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Le Directeur exécutif de l’UNICEF lance une approche innovatrice visant à éliminer la transmission mère-enfant du VIH au Kenya
29 octobre 2010
29 octobre 2010 29 octobre 2010Une version de ce sujet a été publiée sur unicef.org

Photo: UNICEF/NYHQ2010-1057/Susan Markisz
Le 29 octobre, Anthony Lake, Directeur exécutif de l’UNICEF, a rejoint le gouvernement kenyan et d’autres partenaires, pour lancer une approche innovatrice visant à éliminer la transmission du VIH entre les mères et leurs bébés (PTME).
L’initiative comprend un ensemble d’activités et de fournitures, dont un « Kit maman-bébé » comprenant des médicaments antirétroviraux et des antibiotiques, que les mères pourront facilement administrer chez elles.
Le « Kit maman-bébé » fait partie de l’Initiative gouvernementale Maisha, visant à créer des zones sans transmission de la mère à l’enfant. Ce programme pionnier est conçu pour contribuer à l’éradication virtuelle de la transmission mère-enfant du VIH et du sida chez les enfants d’ici à 2013 dans les provinces de Nyanza et de la vallée du Rift, où vivent environ la moitié de tous les enfants kenyans atteints du VIH, et d’ici à 2015 pour l’ensemble du pays. Sans traitement, environ la moitié de tous les bébés nés avec le VIH mourront avant leur deuxième anniversaire.
Maisha signifie ‘vie’ en Kiswahili, et c’est à mon avis la meilleure façon de décrire un programme ayant un tel potentiel pour sauver autant de vies.
Anthony Lake, Directeur exécutif de l’UNICEF
M. Lake a loué le gouvernement kenyan pour la façon dont il s’est engagé à adopter des mesures révolutionnaires visant à élargir et renforcer la qualité des services PTME. « Maisha signifie ‘vie’ en Kiswahili, et c’est à mon avis la meilleure façon de décrire un programme ayant un tel potentiel pour sauver autant de vies », a-t-il dit. « L’Initiative Maisha constitue un pas important vers notre objectif commun d’éliminer virtuellement la transmission du virus entre la mère et l’enfant au Kenya ».
Le lancement au Kenya du « Kit maman-bébé » marque le début d’une phase de mise en œuvre qui se déroulera dans quatre pays, dont le Cameroun, le Lesotho et la Zambie. Il doit avoir lieu jusqu’au milieu de l’année 2011. Lors de cette phase initiale, UNICEF et ses partenaires observeront de près l’adhésion du kit par les femmes, ainsi que la qualité des réserves et de la distribution.

Les Kits maman-bébé arrivent à Nairobi. Ils sont déchargés vers un camion UNICEF, pour ensuite être distribués dans d’autres régions du Kenya. Photo : UNICEF Kenya/2010/Joseph Munga
Les kits ont été développés par l’UNICEF, en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), UNITAID, entre autres partenaires. Les travailleurs sanitaires de cliniques de consultations prénatales les distribueront aux femmes vivant avec le VIH, mais n’ayant pas encore besoin de traitement antirétroviral pour leur propre santé. L’initiative est conçue de façon à atteindre les femmes enceintes séropositives, mais qui risqueraient autrement de ne pas retourner à une clinique à la suite de leur diagnostic.
L’initiative bénéficie du soutien financier d’un grand nombre de partenaires, dont le gouvernement des Etats-Unis, les Comités nationaux de l’UNICEF, la Clinton Health Access Initiative (CHAI) et le programme Mothers-to-Mothers (M2M).
Bien que la prévalence du VIH au Kenya ait baissé de façon importante, le nombre de nouvelles infections par an s’élève encore à 22 000 pour les bébés, en raison de la transmission de mère à enfant. En tout, on estime à 1,4 million le nombre de personnes vivant avec le VIH dans ce pays, dont environ 81 000 femmes enceintes.

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Diminution d'un tiers des décès maternels dans le monde
15 septembre 2010
15 septembre 2010 15 septembre 2010
Selon le nouveau rapport Trends in maternal mortality publié par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et la Banque mondiale, le nombre de mères qui meurent des suites de complications durant la grossesse et l'accouchement est passé de 546 000 en 1990 à 358 000 en 2008, soit une réduction de 34 %.
Malgré cette avancée remarquable, la baisse annuelle est inférieure à la moitié du taux requis pour atteindre l'objectif du Millénaire pour le développement (OMD) de la réduction du taux de mortalité maternelle (nombre de décès pour 100 000 naissances vivantes) de 75 % entre 1990 et 2015. Ce taux devrait être de 5,5 % , alors que la moyenne annuelle actuelle n'est que de 2,3 %.
