
Feature Story
2009 HIV/AIDS Implementers' Meeting
10 juin 2009
10 juin 2009 10 juin 2009
H.E. Hifikepunye Pohamba, President of the Republic of Namibia, addresses attendees at the opening of the 2009 HIV/AIDS Implementers’ Meeting in Windhoek, Namibia on June 10, 2009. Credit: Lukas Amakali.
From June 10-14, more than 1,500 implementers from around the world will gather in Windhoek to share best practices and lessons learned during the implementation of multi-sectoral AIDS programs with a focus on optimizing the impact of prevention, treatment and care programs; enhancing program quality; promoting coordination among partners; and encouraging innovative responses.
The 2009 HIV/AIDS Implementers' Meeting will be hosted by the Government of Namibia, and co-sponsored by the U.S. President’s Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR); the Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria; UNAIDS; UNICEF; the World Bank; the World Health Organization; and the Global Network of People Living with HIV/AIDS.
“With universal access as the overarching goal of the meeting, I hope that we will pay particular attention to the urgent need to strengthen HIV prevention efforts,” said Paul De Lay, UNAIDS Deputy Executive Director Programme, a.i., who will address participants at the opening of 2009 HIV/AIDS Implementers Meeting.
The conference theme is “Optimizing the Response: Partnerships for Sustainability.” Reflecting this theme, presentations will focus on what program implementers are doing to meet the challenges affecting the scale-up of HIV prevention, treatment and care. The meeting’s six research tracks cut across all subject matter areas of AIDS programming and include:
- Responding to challenges in HIV prevention;
- Women and children;
- Effective HIV prevention, treatment, care and support programmes for men who have sex with men, drug-users, people in prisons, and people in sex work;
- Evolving challenges in treatment, laboratory, care and support services;
- Performance-based programming and systems-strengthening; and
- Cross-cutting issues.
To learn more about the 2009 HIV/AIDS Implementers’ Meeting, please visit www.hivimplementers.org
2009 HIV/AIDS Implementers' Meeting
Partners:
U.S. President’s Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR)
The Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria
UNAIDS
UNICEF
World Bank
World Health Organization
Global Network of People Living with HIV/AIDS
Press centre:
Read Press release: 2009 HIV/AIDS Implementers’ Meeting Opens in Namibia
Read Press Release: Namibian President to Open 2009 HIV/AIDS Implementers’ Meeting
Speeches:
Read speech by UNAIDS Deputy Executive Director Programme, a.i. at the opening of the 2009 HIV/AIDS Implementers Meeting (10 June 2009)
Feature stories:
Grass roots projects supporting people living with HIV (12 June 2009)
HIV implementers gather in Kampala to share ideas, experiences in AIDS response (03 June 2008)
External links:
2009 HIV/AIDS Implementers’ Meeting official web site
Read live blog on the 2009 HIV/AIDS Implementers’ Meeting by former reporter for the Boston Globe John Donnelly
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Feature Story
Swaziland: le PAM vient en aide aux familles vivant avec le VIH
08 juin 2009
08 juin 2009 08 juin 2009A version of this story was first published at wfp.org

Vusie Maphalala prend part à un projet mené conjointement par le PAM et le Ministère de la Santé du Swaziland.
Photo: PAM/Banele Dlamini
Portant son plus beau costume, Vusie Maphalala attend patiemment son tour dans le minuscule dispensaire de Mpolonjeni, à Mbabane capitale du Swaziland, où il va chercher ses antirétroviraux salvateurs. Comme il est séropositif, il sait que c’est grâce à ces médicaments qu’il est encore en vie – et qu’il pourra vivre assez longtemps pour élever ses trois jeunes enfants.
Mais il sait également que les médicaments par eux-mêmes ne suffisent pas.
Il y a deux ans, sa femme est morte. Elle était sous antirétroviraux, mais elle était trop faible et trop malnutrie pour se rétablir. C’est pourquoi M. Maphalala vient tous les mois chercher non seulement ses médicaments mais aussi la ration alimentaire qu’il reçoit dans le cadre d’un projet mené conjointement par le PAM et le Ministère de la Santé du Swaziland. Il s’agit de plus de sept kilos d’un mélange nutritif maïs-soja, appelé dans la langue locale ‘sidonono’.
Son état de santé commence à s’améliorer
“J’étais malnutri et pratiquement grabataire quand j’ai commencé à recevoir de la nourriture du PAM,” déclare cet homme de 44 ans, qui s’efforçait d’avaler ses médicaments bien qu’à jeun. “Et dans l’espace de deux mois, j’ai repris des forces et j’ai commencé à aller mieux.”
D’après Martin Bloem, Chef du Service de la nutrition au PAM, “Une bonne alimentation est essentielle pour le traitement du VIH surtout dans les régions où l’on trouve simultanément des taux élevés de malnutrition et de tuberculose. A cause de la crise économique actuelle, il est encore plus difficile qu’avant pour les personnes sous traitement de continuer à bien se nourrir."
Le rôle important des rations alimentaires ne fait aucun doute pour M. Maphalala. “Cette région est souvent frappée par la sécheresse, et comme nous sommes parfois sans nourriture, il m’était très difficile de continuer à prendre mes médicaments,” a-t-il dit, lui qui a connu des gens qui n’ont pas pu poursuivre leur traitement parce qu’ils avaient trop faim. “Mais depuis, je ne rate plus la moindre dose.”
Appui aux autres
Maintenant, M. Maphalala se porte suffisamment bien pour faire du travail manuel et s’occuper de ses fils – et pour apporter aux autres personnes séropositives de sa communauté qui sont sous thérapie antirétrovirale un soutien ô combien nécessaire.
