
Feature Story
A new blog for the development community: Conversations for a Better World
06 août 2009
06 août 2009 06 août 2009A new shared blog for the development community

The burning issues in the world today demand discussions among the whole UN family and the development community. This is why the UNFPA, the United Nations Population Fund, is launching a series called Conversations for a Better World. It is based on the idea that if the AIDS epidemic and other key development issues are to be dealt with effectively, greater attention has to be paid to population dynamics and reproductive health. The idea is to activate informed discussion and debate.
We know that many visitors to the UNAIDS website are very knowledgeable about AIDS and poverty, and we encourage them to register and share their opinions and insights. That’s what ‘Conversations’ is all about.
Neil Ford, chief of the Media and Communications Branch of UNFPA
Conversations for a Better World is a shared blog, where people can express and exchange ideas and opinions on development issues. Each month the blog will have an editorial focus on one major topic.
“Poverty and AIDS: What really drives the epidemic?” is the conversation topic that launches 6 August and includes various opinion pieces and blog-posts related to the complicated relationship between lack of access to resources and HIV. The previous conversation topic was “Women and the Economic Crisis.”

Conversations for a Better World is based on ‘the power of we’: the idea that when it comes to addressing complex challenges, collective wisdom is called for. Anyone can contribute by uploading personal stories, relevant photos or videos and comments or opinion pieces.
“We’re hoping to engage discussion from experts as well as people who are directly impacted by these issues,” said Neil Ford, chief of the Media and Communications Branch of UNFPA. “We know that many visitors to the UNAIDS website are very knowledgeable about AIDS and poverty, and we encourage them to register and share their opinions and insights. That’s what ‘Conversations’ is all about.”
- Not afraid to be provocative, subsequent Conversation topics will pose a number of questions over the coming year. These will include:
- September 2009: Young People and Times of Change: Talking about life, love and sexuality
- October 2009: Motherhood and Human Rights: Do all pregnant women have the right to live?
- November 2009: Population Dynamics and Climate Change: Who’s at the centre of the storm?
- December 2009: Sexual Violence and Progress: What are the real costs?
- January 2010: Women and Hunger: Who feeds the family, and how?
- February 2010: Migration and Prosperity: What’s fair?
You are invited to share your opinion. Start by going to www.conversationsforabetterworld.com Then, feel free to register and join the conversation!
A new blog for the development community: Convers
Cosponsors:
Feature stories:
UNFPA: Bringing HIV services directly to communities in Côte d'Ivoire (21 April 2008)
External links:
Conversations for a Better World
Contact:
Alvaro Serrano,
serrano@unfpa.org
Ida Jeng Christensen,
ichristensen@unfpa.org
Publications:
Sexual & reproductive health and HIV linkages: Evidence review and recommendations (2009) (pdf, 785 Kb.)
Gateways to integration: Case study from Haiti. To raise awareness of the pressing need for more widespread linkages between sexual and reproductive health and HIV (2008) (pdf, 562.7 Kb.)
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Feature Story
Prévenir le VIH grâce à l’éducation en Amérique latine et dans les Caraïbes
31 juillet 2009
31 juillet 2009 31 juillet 2009
la Première réunion des Ministres de l’Education et de la Santé pour prévenir le VIH en Amérique latine et dans les Caraïbes. Mexico City, 1 août 2008.
Photo: agencialibrefoto
Il y a un an, différents Ministres d’Amérique latine et des Caraïbes s’étaient engagés à dispenser des cours complets d’éducation sexuelle dans les écoles. La déclaration historique Prévention par l’éducation a été signée à l’issue de la Première réunion des Ministres de l’Education et de la Santé pour prévenir le VIH en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Les Ministres se sont engagés à développer des actions concrètes pour prévenir le VIH parmi les jeunes dans leur pays en mettant en œuvre des programmes d’éducation sexuelle et de promotion de la santé sexuelle.
Une éducation à la sexualité efficace peut fournir aux jeunes des informations sensibles, précises et adaptées à leur âge qui leur permettent de prendre des décisions en connaissance de cause. Les pouvoirs publics d’Amérique latine et des Caraïbes font preuve d’un leadership croissant dans ce domaine.
Dr César Nunez, Directeur régional de l’ONUSIDA pour l’Amérique latine
La déclaration indiquait : « La sexualité est une composante essentielle de l’être humain et elle s’exprime tout le long de la vie de chacun. L’enfance et l’adolescence sont des périodes importantes dans le développement des personnes et de leur pays ; c’est pour cette raison qu’il est nécessaire de dispenser un enseignement de qualité qui intègre une éducation complète sur la sexualité en tant que droit humain ainsi que comme droit qui contribue à la qualité de vie présente et future ».
