision masculine médicale volontaire devrait permettre d’éviter environ une nouvelle infection à VIH sur cinq dans la région d’ici à 2025. Il faudra cependant élargir et intensifier considérablement les programmes pour optimiser l’impact de cette pratique sur la santé publique.

La circoncision masculine médicale fournit aux hommes une protection partielle contre la transmission lors de rapports hétérosexuels. L’OMS et l’ONUSIDA recommandent qu’elle soit sérieusement intégrée aux approches de prévention combinée de l’infection à VIH qui englobent une utilisation correcte et régulière des préservatifs masculins et féminins, une réduction du nombre de partenaires sexuels, la promotion de pratiques sexuelles à moindre risque – telles que les rapports sexuels sans pénétration, le traitement des infections sexuellement transmissibles et la fourniture d’un traitement antirétroviral aux personnes vivant avec le VIH admissibles à celui-ci.


Contact

ONUSIDA Genève
Sophie Barton-Knott
tél. +41 79 514 6896 / +41 22 791 1697
bartonknotts@unaids.org

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