“En tant que volontaire, j’aide les gens qui viennent de commencer une thérapie antirétrovirale à planifier leur calendrier médicamenteux,” a-t-il déclaré. “Je leur apprends aussi combien il est important de se nourrir convenablement et leur explique que consommer le mélange maïs-soja leur facilitera l’observance du traitement.”
Le Swaziland est l’un des pays du monde les plus touchés par le VIH. Selon les dernières estimations OMS/ONUSIDA/UNICEF, quelque 26 % de la population adulte vivent avec le virus. D’après le rapport de situation pays 2008 du Swaziland, la prévalence chez les femmes est de 31 %. Les jeunes filles (15-24 ans) sont touchées de manière disproportionnée et sont près de quatre fois plus susceptibles d’être infectées que leurs homologues masculins. La demande de traitement ne fait qu’augmenter et, en 2007, sur les 60 000 personnes qui avaient besoin d’antirétroviraux, 42 % en recevaient.
La nutrition et la sécurité alimentaire sont les principales composantes du traitement, des soins et du soutien pour les individus, les familles et les communautés affectées par le VIH, notamment en Afrique sub-saharienne. Une mauvaise alimentation peut accélérer la survenue des maladies associées au sida ainsi que rendre plus difficile l’observance du traitement antirétroviral. Le VIH affaiblit le système immunitaire et peut perturber l’ingestion et l’absorption des nutriments. Par ailleurs, ceux qui vivent avec le virus ont besoin de plus de nourriture que les personnes non infectées. Les adultes séropositifs ont des besoins énergétiques de 10 % à 30 % supérieurs à la normale. Pour ce qui est des enfants, ces proportions vont de 50 % à 100 %.
Si l’on veut satisfaire à l’engagement international primordial qui est d’assurer l’accès universel aux services de prévention, de traitement, de soins et de soutien du VIH d’ici 2010, il est essentiel de s’intéresser à la nutrition et à la sécurité alimentaire.
Le PAM met en oeuvre dans une cinquantaine de pays des programmes VIH/sida qui portent sur le traitement, les soins et le soutien, et l’atténuation des effets de la maladie.
Swaziland: le PAM vient en aide aux familles viva
Coparrainants:
Programme alimentaire mondial (PAM)
Reportages:
Le VIH et les prix élevés des aliments (1 avril 2009)
Nouvelle politique de l’ONUSIDA sur le VIH, la sécurité alimentaire et la nutrition (21 mai 2008)
Impact de la nutrition : Programme alimentaire mondial (26 novembre 2008)
Publications:
VIH, sécurité alimentaire et nutrition: Politique générale, PAM, 26 novembre 2008 (pdf, 242 Kb.)
Linking Research and Action. Rethinking Food Aid to Fight AIDS (2004) (pdf, 35.3 Kb.)

Feature Story
Une équipe spéciale de l'ONUSIDA élabore des outils efficaces pour permettre aux jeunes de s'attaquer au problème du VIH
05 juin 2009
05 juin 2009 05 juin 2009
Les sept notes d'orientation sur les jeunes et le VIH contribuent à renforcer la riposte à l'épidémie dans cette population clé.
En 2007, près de 40% des nouvelles contaminations se sont produites dans la tranche d'âge 15-24 ans. A l'heure qu'il est, plus de 5 millions de jeunes vivent avec le virus, parmi lesquels 60% sont des filles.
Donner aux jeunes les moyens de se protéger contre le VIH est l'un des huit secteurs d'intervention prioritaires de l'ONUSIDA et de ses coparrainants figurant dans le document « Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009–2011) »
Afin d'apporter aux jeunes toute l'attention dont ils ont besoin, l'Equipe de travail interinstitutions (ETII) de l'ONUSIDA sur le VIH et les jeunes a élaboré une série de notes d'orientation.
Les notes d'orientation de l'équipe spéciale réunie par l'UNFPA sont conçues pour guider le personnel, les gouvernements, les bailleurs et la société civile dans l'élaboration et la mise en oeuvre d'actions efficaces contre le VIH chez les jeunes. Les besoins de la jeunesse, bien que semblables dans une certaine mesure à ceux de la population générale, sont également très spécifiques. Dans l'avant-propos de la série de notes, Purnima Mane, Directrice exécutive adjointe de l'UNFPA, et Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA, remarquent qu'un travail important reste à accomplir pour garantir l'accès des jeunes à la connaissance.
[E]n 2007, 40% des jeunes hommes et 36% des jeunes femmes seulement possédaient des connaissances précises sur le VIH, montrant ainsi que même les programmes de base de sensibilisation au VIH n'ont pas atteint pleinement leurs objectifs…Il est essentiel de poursuivre les efforts réalisés et d'intensifier nos actions.
Purnima Mane, Directrice exécutive adjointe de l'UNFPA, et Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA
Ils soutiennent que, malgré un engagement mondial visant à assurer l'accès de 95% des jeunes à des informations, des enseignements, des services et des compétences psychosociales en matière de VIH à l'horizon 2010, « [E]n 2007, 40% des jeunes hommes et 36% des jeunes femmes seulement possédaient des connaissances précises sur le VIH, montrant ainsi que même les programmes de base de sensibilisation au VIH n'ont pas atteint pleinement leurs objectifs…Il est essentiel de poursuivre les efforts réalisés et d'intensifier nos actions. »
Les besoins des jeunes sont souvent ignorés lors de l'élaboration des politiques, car ceux-ci ont souvent peu de moyens pour se faire entendre lorsqu'il s'agit de prendre des décisions liées aux interventions conçues à leur intention. Les notes d'orientation affirment, sur la base de preuves à l'échelle mondiale, que leur participation à l'élaboration des programmes de prévention du VIH est non seulement souhaitable, mais « essentielle à la réussite de ces programmes ».