Les Ministres se sont aussi engagés à atteindre deux objectifs spécifiques :
- D’ici à 2015, nous aurons réduit de 75 % le nombre d’écoles qui ne dispensent pas d’éducation complète à la sexualité, parmi les écoles administrées par les Ministères de l’Education
- D’ici à 2015, nous réduirons de 50 % le nombre d’adolescents et de jeunes qui ne sont pas couverts par des services de santé qui répondent de manière appropriée à leurs besoins en matière de santé sexuelle et reproductive
La réunion du 1er août a été conjointement accueillie à Mexico par le Dr José Ángel Córdova Villalobos (Mexique), Ministre de la Santé, par Madame la Ministre Josefina Vázquez Mota (Mexique), Ministre de l’Enseignement public, et par Madame la Ministre Patricia Espinosa Cantellano (Mexique), Ministre des Affaires étrangères.
Cet événement a conduit à un renouvellement des engagements en faveur de la prévention du VIH par l’éducation en Amérique latine et dans les Caraïbes. Grâce à la déclaration, un nouvel accord a été signé à San Jose plus tôt dans l’année par le gouvernement du Costa Rica – lequel conduira à la mise en place d’un programme de communication d’informations sur la santé sexuelle entre jeunes de 15 à 25 ans dans deux provinces. Les jeunes leaders dispenseront un enseignement sur un large éventail de questions, notamment les modes de transmission du VIH et la manière d’utiliser un préservatif.
Le Dr César Nunez, Directeur régional de l’ONUSIDA pour l’Amérique latine, a rappelé que les jeunes âgés de 15 à 24 ans représentaient 45 % de l’ensemble des nouvelles infections en 2007 et que cependant 40 % seulement des jeunes de 15 à 24 ans avaient des connaissances précises concernant la transmission du VIH.
« Une éducation à la sexualité efficace peut fournir aux jeunes des informations sensibles, précises et adaptées à leur âge qui leur permettent de prendre des décisions en connaissance de cause. Les pouvoirs publics d’Amérique latine et des Caraïbes font preuve d’un leadership croissant dans ce domaine ».
Prévenir le VIH grâce à l’éducation en Amérique l
Reportages:
Costa Rica : des mesures en faveur de programmes de prévention du VIH destinés aux jeunes et dirigés par des jeunes (3 mars 2009)
Les leaders s’engagent à promouvoir la santé sexuelle pour stopper la propagation du VIH en Amérique latine et dans les Caraïbes (3 août 2008)
Publications:
Déclaration des ministres : Prévention par l’éducation (en | es) (pdf, 112 Kb.| 91.5 Kb.)
Influence de l’éducation en matière de VIH et de santé sexuelle sur le comportement sexuel des jeunes (ONUSIDA) (pdf, 736 Kb.)
Prévenir le VIH/sida parmi les jeunes : examen systématique du concret dans les pays en développement. Équipe spéciale interinstitutions de l’ONUSIDA sur les jeunes (Equipe spéciale interinstitutions de l’ONUSIDA sur les jeunes, 2006) (pdf, 2.54 Mb.) (en anglais)

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L'Association brésilienne des gays, lesbiennes, bisexuels, travestis et transsexuels dotée du statut consultatif auprès de l'ONU
28 juillet 2009
28 juillet 2009 28 juillet 2009
Le Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) vient pour la première fois d'accorder le statut consultatif à une organisation non gouvernementale d'Amérique latine, représentant les droits des communautés gays, lesbiennes, bisexuelles et transsexuelles. Cette organisation, l'Association brésilienne des gays, lesbiennes, bisexuels, travestis et transsexuels (ABGLT), aura désormais la possibilité de présenter des rapports écrits ou oraux lors de réunions des Nations Unies et d'organiser des manifestations dans les locaux de l'ONU.
L'ABGLT a annoncé que son objectif principal sera de mettre en mettre en lumière les injustices auxquelles sont confrontées les communautés lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles à travers le monde, en particulier dans les 80 pays dont la législation interdit les rapports entre personnes du même sexe.
L'ONUSIDA accueille avec satisfaction la décision de l'ECOSOC et soutient pleinement les droits des communautés lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles. L'ONUSIDA collabore étroitement avec de telles organisations dans la riposte au sida et continuera à promouvoir les droits humains et les libertés fondamentales des personnes vivant avec le VIH et des personnes plus exposées au risque d'infection par le virus.