Le Dr. Margaret Chan, Directeur général de l'OMS, a déclaré : « La baisse au niveau mondial du taux de mortalité maternelle est une nouvelle encourageante. Aucune femme ne devrait mourir à cause d'un accès inadéquat à la planification familiale et aux soins de grossesse et d'obstétrique. »
Dans les pays où la prévalence du VIH est élevée, le sida est devenu une des principales causes de décès pendant la grossesse et après l'accouchement. Certains éléments indiquent également que les femmes vivant avec le VIH sont plus exposées au risque de décès maternel. Selon les estimations, 42 000 femmes enceintes à travers le monde seraient décédées en 2008 à cause du sida. Dans près de la moitié des cas, il s'agissait de décès maternel. La part du VIH est la plus élevée dans l'Afrique sub-saharienne où 9 % des décès maternels étaient liés au sida.
Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA, a déclaré : « L'intégration des services de VIH aux soins de santé maternelle, sexuelle et reproductive est une étape essentielle pour prévenir le décès des mères et l'infection des enfants. Le mouvement contre le sida doit être exploité afin d'atteindre une réduction des taux de mortalité maternelle et infantile. »
Le rapport indique que les décès des femmes enceintes sont liés à quatre causes principales : hémorragies lourdes après la naissance, infections, problèmes d'hypertension et avortements réalisés dans des conditions dangereuses. En 2008, ce sont près de 1 000 femmes par jour qui sont mortes de ces complications, plus de la moitié d'entre elles en Afrique sub-saharienne. Le risque qu'une femme dans un pays à revenu faible meure d'une cause liée à la grossesse est près de 35 fois supérieur au risque d'une mère vivant dans un pays à revenu élevé.
Anthony Lake, Directeur exécutif de l'UNICEF, a expliqué : « Pour atteindre l'objectif mondial d'amélioration de la santé maternelle et pour sauver la vie des femmes, nous devons fournir de plus grands efforts pour atteindre celles qui sont le plus exposées. Cela signifie atteindre les femmes dans les zones rurales et dans les foyers plus pauvres, les femmes des minorités ethniques et des groupes indigènes, les femmes vivant avec le VIH et les femmes dans les zones de conflit. »
Ces nouvelles estimations indiquent qu'il est possible de réduire davantage le nombre de décès de femmes. Les pays doivent réaliser des investissements dans les systèmes de santé et dans la qualité des soins.
Pour Thoraya Ahmed Obaid, Directrice exécutive de l'UNFPA : « Chaque naissance doit être sûre et chaque grossesse, désirée. L'absence de soins maternels est une violation des droits de la femme à la vie, à la santé, à l'égalité et à la non-discrimination. »
Les agences des Nations Unies, les donateurs et autres partenaires coordonnent de plus en plus souvent leur assistance aux pays et se concentrent sur ceux où la charge est la plus lourde.
Selon Tamar Manuelyan Atinc, Vice-président chargé du développement humain à la Banque mondiale : « Au vu de la précarité des systèmes de santé dans de nombreux pays, nous devons travailler en étroite collaboration avec les gouvernements, les donateurs, les agences et autres partenaires afin de renforcer ces systèmes. »

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Consultation en ligne de l’OMS sur la stratégie mondiale du secteur de la santé contre le VIH
06 août 2010
06 août 2010 06 août 2010
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a mis en place une consultation en ligne destinée à recueillir des contributions relatives au développement de sa stratégie mondiale du secteur de la santé contre le VIH/sida 2011-2015.
La soixante-troisième Assemblée mondile de la santé a adopté une résolution demandant au Directeur général de l’OMS de développer une stratégie contre le VIH/sida pour les années 2011-2015 au travers d’un processus de consultation de grande envergure.
Vous êtes invité à donner votre avis sur les documents de consultation disponibles sur le site Web de l’OMS. Ces documents seront disponibles en arabe, chinois, anglais, français, russe et espagnol.
Les commentaires peuvent être soumis jusqu’au 31 août grâce à ce formulaire en ligne. Si possible, soumettez vos commentaires en anglais afin de faciliter la synthèse de toutes les observations reçues.
La stratégie 2011-2015 :- s’appuiera sur les réalisations et les expériences de l’initiative « 3 millions d’ici 2005 », et sur les cinq orientations stratégiques du plan de l’OMS pour l’accès universel 2006-2010 ;
- tiendra compte de l’architecture mondiale en matière de lutte contre le VIH, de santé et de développement, y compris la stratégie (en cours de développement) et le Cadre de résultats de l’ONUSIDA, et des engagements existants concernant la réalisation de l’accès universel et des objectifs du millénaire pour le développement ;
- recensera les objectifs mondiaux existants et convenus pour inciter les pays à planifier des actions audacieuses contre le VIH jusqu’en 2015 ;
- fournira une assistance aux pays pour la détermination d’un ordre de priorité de leurs investissements dans le domaine de la lutte contre le VIH et dans celui, plus général, de la santé ;
- fournira un cadre pour une action concertée de l’OMS aux niveaux mondial, régional et national et dans tous les départements concernés de l’OMS.