Photo publiée avec l'aimable autorisation de l'UNFPA
La quatrième note d'orientation de la série par exemple, qui porte sur les interventions s'appuyant sur les communautés, montre exactement comment les jeunes peuvent s'impliquer dans la prévention du VIH et faire une réelle différence. En Equateur, les jeunes transsexuels du Projet de prévention Frontières ont élaboré leur propre programme visant à mobiliser leurs pairs, qui appartiennent à un groupe très exposé au risque d'infection, afin d'agir contre l'épidémie. Il est rapporté dans la note, qu'ils ont par la suite créé la première organisation non gouvernementale de personnes transsexuelles du pays, dans le but d'exiger des services de santé, d'affronter la discrimination et de promouvoir leurs droits humains. L'implication des jeunes de Zambie est également décrite, notamment l'appui médico-social que ceux-ci apportent aux personnes de leurs communautés vivant avec le VIH.
La série de notes comprend une vue d'ensemble des quatre domaines d'action visant à réduire les effets de l'épidémie sur les jeunes:
- L'information afin d'acquérir des connaissances
- Des possibilités de développement de compétences psychosociales
- Des services de santé adaptés à l'âge des personnes
- La création d'un milieu favorable et sûr.
Pour que les interventions soient un succès, tous ces points doivent être traités en même temps, à travers des stratégies de communication axées sur les changements de comportements.
Les autres notes d'orientation se penchent sur les jeunes plus exposés au risque d'infection ainsi que sur la jeunesse dans divers contextes : situations de crises humanitaires, initiatives communautaires, secteur de la santé, secteur de l'éducation et lieu de travail. De nouveau, l'aspect central et l'importance de la participation des jeunes à la définition de leur propre rôle dans la riposte au VIH sont démontrés. La dernière note, qui se concentre sur le lieu de travail, fait état d'une consultation de la jeunesse organisée par l'OIT et ses partenaires au Rwanda, dans le but de connaître les préoccupations et les besoins des jeunes et de produire une riposte commune. Ceux-ci ont affirmé que les opportunités d'emplois décents et la prévention du VIH étaient « les deux côtés d'une même pièce ». Depuis cette réunion de novembre 2007, « L'appel à l'action de Kigali » a été lancé, appel qui comprend des mesures visant à promouvoir l'emploi des jeunes et à contrer le VIH.
La série de notes n'est pas conçue comme un modèle prêt à l'emploi destiné à l'ensemble des pays. L'équipe spéciale espère que les notes d'orientation, en présentant une grande quantité d'interventions éclairées par des données probantes, encourageront les partenaires à explorer ce qui fonctionne dans leurs pays, en essayant de garantir une génération future sans VIH, et ce, avec l'aide des jeunes pour dessiner le chemin à suivre dans les années à venir.
L'Equipe de travail interinstitutions (ETII) de l'ONUSIDA sur le VIH et les jeunes a vu le jour en 2001. Elle réunit le Secrétariat de l'ONUSIDA, les 10 organismes coparrainants de l'ONUSIDA, des représentants de la jeunesse et de la société civile, des instituts de recherche et des bailleurs.
Une équipe spéciale de l'ONUSIDA élabore des outi
Notes d'orientation de l'Equipe de travail interinstitutions (ETII) de l'ONUSIDA sur le VIH et les jeunes:
Introduction et avant-propos
Aperçu des interventions sur le VIH à l'intention des jeunes
Interventions sur le VIH à l'intention des jeunes plus exposés au risque de contamination
Interventions sur le VIH à l'intention des jeunes en situation de crise humanitaire
Interventions sur le VIH s'appuyant sur les communautés à l'intention des jeunes
Interventions sur le VIH à l'intention des jeunes dans le secteur de l'éducation
Interventions sur le VIH à l'intention des jeunes dans le secteur de la santé
Interventions sur le VIH à l'intention des jeunes sur le lieu de travail
Populations clés:
Coparrainant:
Reportages:
UNESCO : Meilleures pratiques en matière de riposte au VIH dans le secteur de l’éducation (4 mai 2009)
Programmes de prévention à l'intention des jeunes (18 juin 2007)
Publications:
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009–2011) (pdf, 432 Kb.)
La prévention du VIH/sida chez les jeunes : preuves de l'efficacité ou non des interventions réalisées dans les pays en développement (2006) (pdf, 562.5 Kb.)
Le VIH/sida et les jeunes : Un espoir pour demain (2004) (pdf, 1.09 Mb.)
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Feature Story
Michel Sidibé rencontre l'Administratrice du PNUD
04 juin 2009
04 juin 2009 04 juin 2009
UNAIDS Executive Director Michel Sidibé met UNDP Administrator Helen Clark, 3 June 2009.
Credit: UNDP
Le 3 juin 2009, le Directeur exécutif de l'ONUSIDA, M. Michel Sidibé, a rencontré l'Administratrice du PNUD, Mme Helen Clark, au siège du PNUD à New York. Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) fait partie des organismes coparrainants du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).
M. Sidibé et Mme Clark ont discuté des possibilités d'utiliser au maximum les avantages comparatifs du PNUD dans les pays, afin de soutenir les efforts nationaux visant à réaliser l'accès universel à la prévention, au traitement, à la prise en charge et à l'appui en matière de VIH, tel que cela est exposé dans le Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009–2011). Le Cadre de résultats appelle d'une part, à optimiser les partenariats entre le secrétariat et les organismes coparrainants de l'ONUSIDA, et d'autre part, à tirer profit des mandats et des ressources de chaque organisation dans le but d'obtenir des résultats par un travail collectif.