L'Association brésilienne des gays, lesbiennes, b
Reportages:
L'ECOSOC adopte une résolution relative à l'ONUSIDA (27 juillet 2009)
ECOSOC : un forum de haut niveau examine les progrès et problèmes de la santé publique mondiale (6 juillet 2009)
Liens externes:
ECOSOC
Association brésilienne des gays, lesbiennes, bisexuels, travestis et transsexuels (ABGLT) (en anglais)
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Des partenariats public-privé renforcent les systèmes de santé et la riposte au sida
27 juillet 2009
27 juillet 2009 27 juillet 2009
« Phones for Health » (Des téléphones pour la santé) est un partenariat entre un fournisseur de logiciels dans le domaine des soins de santé, Voxiva, un fabricant de téléphones, Motorola, une entreprise de télécommunication, MTN, le fond de développement de la GSMA, le PEPFAR, la CDC Foundation, Accenture Development Partnerships et plusieurs gouvernements. Grâce à l’intégration de la technologie mobile et de logiciels de gestion de la santé, des agents de santé sur le terrain peuvent saisir et transférer des informations dans une base de données centrale qui permet de les analyser. Ils peuvent également commander des médicaments, envoyer des alertes, télécharger des directives et avoir accès à du matériel de formation.
Ce partenariat fait partie des quelques initiatives alliant secteur public et secteur privé qui sont présentées dans un nouveau rapport de l’ONUSIDA. Celui-ci examine la contribution de partenariats public-privé* en matière de sida aux six composantes des systèmes de santé : prestation de services, ressources humaines, information, médicaments et technologies, financement, et leadership.
HIV-related Public-Private Partnerships and Health Systems strengthening (Les partenariats public-privé en matière de VIH et le renforcement des systèmes de santé) montre à quel point la riposte au sida a joué un rôle de puissant catalyseur pour l’établissement de partenariats public-privé dans le domaine de la santé, notamment en Afrique. Centrés dans un premier temps sur le VIH, nombre de ces partenariats ont ensuite pris de l’ampleur pour couvrir l’ensemble des questions de santé.
Nous espérons que ce rapport orientera les mesures indispensables devant être prises par les acteurs des secteurs public et privé pour maximiser les capacités des partenariats public-privé à avoir un effet bénéfique sur la santé publique.
Regina Castillo, Cheffe des Partenariats avec le secteur privé à l’ONUSIDA
« Cette publication est novatrice, car elle aborde les partenariats public-privé sous un angle bien précis : leur applicabilité au renforcement du secteur public », a déclaré Regina Castillo, Cheffe des Partenariats avec le secteur privé à l’ONUSIDA. « Nous espérons que ce rapport orientera les mesures indispensables devant être prises par les acteurs des secteurs public et privé pour maximiser les capacités des partenariats public-privé à avoir un effet bénéfique sur la santé publique », a-t-elle ajouté.
Dans son Cadre de résultats, 2009–2011, l’ONUSIDA observe que des avancées considérables sur plusieurs objectifs du Millénaire pour le développement peuvent être réalisées en sortant la riposte au sida de son isolement et en l’intégrant aux efforts sur la voie du développement humain au sens large, notamment pour ce qui concerne les objectifs liés à la santé.
Des études et des entretiens ont été conduits avec des représentants des parties prenantes d’organisations privées et publiques ainsi que des partenaires du développement. Douze partenariats public-privé, qui présentent de solides liens de collaboration avec les institutions publiques du pays de mise en œuvre, ont été sélectionnés pour offrir des éclairages de spécialistes sur les éléments catalyseurs et les obstacles susceptibles d’être rencontrés dans l’établissement de ces collaborations. Des bonnes pratiques ont été relevées en fonction de leur viabilité, leur intégration au plan national de lutte contre le sida, leurs résultats mesurables, etc.
Parmi les partenariats présentés dans cette publication figurent notamment la North Star Foundation, les centres de remise en forme de Becton, Dickinson and Company, qui visent à atténuer la pression que subit le personnel infirmier en Afrique subsaharienne, DataDyne et la Vodafone Foundation, qui élaborent des enquêtes sur la santé à l’aide du logiciel EpiSurveyor, le Abbott Fund, qui offre un appui à des laboratoires en Tanzanie depuis le niveau national jusqu’au niveau régional, Mars Inc., qui agit en faveur du régime national d’assurance maladie du Ghana, et la Fondation Sogebank, qui gère les subventions du Fonds mondial en tant que récipiendaire principal en Haïti.
Le thème des partenariats public-privé était au centre d’une réunion subsidiaire de la 23ème Réunion du Conseil de Coordination du Programme de l’ONUSIDA, qui s’est tenue à Genève le 15 décembre 2008. Suite à cette réunion, l’organe directeur de l’ONUSIDA a chargé le Secrétariat d’établir une liste « des meilleures pratiques et des enseignements tirés permettant d’appuyer et de faciliter les partenariats public-privé, selon leur applicabilité au renforcement du secteur public dans les pays à revenu faible et intermédiaire ». HIV-related Public-Private Partnerships and Health Systems Strengthening (Les partenariats public-privé en matière de VIH et le renforcement des systèmes de santé) est le résultat de ces travaux.