L’OMS travaille avec un large éventail de partenaires, notamment les États Membres, des organisations de la société civile, les organismes donateurs et les organismes de développement, des organisations non gouvernementales, des organismes multilatéraux (y compris les organisations des Nations Unies), des institutions et réseaux scientifiques et techniques, et le secteur privé. L’OMS entend mener des consultations associant tous les principaux acteurs et parties intéressés pour l’élaboration de la stratégie mondiale du secteur de la santé contre le VIH/sida 2011-2015.
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“Right for you!” Satellite puts young people centre stage at Vienna
22 juillet 2010
22 juillet 2010 22 juillet 2010
The thoughts and voices of young people took centre stage at the Vienna AIDS Conference yesterday as an innovative satellite session explored how they can best protect themselves from HIV. The session was organized by UNAIDS, UNESCO, UNFPA, UNICEF and WHO. It provided an interactive platform for youth from around the world to discuss sexual and reproductive health services and provision of comprehensive information including sexuality education, condom use and HIV counselling and testing.
Called ‘Right for You! Creating Game Changing Strategies for HIV and Young People’, the event was structured around the outcome of an online survey, promoted across varied social media platforms, such as Facebook, Twitter, AIDSspace and Conversations for a better world, to find out what young people really think about how to mount a meaningful and effective personal challenge to HIV. It was moderated by Ms Purnima Mane, United Nations Population Fund (UNFPA) Deputy Executive Director (Programme).
The session explored how to achieve three bold goals for young people:
- Ensure at least 80% of young people in and out school have comprehensive knowledge of HIV.
- Double young people’s use of condoms during their last sexual intercourse.
- Double young people’s use of HIV testing and counselling services.
‘Empowering Young People to Protect Themselves against HIV’, is one of the priority areas of the UNAIDS Outcome Framework 2009-2011. The aim is to reduce new HIV infections among young people by 30% by 2015.
The three goals discussed in yesterday’s satellite are far-reaching and ambitious in scope. They were highlighted in the UNAIDS business case on empowering young people. The business case is an advocacy tool which outlines why UNAIDS has prioritized young people and it recommends that the three results should be achieved in at least 9 of the 17 countries that have largest number of young people living with HIV by 2011, as well as in countries experiencing low and concentrated epidemics.
Those gathered at the event discussed how such results can be achieved and how the necessary good quality programmes can be scaled up at country level. An expert panel that included a youth facilitator, Ishita Chaudhry from India, Dr Doug Kirby, co-author of International Technical Guidance on Sexuality Education: An evidence informed approach for schools, teachers and health educators, Darlington Muyambwa, Programme Manager, SAYWHAT Programme, Zimbabwe , and Shaffiq Essajee, WHO, responded to feedback from participants who expressed their views or asked questions via the web forums.
Exploring ways of empowering young people to protect themselves against HIV is vitally important given latest estimates showing that 15-24 year olds account for some 40% of all adult HIV infections globally. In 2007, far fewer than half of young people around the world had accurate knowledge about HIV.
Additionally, in many parts of the world young people have inadequate access to sexual and reproductive health services and commodities like condoms. Socio-cultural norms can act as barriers to these essential services and commodities which discourage young people from learning about and discussing sex and sexuality and accessing the services. The session explored ways to address these challenges and empower young people to make informed decisions about this key aspect of their lives.
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UNAIDS satellite explores paving the way towards virtual elimination of mother-to-child transmission of HIV
20 juillet 2010
20 juillet 2010 20 juillet 2010
From left: Ambassador Eric Goosby, United States Global AIDS Coordinator; Professor Michel D. Kazatchkine; Executive Director, The Global Fund to Fight AIDS, TB and Malaria; Anthony Lake, Executive Director of UNICEF; Michel Sidibé, Executive Director of UNAIDS; Hiroki Nakatami, Assistant Director General of WHO; at the UNAIDS PMTCT Satellite at the 18th International AIDS Conference in Vienna, Austria on 19 July 2010. Credit: UNAIDS/Heimo Aga
UNAIDS hosted a satellite at AIDS 2010 on preventing mother-to-child transmission of HIV 19 July. It was co-chaired by Antony Lake, Executive Director of UNICEF and Hiroki Nakatani, Assistant Director General of World Health Organization (WHO) and coordinated by Gottfried Hirnschall, Director of the HIV department (WHO). Opening remarks were delivered by Michel Sidibé, Executive Director of UNAIDS and Michel Kazatchkine, Executive Director of the Global Fund to Fight AIDS, TB and Malaria, and Ambassador Eric Goosby, United States Global AIDS Coordinator.