Les actions du PNUD contre le sida découlent de ses missions dans les domaines du développement humain, de la réduction de la pauvreté et de la gouvernance. D'importants progrès peuvent être accomplis en ce qui concerne les Objectifs du Millénaire pour le développement — en matière notamment de pauvreté, d'égalité entre les sexes, d'éducation, de mortalité infantile et de mortalité maternelle — en intégrant la riposte au sida aux efforts visant à atteindre d'une part, l'objectif d'un développement humain plus large, et d'autre part, les objectifs portant sur la santé et la justice sociale.
Le PNUD contribue à faire en sorte que le VIH soit au centre des stratégies nationales de développement et de réduction de la pauvreté. Il aide également les pays à renforcer leurs capacités à mobiliser tous les niveaux du gouvernement et de la société civile, dans le but de produire une riposte efficace et coordonnée à l'épidémie et de protéger les droits des personnes vivant avec le VIH, des femmes et des populations vulnérables.
Michel Sidibé rencontre l'Administratrice du PNUD
Coparrainants:
Multimédia:
Voir la galerie photos 3 juin 2009 (en anglais)
Publications:
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l'ONUSIDA (2009-2011) (pdf, 432 Kb.) (en anglais)
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Feature Story
Des stars du cricket lancent une campagne mondiale sur le sida
04 juin 2009
04 juin 2009 04 juin 2009Voir les vidéos des messages d'intérêt public de la campagne THINK WISE.
Avec Kumar Sangakkara, batteur sri lankais, Isa Guha, internationale anglaise, des vedettes internationales du cricket et des enfants sud-africains, Graeme Smith, capitaine de l'équipe d'Afrique du Sud, et Virender Sehwag, international indien.

Les plus grandes vedettes du cricket lancent THINK WISE (Réfléchissez), une nouvelle campagne mondiale de sensibilisation sur le sida, conçue pour informer les jeunes sur les moyens de protection contre le VIH.
Les joueurs soutiendront la campagne pendant le championnat du monde 2009 de Twenty20, organisé par le Conseil international du cricket (ICC) et qui se déroulera à Londres à partir du 5 juin. Ce volet de la campagne a pour but d'améliorer l'éducation et la sensibilisation dans le domaine du VIH et d'éliminer la stigmatisation associée à la maladie.
Près de 10 millions personnes vivent avec le VIH dans les pays participant aux matchs internationaux. Cela représente un quart du nombre total de personnes vivant avec le virus dans le monde.
I have seen firsthand the impact that HIV has had in my country. I hope that cricket fans and youngsters around the world can respect the disease and also those living with HIV. By making informed decisions we can help reduce new infections and develop strong communities.
Graeme Smith, capitaine de l'équipe de cricket d'Afrique du Sud
Graeme Smith, capitaine de l'équipe de cricket d'Afrique du Sud et soutien de la campagne THINK WISE a déclaré : « J'ai pu voir par moi-même les effets du VIH dans mon pays. J'espère que les fans de cricket et les jeunes du monde entier sauront respecter cette maladie ainsi que les personnes vivant avec le VIH. En prenant des décisions en connaissance de cause, nous pouvons contribuer à la diminution du nombre des nouvelles infections et au développement de communautés fortes. »
Cinq nouveaux messages d'intérêt public, comprenant notamment des interventions de Kumar Sangakkara, le capitaine de l'équipe de cricket du Sri Lanka, de Graeme Smith, de Virender Sehwag, un des meilleurs batteurs en Inde, et d'Isa Guha, la star de l'équipe féminine de cricket d'Angleterre, seront diffusés pendant le tournoi dans les stades sur des écrans géants, ainsi que par plusieurs télévisions dans le monde entier. Les joueurs porteront également un ruban rouge pour signifier leur soutien pendant les demi-finales et la finale du tournoi.
L'initiative THINK WISE est le fruit d'un partenariat de longue date entre l'ICC, le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), l'UNICEF et l'Initiative mondiale « Médias contre sida », qui depuis cinq ans s'adresse à la communauté du cricket dans le cadre de la riposte mondiale à l'épidémie de sida.
Le partenariat THINK WISE vise d'une part, à informer les joueurs, les entraîneurs, les commentateurs, les télédiffuseurs, les bénévoles et les spectateurs sur l'épidémie de sida, en ce qui concerne en particulier la prévention, et d'autre part, à délivrer ces messages à l'occasion des événements majeurs de l'ICC, ainsi que par l'intermédiaire de télédiffusions capables d'atteindre un public réparti dans plus de 200 pays.
Le partenariat THINK WISE verra d'autres actions se mettre en place dans le courant de l'année, notamment une nouvelle initiative « le cricket pour le développement » qui délivrera des messages sur le VIH auprès des jeunes. Une annonce à ce sujet est prévue pendant le Trophée des champions de l'ICC 2009, organisé en Afrique du Sud à la fin du mois de septembre.
Des stars du cricket lancent une campagne mondial
Partenaires:
Conseil international du cricket
UNICEF
L'Initiative mondiale « Médias contre sida »
Reportages:
L’ICC et l’ONUSIDA fêtent leur partenariat et se tournent vers l’avenir (17 novembre 2008)
Centre de presse:
Multimedia:
Voir les vidéos des messages d'intérêt public Featuring Sri Lankan Batsman Kumar Sangakkara, England international Isa Guha, international cricket stars and local South African children, South African captain Graeme Smith and Indian international Virender Sehwag.

Feature Story
Peer educators raising HIV awareness through sport in Trinidad and Tobago
03 juin 2009
03 juin 2009 03 juin 2009A version of this story was first published at UNICEF.org

With the picturesque backdrop of Speyside, northern Tobago, in the distance, Kalifa Martin and her colleague Kerlan conduct a UNICEF-supported 'Kicking Aids Out' workshop. Credit: UNICEF Trinidad and Tobago/2009
A UNICEF-supported programme called 'Kicking AIDS Out' (KAO) has recently begun in Speyside, northern Tobago, by the Trinidad and Tobago Alliance for Sport and Physical Education (TTASPE). The new programme uses sports and games to teach young people and adolescents about HIV. Speyside is a small community that is best known as a destination for fishermen and divers. In 2007, UNICEF and TTASPE, along with the Red Cross of Trinidad and Tobago, teamed up to conduct a youth-led Vulnerable Community Assessment. Based on this assessment, Speyside was selected as the first area to initiate 'Kicking AIDS Out'.
