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Message de clôture d’une réunion du Directeur exécutif de l'ONUSIDA avec des dirigeants de la société civile en Afrique du Sud
10 mai 2018 10 mai 2018GENÈVE, 10 mai 2018 — Lors de ma récente visite en Afrique du Sud, je vous ai écouté attentivement et je vous ai compris. L'épidémie de VIH a un rapport inextricable avec la violence sexuelle et sexiste. On ne peut compter sans la détermination des défenseurs que vous êtes pour faire avancer cette cause.
Rassemblons-nous et abordons le harcèlement sexuel et l'inégalité entre les sexes. Il faut mettre en place un programme de transformation visant à lutter contre le harcèlement sexuel et l'inégalité entre les sexes. Travaillons ensemble à cet effet, consacrons notre temps et notre énergie à cet important programme.
La société civile a pour devoir sacré de remonter la réalité du terrain vers les décideurs et ne devrait jamais se lasser face à la peur de la perte de ressources (financières et autres). Vous êtes une contributrice autonome et importante à la riposte au sida et devez le rester. Les femmes et les hommes de l'ONUSIDA, dans toute leur diversité, apprécient le soutien de la société civile qui leur est restée solidaire et les a accompagné dans la lutte pour l'égalité et les droits des femmes.
Rassemblons le mouvement du VIH autour de ces problématiques. En travaillant ensemble, nous pouvons mettre en place un mouvement dynamique qui aborde les intersections entre le VIH, le harcèlement sexuel et l'inégalité entre les sexes. En collaboration avec vous, je lance un appel en faveur d'une rencontre des femmes en Afrique pour trouver la voie à suivre en vue de mettre fin au harcèlement sexuel.
Je vous ai compris. Je vous ai tous écouté. Je vais agir.
Michel Sidibé
Directeur exécutif de l'ONUSIDA
Secrétaire général adjoint des Nations Unies
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Le Bureau du Conseil de Coordination du Programme de l'ONUSIDA publie les termes de référence des travaux du Groupe d'experts indépendants sur le harcèlement
07 mai 2018 07 mai 2018GENÈVE, 7 mai 2018 - Le Bureau du Conseil de Coordination du Programme de l'ONUSIDA a décidé de la portée et de la nature du travail du Groupe d'experts indépendant sur la prévention et la réponse au harcèlement, notamment le harcèlement sexuel, l'intimidation et l'abus de pouvoir au Secrétariat de l'ONUSIDA en consultation avec les trois groupes constituants du CCP. Le Bureau du CCP est composé du Royaume-Uni, de la Chine, de l'Algérie, de la délégation des organisations non gouvernementales du CCP et du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés représentant les Coparrainants de l'ONUSIDA. Le mandat convenu guidera les travaux du groupe au cours des prochains mois.
Ledit mandat stipule que le Groupe est chargé :
- D’examiner la situation actuelle et celle au cours des sept dernières années du Secrétariat de l'ONUSIDA en matière de harcèlement, notamment le harcèlement sexuel, l'intimidation et l'abus de pouvoir et les représailles afin d’évaluer la culture organisationnelle au siège et dans les bureaux régionaux et de pays.
- D'évaluer l'efficacité des politiques et procédures en vigueur pour prévenir et combattre le harcèlement, notamment le harcèlement sexuel, l'intimidation, les représailles et l’abus de pouvoir au sein du Secrétariat de l'ONUSIDA.
- De recommander un ensemble exhaustif de mesures prioritaires sur la culture organisationnelle, les politiques et les procédures équitables et régulières en matière de harcèlement, notamment le harcèlement sexuel, l'intimidation et l'abus de pouvoir et les représailles sur le lieu de travail.