The call to eliminate mother-to-child transmission of HIV was first made by UNAIDS Executive Director Michel Sidibé and he has since been joined by leaders of nations, heads of multilateral, bilateral, regional and national bodies, presidents of foundations, members of civil society, and even captains of football teams in the FIFA 2010 World Cup.

From left: Professor Michel D. Kazatchkine; Executive Director, The Global Fund to Fight AIDS, TB and Malaria; Anthony Lake, Executive Director of UNICEF; Michel Sidibé, Executive Director of UNAIDS; Hiroki Nakatami, Assistant Director General of WHO; at the UNAIDS PMTCT Satellite at the 18th International AIDS Conference in Vienna, Austria on 19 July 2010. Credit: UNAIDS/Heimo Aga
Addressing the satellite, Mr Sidibé noted that many African countries like Botswana, Namibia and Swaziland are already leading the way towards virtual elimination if mother-to-child transmission, and many others are close behind.
This groundswell of support is lending hope to the possibility that transmission of HIV from mothers to children can be virtually eliminated in the highest-burden countries by 2015. At the same time, the WHO has issued new recommendations on the use of antiretroviral drugs for treating pregnant women and preventing HIV infection in infants and HIV and infant feeding. The main purpose of the new recommendations is to improve maternal and child survival by drastically reducing risk to around 5%, including in breastfeeding populations.
WHO, UNICEF, UNFPA and UNAIDS have developed a PMTCT strategic vision through the UNAIDS Outcome Framework for 2009-2011, aiming at defining joint commitment to support scale up of PMTCT of HIV services and integration with maternal, newborn and child and reproductive health services.
A long way to go
Despite this momentum, many nations have a long way to go. The majority of pregnant women in low- and middle-income countries do not know their HIV status. This knowledge has risen from 7% in 2004 to 21% in 2008. Also, the majority of HIV-positive pregnant women who need antiretrovirals (ARVs) for preventing transmission of the virus to their child. Only 45% of women in need of ARVs received it in 2008, although this is up from 10% in 2004.

UNAIDS PMTCT Satellite at the 18th International AIDS Conference in Vienna, Austria on 19 July 2010. Credit: UNAIDS/Heimo Aga
The quadrupling of the proportion of women receiving this important service is good news. But children continue to be left behind. Around 32% of infants born to HIV-positive mothers received antiretroviral for PMTCT in 2008, up from 20% in 2007 and 6% in 2004.
Update
Yesterday’s satellite provided an update on global commitments to virtual eliminate mother-to-child transmission of HIV. Participants highlighted key policy and operational considerations in implementing comprehensive PMTCT services integrated with maternal health and family planning services, including the WHO 2009 guidelines on ARV drugs for treating pregnant women and preventing HIV infection in infants which were reviewed by Nathan Shaffer of WHO.
To put theory into perspective country experience was shared by Mpolai Moteetee, the PMTCT focal point in Lesotho's Ministry of Health and Social Welfare Family Health Division who spoke of the experience of rapid scale-up of PMTCT services in Lesotho.
Marie Deschamps of GHESKIO (Groupe Haïtien d’Étude du Sarcome de Kaposi et des Infectieuses Opportunistes) presented on the importance of integration of broad range of services of maternal health, family planning, PMTCT, and HIV treatment for maternal and child survival
Lilian Mworeko of ICW (International Community of Women with HIV/AIDS) Uganda shared her personal perspective as an activist and a person living with HIV.
Mother-Baby Pack
UNICEF, in collaboration with WHO and global partners, has developed an innovative simple, user-friendly and affordable packaging mechanism to deliver PMTCT preventive medications, the Mother-Baby Pack (MBP). Chewe Luo, a UNICEF Senior Advisor, presented the Pack which contains medicines for prophylaxis, ARVs and Co-trimoxazole, for the mother and for the infant in line with WHO 2010 PMTCT Guidelines. It also intends to help streamline procurement and supply management of PMTCT medicines.
The Global Fund has also declared preventing mother-to-child transmission (PMTCT) a priority and is currently assessing the possibility of reprogramming existing grants to accelerate scale-up in 20 countries (Angola, Botswana, Burundi, Cameroon, Côte d'Ivoire, the Democratic Republic of Congo, Ethiopia, Ghana, Kenya, Lesotho, Mozambique, Malawi, Namibia, Nigeria, South Africa, Swaziland, Tanzania, Uganda, Zambia and Zimbabwe).