Training for adolescents
Soon after the assessment, UNICEF and TTASPE began conducting workshops to train adolescents to become KAO peer facilitators. Kalifa Martin, 15, is one these young trainees.
"I heard there was an HIV workshop at the community centre and decided to go and learn more about HIV, because I knew it was important to get the right information," Kalifa says. "What I wasn't expecting was that I would learn about it through games and fun activities. I liked this and invited my sisters to attend and we are now all involved in the programme."
Growing up in Speyside, Kalifa saw firsthand how AIDS can have a ripple effect.
"When something happens to one person, it affects the whole community," she says. "I want more people to get tested and start making wise choices. I would like Speyside to be an example to other communities."
Increasing the level of knowledge of HIV among young people in Trinidad and Tobago is an important step. According to a recent UNAIDS/WHO/UNICEF country report, in 2007 56% of young people aged 15-24 had correct knowledge of, and rejected myths about, sexual transmission of the virus. A significant minority, 12%, in this group had also had sex before the age of 15. The same report suggests that the situation is especially serious for young women as they are over three times more likely than their male counterparts to be living with the virus (0.3% of boys compared to 1% of girls aged 15-24).
'I want to help people'
Since her training, Kalifa has conducted many ‘Kicking AIDS Out’ workshops – where lectures are replaced by educational games that resonate with young people. One such game is similar to dodgeball, except that in the KAO version, being hit with the ball symbolizes being exposed to HIV. The message is that anyone who doesn’t protect themselves is vulnerable to infection.
"It is through projects such as KAO that UNICEF hopes to empower young persons such as Kalifa to actively re-create their communities as places where young persons make informed choices," explains UNICEF Trinidad and Tobago HIV Officer Marlon Thompson.
There are currently about 20 peer educators like Kalifa in the KAO programme. And she knows that the initiative is having positive results. She has seen her peers in Speyside become more knowledgeable about AIDS and then readily share their knowledge with their family members and friends.
The programme has also changed Kalifa, who now dreams of becoming a doctor. "I want to help people living with HIV and even find a cure for it," she says.
Peer educators raising HIV awareness through spor
Key populations:
Cosponsors:
UNICEF
Unite for Children, Unite against AIDS
Partners:
Trinidad and Tobago Alliance for Sport and Physical Education (TTASPE)
Feature stories:
UNICEF working to teach AIDS prevention to young people in Guinea (16 April 2009)
Condoms and HIV prevention: Position statement by UNAIDS, UNFPA and WHO (19 March 2009)
Costa Rica: Peer HIV prevention programmes to be promoted for young people (03 March 2009)
Publications:
Preventing HIV/AIDS in young People: A systematic review of the evidence from developing countries UNAIDS Inter-agency Task Team on Young People (2006) (pdf, 2.54 Mb.)
8 page summary (pdf, 562 Kb.)
4 page summary (pdf, 483 Kb.)
At the crossroads: Accelerating youth access to HIV/AIDS interventions (UNAIDS - 2004) (pdf, 297.5 Kb.)
UNAIDS action plan on intensifying HIV prevention (2006-2007) (pdf, 1.71 Mb.)
Peer education and HIV/AIDS: Concepts, uses and challenges (pdf 327 Kb.)
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Feature Story
International Labour Conference tackles HIV in the world of work
03 juin 2009
03 juin 2009 03 juin 2009
Credit: ILO
Some four thousand representatives of governments, workers’ and employers’ organizations from 183 states around the world are meeting in Geneva for the annual conference of the International Labour Organization. Challenging the AIDS epidemic is high on the agenda and the development of a new international labour standard on HIV and the world of work is one of the key issues for discussion during the Geneva conference which runs from 3-19 of June.
The new labour standard, ground-breaking in its scope and reach, is designed to address the global threat of HIV in the world of work and is an international human rights instrument aimed at extending and strengthening the role of the workplace in the AIDS response.
The existence of an instrument focusing solely on HIV and the world of work will give new impetus to anti-discrimination policies at national and workplace levels.
It will strengthen the contribution of the world of work to countries’ achievement of universal access to HIV prevention, treatment, care and support and encourage information-gathering and reporting.
Dr Sophia Kisting, ILO/AIDS Director, in an interview with ILO Online
The virus affects the most economically active age range in every population and the majority of the 33 million people living with HIV worldwide are workers. Many are still subject to stigma and discrimination and the threat, or reality, of losing their jobs due to their status. Although some progress has been made, prevention and care strategies also need bolstering. The international labour standard aims to help change this situation and would be the first global human rights instrument to focus specifically on HIV and the world of work.
According to Dr Sophia Kisting, ILO/AIDS Director, in an interview with ILO Online, “The existence of an instrument focusing solely on HIV and the world of work will give new impetus to anti-discrimination policies at national and workplace levels. It will strengthen the contribution of the world of work to countries’ achievement of universal access to HIV prevention, treatment, care and support and encourage information-gathering and reporting.”
The journey towards the international standard began when a first report, entitled HIV/AIDS and the world of work, Report IV (1), was sent to all ILO members in January last year. It contained a detailed and wide-ranging questionnaire concerning all aspects of the challenge to AIDS in the workplace. A second document, Report IV (2) , synthesized and summarized the nearly 250 responses received from governments, workers, employers and other partners, most of whom agreed with the need to focus greater attention on HIV through a new international instrument. It is the draft conclusions from this report that will be discussed in depth at the 2009 conference. A second discussion will take place next year and it is expected that the formal adoption of the labour standard will occur at this point. At present the proposal is for an autonomous Recommendation, but the final decision on its form and content rests with the Conference.