Le groupe examinera tous les domaines pertinents. Il examinera le leadership et la culture, les politiques et les stratégies de l'ONUSIDA pour la prévention du harcèlement et les raisons du faible niveau de signalement officiel du harcèlement. En outre, le groupe examinera les processus d'enquête appliqués par le Secrétariat de l'ONUSIDA et formulera des recommandations sur la manière de veiller à ce qu'elles soient adaptées à l'objectif et équitables. Il formulera également des recommandations pour s'assurer que le Secrétariat de l'ONUSIDA dispose de systèmes internes suffisamment fiables pour reconnaître des comportements inacceptables et réagir rapidement et formulera des recommandations pour s'assurer que la redevabilité est visible et assurée à tous les niveaux de l'ONUSIDA.
Dans ses travaux, le groupe s'inspirera des enseignements tirés et des meilleures pratiques d'autres organisations du système des Nations Unies ainsi que d'autres partenaires. Le groupe est indépendant de la haute direction de l'ONUSIDA et, dans le cadre de ses travaux, il consultera les États membres des Nations Unies, les organisations non gouvernementales du CCP, les Coparrainants de l'ONUSIDA et le personnel de l'ONUSIDA.
Le Directeur de l’ONUSIDA, M. Sidibé, a déclaré : « Je soutiens pleinement le travail du groupe et la façon dont le Conseil de Coordination du Programme de l'ONUSIDA l’a conçu et composé d'experts indépendants. Je fournirai tout ce qui est nécessaire pour que les dirigeants du Conseil puissent continuer de mener un processus transparent. J'attends avec impatience le rapport du groupe et je m'engage à mettre en œuvre rapidement ses recommandations ».
Demandé en février 2018 par M. Sidibé, le groupe est l'une des mesures visant à renforcer la culture de tolérance zéro pour le harcèlement, les abus et les comportements contraires à l'éthique à l'ONUSIDA. Parmi les autres mesures annoncées en février, figure le plan en cinq points qui vise à reconnaître promptement les comportements inappropriés et abusifs, à documenter les mesures prises et à prendre les mesures qui s'imposent, de manière rapide et efficace. Le plan en cinq points appelle également à une meilleure protection des plaignants et des dénonciateurs. Les recommandations du groupe devraient influencer la mise en œuvre du plan en cinq points.
Le groupe comprendra jusqu'à cinq experts indépendants. Il présentera son rapport final avec ses recommandations à la 43ème réunion du CCP en décembre 2018.
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L'ONUSIDA se félicite des résultats préliminaires des essais qui pourraient offrir aux femmes une nouvelle option de prévention du VIH
07 mars 2018 07 mars 2018GENÈVE, 7 mars 2018 — L'ONUSIDA salue les résultats à mi-parcours de deux études qui montrent qu'un anneau vaginal libérant un médicament antirétroviral à action prolongée pour prévenir le VIH est efficace jusqu'à 54 % dans la prévention de l’infection à VIH chez les femmes. L'anneau, qui est remplacé tous les mois, libère lentement le médicament antirétroviral dapivirine et pourrait donner aux femmes une option supplémentaire de prévention du VIH qui est discrète et qu'elles peuvent contrôler.
« Ces résultats sont déterminants », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Les facteurs structurels, comportementaux et biologiques rendent les femmes plus vulnérables aux infections à VIH. Il est donc extrêmement important qu'elles aient la possibilité de se protéger du VIH, à travers leur propre approche ».
Les résultats provisoires proviennent de deux grandes études ouvertes : des études dans lesquelles les participants savent quel médicament est utilisé ; c'est-à-dire qu'aucun placebo n'est utilisé. Ces études ont été réalisées en Afrique du Sud et en Ouganda. Des femmes âgées de 20 à 50 ans ont été recrutées.
L'essai HOPE, qui a débuté en août 2016 et qui a recruté plus de 1400 femmes en octobre 2017, au moment de l'examen à mi-parcours, a permis de réduire de 54 % le risque de contracter le VIH. Cela signifie que le taux de nouvelles infections à VIH était de 1,9 femme nouvellement infectée pour 100 participantes dans une année donnée. En se fondant sur une modélisation statistique, les chercheurs ont déterminé que le taux de nouvelles infections aurait été de 4,1 pour 100 si les anneaux n'avaient pas été donnés aux femmes. L'étude DREAM, qui a recruté 940 femmes à partir de juillet 2016, a abouti aux résultats similaires, avec une réduction de 54 % du taux d'incidence du VIH. Les résultats finaux des deux études sont attendus en 2019.