Caroline Ryan of PEPFAR shared how their efforts will contribute towards virtual eiliminaiton. PEPFAR II has aligned its target to the UNGASS targets aiming to provide PMTCT services to 80% of all pregnant women living with HIV and exposed infants in their country programmes. All these commitments fall within the context of integrated programming for improved maternal and child health and survival coordinated with current US Global Health Initiative.
Closing remarks at the session were delivered by Antony Lake and Hiroki Nakatani.
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Publications:
UNAIDS Outlook Report 2010 (pdf, 6 Mb)
UNAIDS Outcome Framework 2009-2011 (pdf, 388 Kb)
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Plus de cinq millions de personnes reçoivent un traitement contre le VIH
19 juillet 2010
19 juillet 2010 19 juillet 2010L’Organisation mondiale de la Santé recommande une mise sous traitement plus précoce des personnes vivant avec le VIH
19 juillet 2010, Vienne – On estime à 5,2 millions le nombre de personnes qui recevaient un traitement vital contre le VIH à la fin 2009, selon les derniers chiffres mis à jour par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
L’OMS estime que 1,2 million de personnes ont été mises sous traitement en 2009, ce qui porte le nombre total de personnes recevant un traitement à 5,2 millions, contre 4 millions à la fin 2008.
« C’est la plus forte augmentation du nombre de personnes ayant accès au traitement en une seule année. C’est une évolution extrêmement encourageante » a déclaré le Dr Hiroki Nakatani, Sous-directeur général de l’OMS – VIH/sida, tuberculose, paludisme et maladies tropicales négligées.
À l’occasion de la XVIIIe Conférence internationale sur le sida, l’OMS recommande une mise sous traitement plus précoce des personnes vivant avec le VIH. L’objectif est de commencer un traitement contre le virus avant que les personnes ne tombent malades du fait de l’affaiblissement de leurs défenses immunitaires.
« Débuter un traitement plus tôt nous offre la possibilité de permettre aux personnes vivant avec le VIH de rester en meilleure santé et de vivre plus longtemps » a déclaré le Dr Gottfried Hirnschall, Directeur du département VIH/sida à l’OMS.
Les estimations établies grâce à des modèles épidémiologiques donnent à penser que la mortalité liée au VIH pourrait être réduite de 20 % entre 2010 et 2015 en cas de mise en œuvre à grande échelle de ces directives qui recommandent un traitement précoce.
Un traitement plus précoce peut éviter des infections opportunistes, notamment la tuberculose – principale cause de décès chez les personnes vivant avec le VIH. On pourrait réduire de pas moins de 90 % les décès liés à la tuberculose en mettant plus tôt sous traitement les personnes séropositives et tuberculeuses.
La vigueur du système immunitaire d’une personne est évaluée par son nombre de cellules CD4. Une personne en bonne santé a de 1 000 à 1 500 CD4/mm3. Auparavant, l’OMS recommandait une mise sous traitement contre le VIH lorsque le nombre de CD4 d’une personne tombait au-dessous de 200 cellules/mm3, mais conseille désormais la mise sous traitement lorsque ce nombre est de 350 CD4/mm3 ou inférieur.
« En plus du fait qu’il sauve des vies, un traitement plus précoce présente aussi des avantages en termes de prévention » indique le Dr Hirnschall. « Comme le traitement réduit le niveau de virus dans le corps, cela signifie que les personnes séropositives sont moins susceptibles de transmettre le VIH à leurs partenaires ».
Les directives de traitement de l’OMS augmentent le nombre de personnes pour lesquelles un traitement contre le VIH est recommandé d’un niveau de 10 millions environ à un chiffre estimé à 15 millions. Le coût nécessaire pour couvrir les traitements contre le VIH en 2010 devrait s’élever à environ 9 milliards de dollars des États-Unis, selon le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).
« Les investissements que nous réalisons aujourd’hui peuvent non seulement permettre de sauver des millions de vies, mais aussi d’épargner des millions de dollars demain » a déclaré le Dr Bernhard Schwartlander, Directeur, Évidence, Stratégie et Résultats, ONUSIDA. « Les personnes dont le système immunitaire est affaibli qui sont mises sous traitement de manière tardive ont besoin de médicaments et de services plus complexes et plus onéreux que celles qui débutent un traitement plus tôt quand elles sont en meilleure santé ».
Depuis 2003 – année marquée par le lancement de l’initiative historique « 3 millions d’ici 2005 » prévoyant la fourniture d’un accès au traitement contre le VIH à 3 millions de personnes vivant dans des pays à revenu faible ou intermédiaire avant la fin 2005, le nombre de personnes mises sous traitement a été multiplié par 12.