ILO Recommendations are not legally binding but serve as guidance for policy and law. If adopted, the new standard would be submitted to national authorities “for the enactment of legislation or other action” and would reinforce the impact of the existing ILO Code of Practice on HIV and the world of work which was adopted in 2001.
The global threat of HIV for workers is inextricably linked with the overarching theme of the International Labour Conference; the growing impact of the world financial crisis on employment and social protection. The ILO has organized a ‘Summit on the Global Jobs Crisis’ scheduled for 15-17 June, involving a number of Heads of State to examine this issue. The forecasts of rising unemployment and poverty have potentially grave implications for the successful response to the AIDS epidemic, given the connection between poverty and HIV.
The ILO highlights the fact that the crisis may lead to cutting of AIDS programmes. Increased poverty may also bring greater risk of HIV as some are forced into unsafe behaviour to support themselves. A recent World Bank report also stressed that funding for AIDS drugs is under threat as the crisis hits the health sectors in a number of countries in Africa, the Caribbean, Europe and Asia. The International Labour Conference is committed to trying to ensure that the many gains that have been made in the challenge to the epidemic in the workplace are not lost or reversed due to current, stark economic realities.
International Labour Conference tackles HIV in th
Cosponsors:
Feature stories:
Funding for AIDS drugs in jeopardy as global financial crisis hits health sector (28 April 2009)
ILO: Action against stigma brings hope to Ethiopia’s agricultural cooperatives (14 April 2009)
ILO and workplace leaders pledge action at ICASA 2008 (04 December 2008)
International labour standard would strengthen the HIV response in the workplace (21 July 2008)
ILO sees significant improvement in workplace attitudes to HIV (25 April 2008)
Health workforce crisis limits AIDS response (29 February 2008)
Multimedia:
Live webcast of selected whole panel discussions and plenary sessions
External links:
98th Session of the International Labour Conference, 3-19 June 2009: Daily update
Publications:
Report IV(2) HIV/AIDS and the world of work ( en | ar | ch | es | fr | ru )
Policy Brief - HIV and International Labour Migration (pdf, 203 Kb.)
AIDS is everybody's business: UNAIDS & business - working together (pdf, 863 Kb.)
Employers' handbook on HIV/AIDS : a guide for action (pdf, 599 Kb.)
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Promoting gender equality in Brazil step by step

30 octobre 2019
UNAIDS still ahead in implementing UN-SWAP

10 septembre 2019

Feature Story
UNAIDS and Principality of Monaco commit to strengthened cooperation in AIDS response
29 mai 2009
29 mai 2009 29 mai 2009
His Serene Highness Prince Albert II of Monaco; Her Serene Highness Princesse Stéphanie; UNAIDS Executive Director Michel Sidibé. Monaco 29 May 2009.
Credit: Gaëtan Luci/Palais Princier
Strengthened cooperation between UNAIDS and Monaco was the aim of Michel Sidibé, Executive Director of UNAIDS, on his first official visit to the Principality.
Mr Sidibé met with representatives of the government and civil society and had a private audience with His Serene Highness Prince Albert II of Monaco and his sister, Her Serene Highness Princess Stéphanie of Monaco.
This visit was an opportunity to renew the existing funding agreement between UNAIDS and Monaco for another two years until 2011. Mr Sidibé met with senior government officials including Mireille Pettiti, Directeur Général, Deputy Minister for Foreign Affairs, Monaco and Mr Frédéric Platini, Director of the International Cooperation Directorate of Monaco.
Cooperation between UNAIDS and Monaco has grown in recent years as has the country’s financial contribution to AIDS response in priority countries including Madagascar and Burundi. The role played by Her Serene Highness Princess Stéphanie as Goodwill Ambassador for UNAIDS has also reinforced this partnership.

Her Serene Highness Princess Stéphanie (centre) and Jean-Jacques Campana, Conseiller de Gouvernement des Affaires Sociales et de la Santé (Minister of Health, Monaco) (right) met Michel Sidibé, UNAIDS Executive Director, 29 May 2009. Credit: Charly Gallo (Cdp) and Nicolas Saussier (Fight AIDS Monaco).
In his audience with the Prince Albert and Princess Stéphanie, his first in his role as UNAIDS Executive Director, Mr Sidibé emphasized the importance of their respective leadership in environmental protection and the response to the AIDS epidemic. Although Monaco is a country small in size, through their worldwide advocacy outreach, the leadership of the Prince and the Princess reach beyond its borders.
The Executive Director’s visit included a meeting with the association “Fight AIDS Monaco” of which HSH Princess Stéphanie is the founder and president. She introduced Mr Sidibé to the Board members as well as some of its members. Mr Sidibé emphasized the importance of having people living with HIV at the centre of the initiative in order to carry forward the movement they have created. He also explained the necessity of implementing the principle of greater involvement of people living with HIV, or GIPA.
Her Serene Highness Princess Stéphanie, Goodwill Ambassador for UNAIDS met Michel Sidibé, UNAIDS Executive Director, in Monaco on 29 May 2009. Credit: Charly Gallo (Cdp) and Nicolas Saussier (Fight AIDS Monaco).
Princess Stéphanie has been working with UNAIDS since 2006, focusing on HIV prevention and raising awareness on the negative impact of discrimination against people living with HIV. Through her personal engagement and work, she has become an important role model and significant UNAIDS Goodwill Ambassador.
Members of Fight AIDS Monaco share their experiences with Michel Sidibé, UNAIDS Executive Director and Her Serene Highness Princess Stéphanie, 29 May 2009. Credit: Charly Gallo (Cdp) and Nicolas Saussier (Fight AIDS Monaco).