L'observance s'est révélée élevée dans les deux essais, bien que les mesures d'observance n'aient pas permis de déterminer si les femmes utilisaient l’anneau tout le temps, la plupart du temps ou juste une partie du temps. L'étude DREAM a montré en fonction des concentrations résiduelles, que plus de 90 % des femmes de l'étude utilisaient l’anneau au moins une partie du temps, et l'étude HOPE a montré que 89 % des anneaux retournés indiquaient une utilisation au moins une partie du temps au cours du mois précédent.
C'est la première fois qu'une efficacité de plus de 50 % a été observée dans des essais de prévention du VIH exclusivement avec les femmes comme participantes. Deux essais antérieurs de phase III présentés en 2016 à savoir ASPIRE/MTN-020 et l'étude Ring/IPM 027-qui comprenait un groupe placebo ont montré une protection modeste (30 %) contre les infections à VIH chez les femmes. Les femmes d'ASPIRE et de l'étude Ring ont été incluses dans les essais HOPE et DREAMS.
D'autres avancées scientifiques dans la prévention du VIH présentées ces dernières années incluent les études PROUD et IPERGAY qui ont rapporté en 2015, une réduction de 86 % de l'infection à VIH chez les hommes séronégatifs ayant pris des médicaments antirétroviraux pour prévenir le VIH ; la déclaration sur l’essai HPTN 052 de 2011 selon laquelle l'initiation précoce de la thérapie antirétrovirale peut réduire de 96 % le risque de transmission à un partenaire non infecté et les études Partners PrEP et TDF2 de 2011, qui montrent qu'une pilule antirétrovirale prise par des personnes non infectées par le VIH peut réduire leur risque d’infections à VIH jusqu'à 73 %. L'essai South Africa Orange Farm Intervention Trial, financée par l’Agence Nationale de Recherches sur le SIDA (ANRS) et publié en 2005, a démontré une réduction de plus de 60 % des infections à VIH chez les hommes circoncis.
« Ces percées importantes montrent à quel point il est essentiel de continuer à investir dans la recherche et le développement pour proposer de nouvelles options efficaces de prévention du VIH », a déclaré M. Sidibé. Les derniers rapports montrent qu'en 2016, le financement de la recherche et développement en prévention du VIH a atteint son niveau le plus bas en dix ans, sans que rien n'indique que les investissements devraient augmenter.
L'ONUSIDA souligne que malgré les récentes découvertes scientifiques, il n'existe toujours pas de méthode qui protège intégralement contre le VIH. Pour mettre fin à l'épidémie de sida, l'ONUSIDA recommande fortement une combinaison d'options de prévention du VIH. Celles-ci peuvent inclure l'utilisation correcte et constante de préservatifs masculins ou féminins, une attente plus longue avant d'avoir des rapports sexuels, la réduction du nombre de partenaires, la circoncision masculine médicale volontaire, l'évitement des rapports sexuels avec pénétration, l’utilisation d'une prophylaxie pré-exposition pour les personnes à risque élevé de l'infection à VIH et l'assurance que toutes les personnes vivant avec le VIH ont un accès immédiat aux médicaments antirétroviraux.