Lors de SIDA 2010, l’OMS publie ses directives 2010 sur le « Traitement antirétroviral de l’infection à VIH chez l’adulte et l’adolescent – recommandations pour une approche de santé publique » que l’on peut trouver à l’adresse suivante www.who.int/hiv
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Publications:
Fact sheet: New progress and guidance on HIV treatment
UNAIDS Outlook Report 2010 (pdf, 6 Mb)
UNAIDS Outcome Framework 2009-2011 (pdf, 388 Kb)
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Un rapport de l’OMS sur le Programme VIH/sida met en vedette les avancées en faveur de l’accès universel
02 juin 2010
02 juin 2010 02 juin 2010
Un récent rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), intitulé Programme VIH/sida : Faits marquants 2008-2009, présente les principales réalisations que l’organisation a accomplies en coopération avec ses partenaires et les pays engagés dans l’accélération des progrès en faveur de l’accès universel aux services de prévention, de traitements, de soins et de soutien contre le VIH.
Le rapport met par exemple en évidence le fait que le nombre des dépistages du VIH a sensiblement augmenté ces dernières années grâce à l’approche menée par l’OMS et l’ONUSIDA. Appelée Approche pour le dépistage et le conseil à l’initiative du soignant (PITC), cette dernière implique que les prestataires de soins médicaux de certains dispensaires recommandent spécifiquement un dépistage du VIH aux patients venus pour d’autres soins.
L’OMS préconise maintenant l’administration précoce des thérapies antirétrovirales (TARV), la fourniture de médicaments antirétroviraux (ARV) avérés et efficaces et leur usage prolongé dans les cas de prévention contre la transmission du VIH de la mère à l’enfant.
Du fait de la stratégie de l’OMS en faveur de « la permutation des tâches », plus de la moitié des 93 pays ayant soumis un rapport sur les programmes qu’ils mettent en œuvre ont pu combler les lacunes en ressources humaines qui affectaient leurs services de soins contre le sida.
Grâce aux efforts menés notamment par l’OMS, le volume et le champ des éléments de mesure, appliqués aux progrès réalisés dans l’intensification des actions de lutte contre le VIH, ont aussi sensiblement augmenté depuis 2008. L’OMS, l’UNICEF et l’ONUSIDA ont pour la première fois collecté conjointement les données en provenance des programmes nationaux en cours dans le monde.
Malgré les déficits de financement et les difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre des programmes, des progrès mesurables ont été enregistrés pendant l’exercice biennal 2008-2009. S’il reste encore beaucoup à faire, le rapport de l’OMS montre que des progrès peuvent encore être réalisés, et ce, même dans les contextes les plus difficiles.
Un rapport de l’OMS sur le Programme VIH/sida met
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Un rapport appelle à l’intensification des stratégies de prévention contre le VIH parmi les HSH en Asie-Pacifique
28 mai 2010
28 mai 2010 28 mai 2010
Un rapport sur la situation du VIH parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les transsexuels de la région Asie-Pacifique a récemment appelé à l’intensification des stratégies de prévention contre la transmission du virus et à l’élargissement de l’accès aux services de traitements, de soins et de soutien pour les personnes de ces groupes qui en ont besoin.
Ce rapport, intitulé « Interventions prioritaires de santé sexuelle contre le VIH dans le secteur médical pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les transsexuels dans la région Asie-Pacifique », a été compilé à l’issue d’une réunion qui s’est tenue à Hong-Kong, en février 2009, sous l’égide du Bureau régional de l’OMS pour le Pacifique occidental, du PNUD, de l’ONUSIDA et du Ministère de la Santé de Hong-Kong.
Cette publication s’inscrit dans un contexte particulier puisqu’elle paraît à la suite de deux rapports similaires, émanant respectivement des Commissions sur le sida en Asie et dans le Pacifique, lesquels recommandent de se concentrer sur les populations les plus exposées (notamment les HSH et les transsexuels) pour maîtriser l’épidémie de VIH.
L’épidémie de VIH s’aggrave parmi ces deux groupes de personnes à l’échelon mondial. En Asie, le risque d’être infecté par le virus est, pour les HSH, de façon disproportionnée, 18,7 fois supérieur à celui de la population en général, a constaté le rapport. Le Modèle de l’épidémie asiatique prévoit que 46 % environ des nouvelles infections survenant en Asie auront lieu parmi les HSH d’ici à 2020 (soit une augmentation de 13 % par rapport à 2008) à moins d’une intensification des mesures de prévention efficaces.
Le rapport préconise l’abrogation des lois parlementaires et des décisions juridiques allant à l’encontre des droits constitutionnels des HSH. L’homosexualité constitue un délit pénal dans 18 pays de la région Asie-Pacifique. Cet état de fait induit des stigmatisations à son égard, et conduit ces hommes à agir de façon cachée, ce qui amoindrit la possibilité pour les programmes de prévention de les atteindre.