The princess represented Monaco at the High Level Meeting on AIDS in New York in June 2006 where she expressed her personal commitment to the AIDS response.
She has twice visited Madagascar in 2007 and 2008 in order to raise awareness around HIV-related stigma and to support the local authorities and associations actively engaged in the AIDS response in their country. In 2008 HSH Princess Stéphanie renewed her commitment as UNAIDS Goodwill Ambassador for another two years.
The press conference which closed the visit was an opportunity to raise visibility for Monaco’s activities at national and international level with regard to HIV and show a strong sign of renewed commitment towards UNAIDS and the response to the epidemic.
UNAIDS and Principality of Monaco commit to stren
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Participants at Global Citizens Summit to End AIDS which took place in Nairobi, Kenya from 27 to 29 May 2009. Credit: Global Citizen Summit 2009
Leonard is the father of five daughters, one of whom, recently turned 14, was born HIV positive. In addition to juggling with the responsibility of raising a family of girls, Leonard is becoming very concerned about the new challenges he’s facing with having a positive teenage girl at home. “She is growing and as a father, I must help her grow into a mature and responsible woman. How should I talk to her about sex given her HIV positive status without instilling a sense of guilt? I do not find the guidance to help me respond to her needs,” he said.
This question was one of many others at the core of the Global Citizens Summit to End AIDS which took place in Nairobi, Kenya from 27 to 29 May.
The Citizen’s Summit was organized by a determined group of civil society, including Africa CSO Coalition against HIV&AIDS, Asia People’s Alliance for combating HIV&AIDS, Africaso, Eanaso, Heard, Cegaa, OXFAM, ActionAid, the UN Millennium Campaign, Healthlink World Wide, Panos and Pamoja. The idea stemmed from the observation that there is a growing gap between the needs of the people at the forefront of the epidemic and the response that is offered at the global level.

(from left) Leonard Okello of ActionAid, Salil Shetty, and Alloyce Orago of NACC during the official opening of the 2009 Citizens Summit Credit: Global Citizen Summit 2009
Addressing an audience of over 250 front line practitioners, Leonard Okello, who heads ActionAid’s HIV and AIDS unit, said: “We are meeting here at a time when the world is witnessing an increasing sense of AIDS fatigue, and witnessing serious global crises: food, climate, financial and emerging epidemics. A time when there is a big global debate on AIDS funding versus health funding and we, the people at the frontline of the AIDS response, are not on the debating table”.
During the three days meeting, the participants from grass root communities, networks of people living with HIV, faith based groups and other civil society groups came together under the umbrella of the Summit’s title “Reclaiming our Role in Universal Access” to share their experience at the front line of the response to AIDS. Their objective was to learn from their peers how they can better support people living and affected by HIV in their communities and where they can find support and guidance. The Summit was also an opportunity for them to consolidate in a roadmap the challenges that communities are facing on the road to universal access and how they could contribute to overcome them.
Representing UNAIDS at the Summit, Elhadj Amadou Sy, Deputy Executive Director ad interim, spoke of the importance of the communities’ role in scaling up towards universal access and reaffirmed UNAIDS commitment to support them in their constant and tireless efforts in the AIDS response. Referring to UNAIDS Outcome Framework for 2009-2011, he reiterated UNAIDS commitment to stand by people living and affected by HIV and to enable them to demand change in governance, legislation and policy to support a response that works for them.
Building on their previous advocacy experience in 2005 which led to the G8 commitment made in Gleneagles to move as close as possible to universal access to HIV prevention, treatment, care and support by 2010, ActionAid is planning to use the Summit’s roadmap to create a new impetus for demanding the right to universal access to prevention, treatment, care and support. At the Summit, ActionAid also launched STAR, a human rights based social mobilization methodology aiming at enabling and empowering communities to protect themselves from HIV infection and to demand their rights to prevention, treatment and care.
Right Hand Content
External links:
Publications:
Joint action for results: UNAIDS Outcome Framework for 2009-2011 (pdf, 432 Kb.)
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Un diagnostic et un traitement précoces préservent les nourrissons d’une mort liée au sida
27 mai 2009
27 mai 2009 27 mai 2009Une version de ce reportage a été initialement publiée sur unicef.org
La vidéo d’Unissons-nous pour les enfants, contre le sida, intitulée Loud and Clear, montre à quel point le diagnostic précoce du VIH chez les nourrissons peut sauver des vies.
Bien des nourrissons dans le monde entier meurent en vain parce qu’ils ne sont pas soumis suffisamment tôt à un dépistage du VIH et qu’ils ne bénéficient pas d’un traitement s’ils sont porteurs du virus. Sans traitement, la moitié de l’ensemble des enfants séropositifs au VIH décéderont avant leur deuxième anniversaire, et un tiers avant le premier.
Pour contribuer à lutter contre cette situation, une nouvelle vidéo saisissante, lancée dans le cadre de la campagne Unissons-nous pour les enfants, contre le sida, montre à quel point le dépistage et le traitement précoces permettent de sauver la vie des nourrissons porteurs du VIH.
Comme l’indique la vidéo intitulée Loud and Clear (Cinq sur cinq), les nourrissons chez qui on a diagnostiqué le virus et qui reçoivent un traitement au plus tôt ont une chance bien plus élevée de survivre que ceux qui ne subissent pas de test et ne bénéficient d’aucun traitement. Des recherches montrent que si les nouveau-nés sont soumis à un dépistage à six semaines et reçoivent un traitement au cours des 12 premières semaines de leur vie, la mortalité infantile due au sida peut diminuer de 75%, ce qui représente une réduction considérable.