Selon les estimations, en 2016 / 2017* :
* 20,9 millions de personnes avaient accès à la thérapie antirétrovirale, en juin 2017
36,7 millions [30,8 millions - 42,9 millions] de personnes dans le monde vivaient avec le VIH
1,8 million [1,6 million - 2,1 millions] de personnes étaient nouvellement infectées par le VIH
1,0 million [830 000 - 1,2 million] de personnes sont décédées de maladies liées au sida
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Message de la Journée internationale de la femme
08 mars 2018 08 mars 2018
8 mars 2018
Michel Sidibé
Directeur exécutif de l'ONUSIDA
Secrétaire général adjoint des Nations Unies
À l'occasion de la Journée internationale de la femme, le monde célèbre la capacité des organisations féminines et des militants de leur cause à promouvoir le droit de la femme à la santé, à plus d’équité ainsi qu’à son autonomisation. Autonomiser les femmes et leur donner la possibilité de prendre des initiatives est essentiel pour l’atteinte de l'ensemble des 17 objectifs de développement durable.
Les femmes et les filles continuent d'être touchées de manière disproportionnée par le VIH. Dans l’ensemble, les jeunes femmes sont deux fois plus susceptibles de devenir séropositives par rapport à leurs homologues masculins. En Afrique subsaharienne, les jeunes femmes à elles seules ont trois nouvelles infections à VIH sur quatre dans la tranche de 15 à19 ans. Globalement, près de 30 % des femmes subissent des violences physiques ou sexuelles d'un partenaire intime au moins une fois dans leur vie.
Mais le changement est en train de se produire. Cette année, la Journée internationale de la femme est célébrée à un moment où il faut plus que jamais mettre l'accent sur les problématiques de harcèlement sexuel dans différents secteurs, notamment le secteur privé, les gouvernements, les organisations internationales et la société civile. Des mouvements tels que #MeToo remettent en question les comportements et les croyances qui perpétuent l'inégalité entre les sexes, la violence sexiste et le harcèlement sexuel. L'ONUSIDA réaffirme son engagement à la tolérance zéro contre le harcèlement sexuel. L'ONUSIDA est tenu d’observer les mêmes normes d'éthique, d'équité et de respect qu'il promeut et exige des autres.
De plus en plus de voix se joignent pour prendre des initiatives contre les inégalités socioculturelles, économiques et politiques qui rendent les femmes et les filles plus vulnérables au VIH. Ces changements sont utiles pour les femmes et les filles. Nous savons qu'en permettant aux femmes et aux filles de jouir de leurs droits à la santé, à l'éducation et à l'autodétermination, la transformation devient possible. Les infections à VIH diminuent. La santé s'améliore. L'éducation s’intensifie. Les femmes et les filles prospèrent.
Ces changements sont utiles pour les communautés, les familles et, les hommes et les garçons. Les femmes et les filles qui peuvent exercer leurs droits sont mieux à même de travailler, de participer à la société civile et au gouvernement, de garder leur famille en bonne santé et de jouir de relations équitables entre les sexes.
Il est clair que nous pouvons mettre fin à l'épidémie de sida d'ici 2030. Mais pour atteindre cet objectif, il est impérieux de promouvoir un programme de justice sociale qui exige l'accès sans discrimination ni violence aux services de santé, à l'éducation, à l'emploi, à la justice et à la représentation politique. La riposte au sida doit se faire dans un contexte de responsabilisation, de sécurité et d'équité et les personnes qui la dirigent doivent être responsabilisées et dotées de capacités et compétences nécessaires.
Le changement est en train de se produire et il est bienvenu.


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Message de la Journée mondiale du sida 2017
24 novembre 2017 24 novembre 20171er décembre 2017
Michel Sidibé
Directeur Exécutif de l’ONUSIDA
Secrétaire général adjoint des Nations Unies
En cette Journée mondiale de lutte contre le sida, nous mettons en lumière l’importance du droit à la santé et les défis auxquels sont confrontées les personnes séropositives en réclamant ce droit.
Le droit à la santé fait partie des droits fondamentaux des droits de l’homme : chacun a le droit de jouir du meilleur état de santé physique et mentale, comme énoncé dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels.
Le monde n’atteindra pas les objectifs de développement durable, et notamment l’objectif de mettre fin à l’épidémie de sida d’ici 2030, si les personnes ne parviennent pas à obtenir le droit à la santé. Le droit à la santé est corrélé à un large éventail d’autres droits, notamment le droit à l’assainissement, à la nourriture, à un logement décent, à des conditions de travail saines et à un environnement propre.