Le rapport recommande de sensibiliser les agents sanitaires, d’intégrer dans leurs services de santé des personnes vivant avec le VIH, comme les HSH et les transsexuels, et de recruter des personnes appartenant à ces deux groupes à des postes de direction et ce, afin d’amoindrir les difficultés liées aux réserves des agents sanitaires et de réduire les stigmatisations et les discriminations.
Le rapport recommande aussi d’engager des HSH dans les ripostes communautaires au VIH par des initiatives autogérées. Les HSH pourraient apporter un soutien aux services qui sensibilisent leur personnel sur les questions et les besoins qui leur sont propres. Les services de soutien et de conseil assurés par des pairs devraient être encouragés selon le rapport.
Les stratégies et plans nationaux du secteur de la santé pourraient appeler à l’implication des organisations de la société civile et des groupes de HSH et de transsexuels dans la planification stratégique, l’élaboration, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des programmes.
Le rapport recommande enfin d’engager l’OMS, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’ONUSIDA, l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et la Coalition sur la santé sexuelle masculine en Asie-Pacifique (APCOM) dans la planification, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des ripostes menées par le secteur de la santé contre le VIH à l’échelon local, national, régional et mondial.
Un rapport appelle à l’intensification des straté
Populations clés:
Hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes
Cosponsors:
Organisation mondiale de la Santé
Programme des Nations Unies pour le Développement
Reportages:
Les lois punitives limitent l’accès aux services de prévention et de soins contre le VIH en Asie-Pacifique (21 mai 2010)
L’homophobie fait obstacle à la prévention du VIH (13 janvier 2009)
Liens externes:
Ministère de la Santé de Hong-Kong (en anglais)
Commission sur le sida dans le Pacifique (en anglais)
Publications:
Priority HIV and sexual health interventions in the health sector for men who have sex with men and transgender people in the Asia-Pacific Region (pdf, 1.84 Mb.)
Renverser le cours des choses : Une stratégie ouverte pour la riposte au sida dans le Pacifique. Rapport de la Commission sur le sida dans le Pacifique (pdf, 1.52 Mb.) (en anglais)
Le VIH et les HSH en Asie et dans le Pacifique (pdf, 1.11 Mb.) (en anglais)
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L’Assemblée mondiale de la Santé aborde le Règlement Sanitaire International et les OMD
17 mai 2010
17 mai 2010 17 mai 2010
Photo: OMS/Jesse Hoffmann
La 63ème session de l’Assemblé mondiale de la Santé réunissant le corps décisionnaire de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’ouvre aujourd’hui à Genève. Les Ministres de la Santé et des officiels du monde entier se réunissent jusqu’au 21 mai 2010 pour discuter de la mise en œuvre du Règlement Sanitaire International (RSI).
Sont présents 194 pays du monde entier, comprenant tous les états membres de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui sont des états signataires du RSI, un instrument légal international. Le but de cette règlementation mondiale est d’aider la communauté internationale à prévenir et à répondre aux risques de santé publique susceptibles de franchir les frontières et de menacer la population mondiale.
Le RSI par exemple, exige des pays qu’ils rapportent l’apparition de certaines maladies et événements de santé publique à l’OMS et qu’ils renforcent également leurs capacités de surveillance et de réponse en matière de santé publique.
Cette année, l’Assemblée mondiale de la Santé abordera plus particulièrement le suivi de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement. Durant l’année 2000, 189 pays se sont engagés dans un nouveau partenariat global pour réduire l’extrême pauvreté. Ils ont fixés une série d'objectifs à atteindre d'ici 2015. Ils sont connus sous le nom d'Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et prévoient de diminuer de moitié la pauvreté extrême, de stopper la progression du VIH et de fournir une éducation primaire universelle.
L’Assemblée mondiale de la Santé réunit chaque année les délégations de tous les états membres de l’OMS pour se concentrer sur un agenda de santé spécifique. L’année dernière, l’Assemblée s’est focalisée sur l’apparition de la grippe A (H1N1) sur le plan mondial et les réponses les plus efficaces face à la possible pandémie, y compris la préparation, l’accès aux vaccins et le partage des virus de la grippe.