Pour recevoir des exemplaires imprimés du rapport (en anglais), veuillez vous adresser à Marie Engel, courriel : engelm@unaids.org.
* On appelle partenariat public-privé (PPP) toute « relation institutionnelle entre l’État et le secteur privé, à but lucratif ou non lucratif, dans laquelle les différents acteurs participent conjointement à la définition des objectifs, des méthodes et de la mise en œuvre d’un accord de coopération ».
Des partenariats public-privé renforcent les syst
Contact:
Marie Engel
Email: engelm@unaids.org
Publications:
Les partenariats public-privé en matière de VIH et le renforcement des systèmes de santé (en anglais)
Une action conjointe en vue de résultats – Cadre de résultats de l’ONUSIDA, 2009–2011
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L’ECOSOC adopte une résolution relative à l’ONUSIDA
27 juillet 2009
27 juillet 2009 27 juillet 2009
Le Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) a adopté par consensus une résolution relative à l’ONUSIDA lors de sa session de fond de 2009 le 24 juillet. Les négociations concernant le texte ont été conduites par la Délégation des Pays-Bas, en sa capacité de vice-président du Conseil de Coordination du Programme de l’ONUSIDA et de membres de l’ECOSOC, et 31 pays de toutes les régions ont coparrainé le texte.
La résolution a salué le Cadre de résultats de l’ONUSIDA en tant qu’outil pour atteindre l’objectif d’accès universel et l’accent qu’il met sur la prévention de la transmission sexuelle du virus. Les initiatives visant à exploiter la riposte au sida pour renforcer des objectifs de développement et de santé plus larges, en particulier les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) liés à la santé, ont été reconnues comme cruciales dans la mission de l’ONUSIDA. Ces initiatives visent en effet à supprimer les obstacles socioéconomiques et juridiques, et à exploiter au maximum la souplesse de l’accord sur les ADPIC pour fournir un accès à des médicaments antirétroviraux de qualité garantie et financièrement abordables.
L’ECOSOC a instamment invité tous les Etats Membres à supprimer les restrictions à l’entrée, au séjour et à la résidence liées au VIH, et toutes les parties prenantes à se réunir à l’échelon des pays pour élaborer des ripostes nationales efficaces, responsables et transparentes dans le cadre des ‘Trois principes’. Il a rappelé la nécessité d’un appui politique et financier permanent pour soutenir la recherche et l’élaboration de techniques de prévention – y compris un vaccin efficace contre le VIH.
L’ECOSOC a aussi reconnu la nécessité pour le Programme commun d’élargir et de renforcer de manière significative ses travaux pour combler le manque de services destinés aux consommateurs de drogues injectables dans tous les milieux. Des obstacles continuent d’entraver la riposte et il est essentiel de soutenir les partenariats pour les dépasser – comme indiqué dans le commentaire d’accueil du Cadre d’action de l’ONUSIDA sur l’accès universel pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les personnes transsexuelles.
En reconnaissant la corrélation intrinsèque des OMD liés à la santé et la sexospécificité, les Etats Membres ont salué le développement et l’opérationnalisation en cours d’un Cadre d’action portant sur les problèmes relatifs aux femmes, aux filles, à l’égalité entre les sexe et au VIH, sous le leadership du Directeur exécutif de l’ONUSIDA.
A l’échelon des pays, des efforts ont été encouragés pour renforcer le mécanisme ONUSIDA de répartition des tâches en matière d’appui technique, et le concept d’une équipe conjointe et d’un programme commun des Nations Unies sur le sida, avec pour objectif d’harmoniser l’appui technique, de renforcer la cohérence programmatique et d’améliorer la responsabilisation collective du système des Nations Unies. Le rôle permanent de l’ONUSIDA dans le processus de réforme des Nations Unies et dans la fourniture d’une aide au développement plus large de l’ONU a été reconnu et encouragé.
Enfin, l’ECOSOC s’est félicité de la remise par les Etats Membres d’un total de 147 rapports d’activité de pays en 2008 dans le cadre du processus de compte rendu établi par la Déclaration d’engagement sur le VIH/sida – qui a fourni la vue d’ensemble la plus complète à ce jour de la riposte à l’échelon des pays – et invité tous les Etats Membres à soutenir pleinement l’élaboration de la prochaine série de rapports qui sont attendus pour le 31 mars 2010.