Le droit à la santé possède un large éventail de significations : il signifie qu’aucune personne ne dispose d’un droit supérieur à une autre en termes de droit à la santé ; qu'il existe une infrastructure de soins de santé adéquate ; que les services de soins de santé sont respectueux et non discriminatoires, que les soins de santé doivent être médicalement appropriés et de bonne qualité. Mais le droit à la santé est plus important que cela : en parvenant à obtenir le droit à la santé, les rêves pourront être réalisés et les promesses tenues.
Lors de chaque journée mondiale de lutte contre le sida, nous nous souvenons des membres de nos familles et nos amis qui sont décédés à la suite de maladies associées au sida, et nous réitérons notre solidarité avec tous ceux qui vivent avec le VIH ou qui sont affectés par le VIH.
Dès le début, la riposte contre le sida s’est fondée sur le droit à la santé fondamental et le bien-être. La communauté du sida a plaidé en faveur de systèmes de santé basés sur les droits et de l'accélération des efforts afin que le monde comprenne le VIH : comment le prévenir et comment le traiter.
De trop nombreuses personnes, notamment les personnes les plus marginalisées et les plus affectées par le VIH font toujours face à des défis concernant l’accès aux services sociaux et de santé dont elles ont urgemment besoin. Nous devons tous continuer à nous épauler avec les personnes laissées de côté et faire en sorte que personne ne renie leurs droits humains.
Cette année a vu des étapes significatives franchies sur la voie des objectifs de traitement 90-90-90 afin de mettre un terme à l’épidémie de sida d’ici 2030. Près de 21 millions de personnes vivant avec le VIH sont désormais sous traitement et les nouvelles infections du VIH ainsi que les décès liés au sida sont entrain de décliner dans de nombreuses parties du monde. Mais nous ne devons pas nous satisfaire de ce résultat. En Europe de l'Est et en Asie Centrale, les nouvelles infections du VIH ont augmenté de 60 % depuis 2010, et les décès liés au sida de 27 %. En outre, l’Afrique Centrale et de l’Ouest est toujours laissée de côté. Deux personnes sur trois n’ont pas accès au traitement. Nous ne devons pas avoir une approche à deux vitesses pour mettre fin à l'épidémie de sida.
Malgré tous nos succès, le sida n’est pas encore terminé. Mais en s’assurant que chacun, partout, puisse obtenir le droit à la santé, il peut l’être.
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L’ONUSIDA salue la nomination de Peter Sands au poste de Directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
14 novembre 2017 14 novembre 2017GENÈVE, 14 novembre 2017 — L’ONUSIDA se félicite de la nomination de Peter Sands en tant que nouveau Directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial).
« Le Fonds mondial est un partenaire essentiel pour l’ONUSIDA », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « M. Sands possède l’expérience, le leadership et la vision nécessaires pour accomplir cette mission et je me réjouis vraiment de travailler avec lui pour améliorer la vie de millions de gens dans le monde ».
L’ONUSIDA travaille en étroite collaboration avec le Fonds mondial depuis sa création en 2002. L’ONUSIDA s’appuie sur ses relations et ses partenariats pour aider les pays à consolider les ressources du Fonds mondial, mettre en œuvre les programmes de subventions et surmonter les obstacles. En collaboration avec d’autres donateurs et gouvernements, le Fonds mondial réunit les ressources requises pour organiser une riposte efficace au VIH, à la tuberculose et au paludisme.
Ensemble, l’ONUSIDA et le Fonds mondial ont permis à des millions de personnes vivant avec le VIH d’accéder à un traitement et aux personnes les plus touchées par l’épidémie de bénéficier des services de santé et d’appui dont elles ont besoin.