L’Assemblée mondiale de la Santé aborde le Règlem
Coparrainants:
Organisation Mondiale de la Santé (OMS)
Reportages:
L’ONUSIDA demande que la transmission mère-enfant du VIH soit virtuellement éliminée d’ici à 2015 (21 mai 2009)
La soixante-deuxième Assemblée mondiale de la Santé dominée par la grippe A(H1N1) (18 mai 2009)
Publications:
Action commune pour les résultats : dans le cadre des résultats de l’ONUSIDA 2009-2011 (pdf, 931 Kb.) (en anglais)

Feature Story
Réunion de partenaires engagés contre la tuberculose au Vietnam
04 mai 2010
04 mai 2010 04 mai 2010
L’un des 10 domaines prioritaires présentés dans le Cadre de résultats de l’ONUSIDA pour la période 2009-2011 porte sur la prévention contre la tuberculose parmi les personnes vivant avec le VIH. Photo: ONUSIDA/P.Virot
La 18ème réunion du Conseil de coordination du Partenariat Halte à la tuberculose se tient les 4 et 5 mai 2010 à Hanoï, au Vietnam. Des représentants de l’ONUSIDA et du Partenariat sont ainsi réunis pour renforcer leur riposte conjointe à la co-infection du VIH et de la tuberculose et s’entendre sur un programme visant à réduire de moitié le nombre des décès dus à la tuberculose parmi les personnes vivant avec le VIH à l’horizon 2015.
« Un décès dû au sida sur quatre est lié à la tuberculose. Ce programme constitue un jalon important pour mettre fin aux décès dus à la tuberculose des personnes vivant avec le VIH. La tuberculose peut en effet être évitée et guérie », a fait remarquer le Directeur exécutif adjoint de l’ONUSIDA, Paul De Lay.
Une personne vivant avec le VIH meurt de la tuberculose toutes les trois minutes. Les taux de mortalité ont flambé au cours des dix dernières années (atteignant le seuil de 500 000 par an). Et l’émergence de souches pharmacorésistantes chez la tuberculose menace d’un danger mortel les populations soumises à des taux élevés d’infection au VIH.
L’un des 10 domaines prioritaires présentés dans le Cadre de résultats de l’ONUSIDA pour la période 2009-2011 porte sur la prévention contre la tuberculose parmi les personnes vivant avec le VIH. L’ONUSIDA espère parvenir à cet objectif en assurant l’intégration et l’efficacité des services en charge du VIH et de la tuberculose et en apportant un soutien nutritionnel dans tous les cas de figure.
L’accès universel et les buts des OMD relatifs au VIH et à la tuberculose seront difficiles – voire impossibles – à atteindre si une attention accrue n’est pas portée aux groupes marginalisés et vulnérables comme les prisonniers, les consommateurs de drogues, les femmes, les migrants. Il est de même indispensable de mieux axer sur les droits de l’homme les approches suivies afin qu’elles assurent l’équité lors de l’accès aux services et de la réduction des risques.
Une grande variété de participants sont attendus à cette réunion, notamment les Ministres de la Santé du Vietnam, de l’Afrique du Sud et du Myanmar, le Directeur régional de l’Organisation mondiale de la Santé pour le Pacifique occidental et de hauts représentants de l’ONUSIDA, du Partenariat Halte à la tuberculose et du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
Leurs discussions porteront notamment sur une présentation générale de l’épidémie de tuberculose au Vietnam et dans la région du Pacifique occidental et sur un examen des progrès réalisés dans l’élaboration de nouveaux médicaments, dépistages et vaccins contre la tuberculose.
La réunion du Conseil vise également à assurer le suivi de la réunion ministérielle de Beijing d’avril 2009. Lors de cette rencontre, des ministres de pays fortement touchés par la tuberculose multirésistante (tuberculose MDR) et la tuberculose ultrarésistante (tuberculose XDR) se sont penchés sur la réduction du terrible danger que pose cette maladie. La 18ème réunion du Conseil de coordination du Partenariat Halte à la tuberculose examinera les progrès réalisés par les pays depuis Beijing et recommandera des actions à même de surmonter les écueils et d’accélérer les efforts.
Le Partenariat Halte à la tuberculose est un programme public-privé majeur pour la santé mondiale. Établi en 2001, il a pour objectif d’éliminer radicalement la tuberculose après avoir réussi à la faire disparaître de la liste des problèmes de santé publique. Il entretient un réseau de plus de 900 organisations internationales, pays, donateurs des secteurs public et privé, organisations gouvernementales et non gouvernementales et particuliers.
Réunion de partenaires engagés contre la tubercul
Coparrainants:
Organisation mondiale de la Santé
Partenaires:
Le Fonds mondial de la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
Reportages:
Elargissement et intensification nécessaires du dépistage intégré de la tuberculose et du VIH pour lutter contre des épidémies liées (24 mars 2009)
Le Directeur exécutif de l’ONUSIDA rencontre les directeurs des programmes antituberculeux et la société civile (26 mars 2009)
Liens externes:
Partenariat Halte à la tuberculose (en anglais)
Publications:
Politique intérimaire pour les activités conjointes sur la tuberculose et le VIH (pdf, 285 Mb.) (en anglais)
Une action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l’ONUSIDA (2009–2011) (pdf, 498 Kb.)
Tuberculose : Directives pour les activités de contrôle sur le lieu de travail (pdf, 223 Kb.) (en anglais)
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