L’ECOSOC adopte une résolution relative à l’ONUSI
Reportages:
ECOSOC : un forum de haut niveau examine les progrès et problèmes de la santé publique mondiale (6 juillet 2009)
Liens externes:
Publications:
Résolution E/2009/L.23 de l’ECOSOC (pdf, 30.1 Kb.) (en anglais)
Rapport du Directeur exécutif de Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA). Préparé en réponse à la résolution 2007/32 du Conseil économique et social, dans laquelle le Conseil demandait au Secrétaire général de transmettre le rapport à sa session de fond de 2009.
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l’ONUSIDA 2009–2011 (pdf, 396 Kb.)
Cadre d’action de l’ONUSIDA sur l’accès universel pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les personnes transsexuelles (pdf, 323 Kb.) (en anglais)
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Publication du compte-rendu des consultations sur l'accès universel 2009
23 juillet 2009
23 juillet 2009 23 juillet 2009
Credit: UNAIDS
Lors de sa prise de fonction, le Directeur exécutif de l'ONUSIDA a appelé à un engagement renouvelé en faveur de l'accès universel. De janvier à mai 2009, une équipe de transition dirigée par l'Ambassadrice norvégienne pour le sida, Mme Sigrun Mogedal, a engagé un processus de consultation et de dialogue avec les partenaires clés et les principales parties prenantes de la riposte au sida, afin de préciser les axes de travail de l'ONUSIDA, dans le but d'aider les pays à atteindre l'objectif de l'accès universel à la prévention, aux traitements, à la prise en charge et à l'appui en matière de VIH.
Au cours de ce processus, plus de mille personnes ont été consultées, des membres du Conseil de Coordination du Programme (CCP) aux Organismes coparrainants de l'ONUSIDA, en passant par le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, les partenaires de la société civile, dont des personnes vivant avec le VIH, le secteur privé et les fondations.
L'Ambassadrice Mogedal a favorisé un dialogue ouvert pendant la transition. Je lui suis très reconnaissant de son immense contribution. Les informations rassemblées lors du processus de dialogue constituent un outil précieux pour les actions futures de l'organisation.
Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA
« L'Ambassadrice Mogedal a favorisé un dialogue ouvert pendant la transition. Je lui suis très reconnaissant de son immense contribution », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Les informations rassemblées lors du processus de dialogue constituent un outil précieux pour les actions futures de l'organisation », a-t-il ajouté.
Ce processus de consultation élargi a permis des échanges d'opinions d'une grande valeur. Le rapport Débat sur l'accès universel 2009 expose les principaux résultats des consultations et propose un certain nombre de directions et de recommandations pour que l'ONUSIDA puisse mener une riposte plus efficace au sida.
Les informations issues des consultations ont constitué la base de travail principale pour l'établissement du document Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009–2011), qui contient des directives à l'intention des organismes coparrainants et du Secrétariat.
Sur le site web e-Dialogue, vous avez la possibilité d'accéder aux débats hebdomadaires, aux ressources et aux documents de consultation, http://forums.unaids.org.
Publication du compte-rendu des consultations sur
Outils:
e-Dialogue sur l'accès universel 2009 : débats hebdomadaires, ressources et documents de consultation (en anglais)
Publications:
Débat sur l'accès universel : compte-rendu des consultations avec les principales parties prenantes (pdf, 623.5 Kb.) (en anglais)
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009–2011) (pdf, 396 Kb.)

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Données actualisées sur les traitements – Juillet 2009
23 juillet 2009
23 juillet 2009 23 juillet 2009D'après les données préliminaires rassemblées par l'OMS, l'ONUSIDA et l'UNICEF, le nombre de personnes bénéficiant d'un traitement antirétroviral dans les pays à faibles revenus et à revenus intermédiaires était estimé à 4 millions à la fin de l'année 2008, contre 3 millions en 2007 et 400 000 en 2003. Près de 285 000 enfants ont bénéficié en 2008 de programmes de traitements pédiatriques par antirétroviraux, ce qui représente une augmentation de 45% par rapport à l'année précédente. En Afrique subsaharienne, près de 3 millions de personnes avaient accès aux traitements en 2008, soit une augmentation de 38% par rapport à 2007.
Ces chiffres ainsi que d'autres résultats — présentés au Cap (lien vers la présentation si vous le trouvez) à l'occasion de la conférence de la Société internationale du sida — sont basés sur une analyse des données collectées dans 127 pays à faibles revenus et à revenus intermédiaires. L'OMS, l'ONUSIDA et l'UNICEF, en collaboration avec les pays concernés, travaillent encore à finaliser cette analyse. Les résultats définitifs sur l'accès aux traitements antirétroviraux seront publiés dans le rapport d'activité « Vers un accès universel » de septembre 2009, accompagnés d'une analyse approfondie de diverses actions sur le VIH/sida dans le secteur de la santé.