Pourtant, d’après un rapport publié l’année dernière par l’UNICEF, l’ONUSIDA et l’OMS, en 2007, seuls 8% des enfants nés de mère séropositive ont subi un test avant l’âge de deux mois. Les mères peuvent également contribuer à prévenir la transmission du VIH – et à préserver leur santé – en se soumettant à un test et en se faisant soigner pendant leur grossesse.
Accès aux soins et au traitement
Depuis le lancement en 2005 de la campagne mondiale Unissons-nous pour les enfants, contre le sida, des progrès considérables ont été accomplis dans l’élargissement de la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant et dans la fourniture de traitements pédiatriques pour les nouveau-nés séropositifs.
En 2007, un tiers des femmes enceintes séropositives ont bénéficié d’un traitement antirétroviral pour prévenir la transmission du virus à leur enfant, contre seulement 10% en 2004.
Néanmoins, dans les pays en développement, le nombre de femmes enceintes connaissant leur statut VIH est bien trop faible, de même que le nombre de femmes qui sont soumises à un dépistage et bénéficient d’un traitement, autant d’éléments qui sont fondamentaux pour la mère et l’enfant. Pourtant, la plupart des femmes enceintes chez qui on a diagnostiqué le VIH n’ont pas accès aux soins et aux traitements essentiels, notamment aux antirétroviraux.
« Les mères devraient avoir accès aux tests de dépistage et aux médicaments nécessaires pour protéger leur enfant et elles-mêmes », explique Dr Doreen Mulenga, conseillère principale de l’UNICEF sur le VIH/sida. « Les antirétroviraux peuvent considérablement réduire le risque qu’un enfant contracte le virus VIH de sa mère. »
Enfants en danger
Les enfants supportent une très lourde charge liée au virus. Des estimations de l’ONUSIDA et de l’OMS indiquent que pour la seule année 2007, 370 000 jeunes de moins de 15 ans ont été infectés, soit environ 1 000 par jour, et 270 000 sont décédés, avant cinq ans pour la plupart. La même année, moins de 200 000 jeunes vivant avec le VIH ont bénéficié d’un traitement antirétroviral. En outre, de récentes études indiquent que l’âge moyen auquel les enfants commencent ce traitement se situe entre cinq et neuf ans, ce qui est souvent trop tard pour en tirer les effets optimum.
De grands progrès en Zambie
À Lusaka, la capitale de la Zambie, les programmes vitaux du dispensaire Chelstone permettent de traiter les femmes enceintes vivant avec le VIH et les aident à prévenir la transmission du virus à leur enfant. La Zambie a réalisé de grands progrès en développant de tels programmes, qui comprennent des tests VIH pendant la grossesse, l’administration de traitements antirétroviraux aux femmes enceintes séropositives et d'antibiotiques et d'antirétroviraux prophylactiques aux nouveau-nés exposés au VIH in utero, et le diagnostic et le traitement précoces des nourrissons.

Maureen Sakala, chez qui on a diagnostiqué le VIH pendant la grossesse, s'entraîne à préparer un médicament antirétroviral prophylactique pour son nouveau-né, Christopher, que la sage-femme Grace Kayumba tient dans ses bras, au dispensaire Chelstone de Lusaka (Zambie).
Photo: UNICEF/NYHQ2009-0307/Nesbitt
Christopher est né récemment au dispensaire. Sa mère, Maureen Sakala, vit avec sa propre mère, des frères et sœurs et 12 enfants orphelins – dont les enfants de son frère, mort d’une maladie associée au sida.
Mme Sakala a appris qu’elle était séropositive au cours d'un examen médical anténatal. Elle participe au programme de prévention proposé par le dispensaire, où elle a appris à administrer des antirétroviraux à Christopher pendant les sept premiers jours suivant sa naissance, à titre de mesure prophylactique contre l’infection à VIH. Le fait que la Zambie ait réussi à renforcer ses services de santé maternelle, néonatale et infantile augmente considérablement les chances de survie de ce petit garçon.
Prévenir le décès des mères et les infections à VIH des nourrissons constitue l’un des huit domaines prioritaires définis par l’ONUSIDA et ses Coparrainants pour la période 2009 – 2011 dans le document intitulé Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l’ONUSIDA, 2009 – 2011 (disponible en anglais).
En élargissant l'accès au dépistage et au traitement contre le VIH, des partenaires du monde entier s’emploient à protéger des nouveau-nés comme Christopher, et leur mère, des effets dévastateurs du sida.
Un diagnostic et un traitement précoces préserven
Coparrainants:
Partenaires:
Unissons-nous pour les enfants, contre le sida
Reportages:
Le diagnostic précoce du VIH chez les nourrissons permet de sauver des vies au Malawi (1 décembre 2008) (en anglais)
UNICEF: Au Rwanda, les communautés offrent une grande « famille » aux orphelins (9 mars 2009)
Enfants et sida : troisième bilan de la situation (01 December 2008)
Multimédia:
La vidéo d’Unissons-nous pour les enfants, contre le sida, intitulée Loud and Clear
Reportage photo sur le VIH/sida pédiatrique en Zambie
Message d’intérêt général : Claudia Schiffer, Ambassadrice de l’UNICEF-Royaume-Uni sur le dépistage précoce des nourrissons (en anglais)
Publications:
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l’ONUSIDA, 2009 – 2011 (pdf, 432 Kb.) (en anglais)
Unissons-nous pour les enfants, contre le sida – Document d’information : Élargir le diagnostic précoce chez les nourrissons et ses liens avec les soins et le traitement (pdf, 923 Kb.) (en anglais)
Enfants et sida : troisième bilan de la situation 2008 (pdf, 1.90 Mb.) (en anglais)
Enfants et sida : troisième bilan de la situation 2008. Résumé. (pdf, 2.70 Mb.) (en anglais)