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L'ONUSIDA se félicite de la nomination de Natalia Kanem au poste de Directrice exécutive du UNFPAP
05 octobre 2017 05 octobre 2017GENÈVE, le 5 octobre 2017 — L'ONUSIDA se félicite de la nomination par le Secrétaire général des Nations Unies, de Natalia Kanem au poste de directrice exécutive du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA).
M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA a fait les déclarations suivantes à cet effet : « Dans le cadre du Programme commun des Nations Unies sur le VIH / sida, le travail du Fonds des Nations Unies pour la population est essentiel pour répondre aux besoins des femmes et des adolescentes en matière de santé génésique. J'ai hâte de travailler en étroite collaboration avec Mme Kanem. Son expérience en santé publique, son leadership fort et son engagement pour la justice sociale seront inestimables dans nos interventions pour mettre fin au sida en tant que menace pour la santé publique ».
L'UNFPA est la principale institution des Nations Unies pouvant établir un monde où chaque grossesse est souhaitée, chaque accouchement est sécurisé et le potentiel de chaque jeune est atteint. La riposte du UNFPA au VIH fait partie intégrante de ses objectifs visant à assurer l'accès universel à la santé sexuelle et reproductive et à mettre fin à la violence sexiste. L'UNFPA promeut des services intégrés de VIH et de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les populations clés et les femmes et les filles, notamment pour les personnes vivant avec le VIH.
Dans le cadre des activités du UNFPA sur la prévention du VIH, Mme Kanem coorganise une réunion de la Coalition mondiale pour la prévention avec M. Sidibé pour finaliser le travail sur la feuille de route de la prévention du VIH 2020, une feuille de route pour accélérer les interventions de prévention du VIH et 75 % d'ici 2020
L'UNFPA est l'un des onze coparrainants de l'ONUSIDA qui travaillent à mettre fin à l'épidémie de sida dans le cadre des Objectifs de développement durable. L'UNFPA fait également partie du partenariat H6 qui réunit les forces collectives et les compétences distinctes de six organismes des Nations Unies, d'organisations et de programmes connexes pour améliorer la santé et sauver la vie des femmes et des enfants dans le monde entier.
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L'ONUSIDA se félicite de la nomination par l'UNESCO, d’Audrey Azoulay en tant que nouvelle directrice générale
16 octobre 2017 16 octobre 2017GENÈVE, 16 octobre 2017— L'ONUSIDA se félicite vivement de la nomination par le Conseil exécutif de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la culture et la science (UNESCO) d’Audrey Azoulay, au poste de nouvelle directrice générale.
Pour Monsieur Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA : « L'engagement d'Audrey Azoulay à promouvoir le respect de la diversité, l'égalité des sexes et l'accès à l'éducation et à la culture sera inestimable dans son nouveau rôle. Ce sont des valeurs que nous partageons. L'ONUSIDA a hâte de collaborer étroitement avec Mme Azoulay et l'UNESCO pour davantage renforcer notre détermination à travailler avec les secteurs de l'éducation, de la science et de la culture dans le cadre de nos efforts communs pour mettre fin au sida d'ici 2030. »
L'UNESCO était fondée en 1945 avec pour mission de concourir à la paix et à la sécurité en encourageant la collaboration internationale par l'éducation, la science et la culture. L'UNESCO est l'une des onze organisations coparrainantes de l'ONUSIDA et dirige les efforts visant à aider les pays à intensifier la riposte au VIH dans le secteur de l'éducation.
L'éducation est essentielle pour une riposte efficace au VIH et concourt à stimuler la croissance économique, à réduire la pauvreté et à améliorer la santé générale. L'éducation a la capacité de transformer des vies et de permettre aux personnes de prospérer dans leur environnement, de prendre des décisions saines et de bâtir un monde plus juste, inclusif, sécurisé et durable. Le rôle du secteur de l'éducation consiste à proposer des connaissances, compétences, attitudes et valeurs pouvant permettre aux personnes d’adopter des comportements plus sécuritaires, éviter la stigmatisation et la discrimination, rechercher des traitements et rester en bonne santé et à l'abri du VIH.
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