D'importants progrès ont été réalisés concernant l'accès aux traitements dans les pays à faibles revenus et à revenus intermédiaires. Certains pays ont déjà atteint leurs objectifs concernant l'accès universel aux traitements. Dans d'autre pays en revanche, le rythme des progrès en matière d'accès universel est insuffisant pour que ces pays atteignent les objectifs nationaux fixés pour 2010.
Plusieurs facteurs entravent les progrès nécessaires : des systèmes de santé fragiles, fragmentés et insuffisamment décentralisés, une mauvaise intégration des services de santé, un accès insuffisant aux services de conseil et de dépistage du VIH, une stigmatisation et une discrimination omniprésentes. De plus, ces obstacles sont aggravés par la récente crise économique. L'OMS, l'UNICEF et l'ONUSIDA, avec leurs partenaires et les responsables de la mise en œuvre des programmes, travaillent à l'élaboration de mesures, afin que les pays puissent surmonter ces obstacles.
« Vers un accès universel » est un rapport annuel de suivi de la riposte au VIH/sida dans le secteur de la santé. Vous pouvez accéder au rapport 2008 en cliquant sur le lien suivant.
Données actualisées sur les traitements – Juillet
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Publications:
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Une étude démontre qu'une nouvelle association médicamenteuse diminue considérablement les risques de transmission du VIH de la mère à l'enfant pendant l'allaitement au sein
22 juillet 2009
22 juillet 2009 22 juillet 2009
Photo: OMS
Selon une nouvelle étude menée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), si une association de médicaments antirétroviraux (ARV) est administrée aux femmes enceintes sur une période couvrant la fin de leur grossesse et les six mois d'allaitement au sein, plutôt qu'un traitement de courte durée se terminant avec l'accouchement, la probabilité d'une infection des nourrissons par le VIH diminue de plus de 40%.
Les premiers résultats de l'étude intitulée Kesho Bora, ce qui signifie « un avenir meilleur » en Swahili, ont été présentés lors de la 5e Conférence de la Société internationale du sida sur la pathogénie, les traitements et la prévention du VIH, qui se tient au Cap en Afrique du Sud du 19 au 22 juillet 2009. L'OMS a travaillé en partenariat avec l'Agence nationale française de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS), les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des Etats-Unis et l'Institut national Eunice Kennedy Shriver pour la santé infantile et le développement humain (NICHD) qui fait partie des instituts sanitaires des Etats-Unis.
L'étude Kesho Bora, menée de juin 2005 à août 2008 et portant sur 1140 femmes réparties sur cinq sites en Afrique (au Burkina Faso, au Kenya et en Afrique du Sud), avait pour but d'évaluer dans quelle mesure il est possible de diminuer les risques de transmission du VIH pendant l'allaitement au sein.
Elle démontre qu'il est possible de réduire considérablement les risques d'infection de l'enfant si une association de trois ARV est administrée aux femmes enceintes dont la numération des cellules immunitaires CD4 est comprise entre 200 et 500 cellules/mm3, sur une période couvrant le dernier trimestre de la grossesse, la naissance et les six mois d'allaitement au sein. Cette association a montré qu'elle diminuait le risque d'une transmission du VIH au nourrisson et améliorait la survie, par comparaison avec les enfants nés des mères vivant avec le VIH qui reçoivent le traitement de courte durée couvrant la fin de la grossesse et l'accouchement, actuellement recommandé par l'OMS.
Les meilleurs résultats ont été enregistrés chez un groupe de mères dont la numération des CD4 était comprise entre 200 et 350 cellules/mm3. Il n'existe pas de risque accru pour la santé de la mère et de l'enfant, lié à une trithérapie associant zidovudine, lamivudine et lopinavir/ritonavir. L'étude n'a pas réparti au hasard les femmes dont la numération des CD4 était inférieure à 200 cellules/ mm3 vu que ces femmes nécessitent un traitement pour leur propre santé. Ce traitement réduit également de manière considérable le risque de transmission du VIH au cours de l'allaitement au sein.
La question de l'allaitement au sein est cruciale pour les femmes enceintes vivant avec le VIH. Dans de nombreux pays en développement, le choix est difficile entre d'une part, l'allaitement au sein avec les risques de transmission du VIH par le lait que cela implique, et d'autre part, le lait maternisé. Cette dernière solution prive le nourrisson des défenses immunitaires naturelles transmises par le lait maternel et qui aident l'enfant à se protéger contre la diarrhée, la malnutrition et d'autres maladies potentiellement mortelles. L'assainissement peut également représenter un problème, l'eau potable nécessaire à la préparation du mélange étant rare ; dans tous les cas, les personnes susceptibles de pouvoir acheter du lait maternisé sont peu nombreuses.
Empêcher le décès des mères et l'infection des nourrissons par le VIH constitue l'un des neuf secteurs d'intervention prioritaires de l'ONUSIDA et de ses coparrainants figurant dans le document Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009–2011).
Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA, a défendu cette priorité et déclaré à l'occasion d'une visite récente au Lesotho en Afrique australe que « le renforcement des services de santé maternelle, de santé reproductive et de pédiatrie permettra d'éviter le décès de mères et l'infection de nourrissons par le VIH au Lesotho et dans le monde entier ».
Les résultats de l'étude Kesho Bora, ainsi que d'autres données récentes, seront maintenant examinés par les experts de l'OMS, et les recommandations émises en 2006 par l'organisation concernant l'administration d'ARV aux femmes enceintes, l'alimentation des nourrissons et la prévention de la transmission de la mère à l'enfant, seront revues à la lumière de ces nouveaux résultats. La publication des directives mises à jour est attendue avant la fin de l'année.
Il est clair que cette étude élargit l'éventail des traitements possibles disponibles pour les mères vivant avec le virus et offrent à celles-ci l'espoir de pouvoir, si elles le souhaitent, allaiter leurs enfants sans risquer de leur transmettre le VIH.
Les fonds supplémentaires nécessaires à la réalisation de l'étude Kesho Bora ont été fournis par le Partenariat des pays européens et en développement sur les essais cliniques (EDCTP), la Fondation Thrasher, le Département pour le développement international du Royaume-Uni (DFID), l'UNICEF et le Gouvernement belge.
Une étude démontre qu'une nouvelle association mé
Coparrainants:
Reportages:
Lesotho : les bébés préservés du VIH sont cause d’espoir (16 juillet 2009)
Un diagnostic de séropositivité plus précis chez les mères et les nourrissons permet d’éviter les décès dus au vaccin antituberculeux (3 juillet 2009)
Nouvelles du terrain : Le Directeur du département VIH/sida de l’OMS visite un centre de traitement qui fait œuvre de pionnier en Namibie (1 juillet 2009)
Un diagnostic et un traitement précoces préservent les nourrissons d’une mort liée au sida (27 mai 2009)
Liens externes:
WHO's Department of Reproductive Health and Research — information on the Kesho Bora study
Publications:
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA, 2009–2011 (pdf, 396 Kb.)
Médicaments antirétroviraux pour traiter la femme enceinte et prévenir l'infection à VIH chez l'enfant : vers un accès universel. Recommandations pour une approche de santé publique (version 2006) (En | Fr)
Conclusions de la consultation d'experts de l'OMS sur les derniers résultats des études portant sur l'utilisation de médicaments antirétroviraux dans la prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant, 17 au19 novembre 2008, Genève, Suisse (pdf, 67.7 Kb.) (en anglais)
Déclaration commune sur le VIH et l'alimentation des nourrissons, par l'Equipe spéciale inter-agences (IATT) sur la prévention des infections dues au VIH chez les femmes enceintes, les mères et leurs nourrissons, octobre 2006 (En | Fr)
VIH et alimentation de l'enfant : cadre pour actions prioritaires des institutions des Nations Unies (En | Fr)
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Feature Story
Une jeune chercheuse kenyane distinguée à l'occasion de la 5e conférence de l'IAS
21 juillet 2009
21 juillet 2009 21 juillet 2009
La Société internationale du sida (IAS) et ses partenaires ont annoncé le nom de la lauréate pour cette année du Prix de la jeune chercheuse sur la question des femmes, des filles et du VIH.
Il s'agit du Dr Linnet N. Masese, du Kenya, pour son analyse intitulée, Etude prospective des effets des traitements antirétroviraux sur les comportements sexuels à risque dans une cohorte de femmes kenyanes très exposées au risque d'infection. Ce travail a été sélectionné parmi les analyses éligibles soumises à un comité d'examen et retenues pour être présentées lors de la conférence 2009 de l'IAS.
La récompense sera remise au Dr Masese pendant la Session plénière de l'IAS qui se tiendra le 22 juillet 2009, par le Dr Julio Montaner, Président de la Société internationale du sida, et le Dr Catherine Hankins, Conseillère scientifique principale de l'ONUSIDA.
Ce prix, qui a vu le jour en 2006, récompense l'excellence des travaux d'une chercheuse d'un pays à faibles revenus ou à revenus intermédiaires, dans le domaine de la recherche ou de la pratique, sur les femmes, les filles et les questions sexospécifiques relatives au VIH.
Le Dr Linnet N. Masese a obtenu son diplôme de médecine à l'Université de Nairobi (Kenya) en 2003. Elle est également titulaire depuis 2008 d'un Master en santé publique (épidémiologie et santé internationale) de l'Université de Washington à Seattle (Etats Unis).
Le Dr Masese dirige actuellement la section clinique de l'Université de Nairobi et du site de l'Université de Washington à Mombasa. Elle bénéficie du soutien du Centre international Fogarty sous la forme d'un poste universitaire dans le pays attribué par le programme international de formation et de recherche sur le sida de l'Université de Washington. Dans le cadre de cette fonction, elle dirige deux études intitulées Etendre la durabilité des traitement de première intention : étude pilote sur les traitements antirétroviraux administrés directement et Santé vaginale : une approche comportementale innovante visant à réduire la transmission du VIH et des IST. En septembre 2009, le Dr Masese commencera un cursus de formation prédoctorale dans le cadre du programme de troisième cycle en épidémiologie de l'Université de Washington.
Le prix de 2000 dollars est financé conjointement par l'IAS, le Forum de liaison avec l'industrie de l'IAS et l'ONUSIDA, et bénéficie du soutien du Centre international de recherche sur les femmes et de la Communauté internationale des femmes vivant avec le VIH.
La Conférence de l'IAS sur la pathogénie, les traitements et la prévention du VIH constitue la plus importante conférence scientifique ouverte au monde sur le VIH. La Conférence 2009 de l'IAS se tient au Cap en Afrique du Sud jusqu'au 22 juillet 2009.
Une jeune chercheuse kenyane distinguée à l'occas
Partenaires:
Société internationale du sida (en anglais)
Centre international de recherche sur les femmes (en anglais)
La communauté internationale des femmes vivant avec le VIH (en anglais)
Liens externes:
IAS 2009 (en anglais)
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Le vice-président d’Afrique du Sud se fait l’écho des priorités de l’ONUSIDA lors de la Conférence internationale sur le sida
20 juillet 2009
20 juillet 2009 20 juillet 2009
Discours d'ouverture de l'IAS 2009 du vice-président d'Afrique du Sud, M. Kgalema Motlanthe
Photo : International AIDS Society / Simon Deiner /SDR Photo
M. Kgalema Motlanthe, vice-président d’Afrique du Sud, s’est engagé à intensifier les efforts pour éliminer la transmission mère-enfant du VIH.
Cette déclaration a été faite pendant son discours de bienvenue lors de la session d’ouverture de la 5ème Conférence de l’IAS sur la pathogenèse, le traitement et la prévention du VIH qui se tient au Cap, en Afrique du Sud, du 19 au 22 juillet.
Le vice-président a déclaré qu’éliminer la transmission mère-enfant du VIH était devenu pour lui une priorité absolue à la suite de son entretien avec le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, M. Michel Sidibé, qu’il avait rencontré trois jours plus tôt à Pretoria.
Les deux hommes se sont vus pendant que M. Sidibé était en visite officielle en Afrique du Sud pour attirer l’attention sur certains domaines prioritaires clés sur lesquels il a instamment invité l’Afrique du Sud à se concentrer dans les prochaines années.

Crédit : ONUSIDA/G. Williams
La réunion a eu lieu un jour après que le Directeur exécutif ait visité le service pédiatrique de l’hôpital ‘Queen Elizabeth II’ à Maseru, au Lesotho, dans lequel le personnel prend en charge les enfants nés séropositifs au VIH. M. Sidibé a décrit cette visite comme « un triste constat de tout ce qu’il reste encore à faire pour empêcher qu’une mère vivant avec le VIH transmette le virus à ses enfants ».
Le vice-président a déclaré que pendant la réunion, les deux hommes étaient convenus que l’Afrique du Sud devait faire le nécessaire pour réduire considérablement le nombre d’infections de nourrissons de sorte à promouvoir une génération sans VIH.
M. Sidibé s’est fait le porte-drapeau de la prévention de la transmission mère-enfant du VIH – l’un des neuf domaines prioritaires de l’ONUSIDA qui ont été récemment définis comme une ‘Action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l’ONUSIDA’.
Le vice-président d’Afrique du Sud se fait l’écho
Reportages:
Lesotho : les bébés préservés du VIH sont cause d’espoir (16 juillet 2009)
Multimédia:
Diffusion Internet de la session d’ouverture
Discours de bienvenue du vice-président d’Afrique du Sud
Liens externes:
IAS 2009 (en anglais)