
Feature Story
AIDS responses in post-conflict Sierra Leone
12 juin 2007
12 juin 2007 12 juin 2007
In the post-conflict reconstruction of Sierra Leone,
the response to the AIDS epidemic came far down
the list of priorities.
The decade long brutal civil war in Sierra Leone was officially declared over in 2002. But in a country which is ranked 176 out of 177 in the Human Development Index*, the government is confronted with many different priorities all equally important (energy, infrastructure, health, education, water and sanitation) and all competing for the limited resources available.
In 2005, HIV prevalence in Sierra Leone was at 1.6%, but in the post-conflict reconstruction of Sierra Leone, the response to the AIDS epidemic came far down the list of priorities.
In a bid to strengthen the response to AIDS in the country UNAIDS established an office in Freetown in January of 2005 which helped pave the way for HIV to be mainstreamed into development instruments and forums such as the Poverty Reduction Strategy, the United Nations Development Assistance Framework, the Development Partners’ Committee and Donors’ Consultative Group meetings.
Through the institutional support provided to the National AIDS Secretariat (NAS), the first costed national strategic plan (2006-10) which provided the basis for coordinating the work of all partners was formulated, validated and launched.
Improved capacities of NAS to better plan and program coupled with timely submission of requests for replenishment of funds enhanced the implementation of the World Bank funded HIV Project (SHARP). As a result, additional financial resources were leveraged from the Global Fund to fight AIDS, Tuberculosis and Malaria to scale up access to HIV prevention, treatment, care and support (phase two round four and round six amounting to US$ 36 million).
This additional funding helped strengthen the promotion, support and coordination of activities addressing HIV among populations of humanitarian concern including armed and uniformed groups, migrants and mobile populations.

UNAIDS established an office in Freetown in January
of 2005 which helped pave the way to strengthen
the response to AIDS in the country.
The government and the private sector are now gradually becoming more involved and have formed a Parliamentarian Committee on HIV and the Multi Disciplinary Task Force that are spearheading a draft bill that recognizes, promotes and protects the rights of people living with HIV. The Chamber of Commerce of Chief Executive Officers/Managers has also set up a project to work on the challenges HIV poses to their businesses and the importance of their involvement in the national AIDS response.
With the establishment of the UN Joint Team on AIDS, the Expanded Technical Working Group and the United Nations Theme Group on HIV, a more coherent and coordinated United Nations’ support to the government is being harnessed.
*The Human Development Index provides a composite measure of three dimensions of human development: living a long and healthy life (measured by life expectancy), being educated (measured by adult literacy and enrolment at the primary, secondary and tertiary level) and having a decent standard of living (measured by purchasing power parity, PPP, income)
Links:
More on Sierra Leone
Read more on the implementers' meeting
Related
Empowering youth to lead Togo’s HIV response

31 octobre 2024
Interactive health and HIV game app reaches more than 300 000 young people in Côte d’Ivoire

09 septembre 2024
Bridging gaps: sex education saves lives in Central African Republic

03 septembre 2024

Feature Story
Faire participer les communautés aux ripostes nationales au sida
11 juin 2007
11 juin 2007 11 juin 2007
La lutte contre le sida nécessite une plus grande
coordination entre les partenaires pour éviter les
activités redondantes et faire en sorte que les
ressources soient utilisées de la manière la plus
efficiente et la plus efficace possible.
Dans de nombreux pays, les communautés ont été les premières à se mobiliser pour lutter contre le sida et leurs initiatives ont souvent servi de base à l’élaboration de la riposte nationale.
On sait donc d’expérience que l’action contre l’épidémie nécessite une plus grande coordination entre les partenaires pour éviter les activités redondantes et faire en sorte que les ressources soient utilisées de la manière la plus efficiente et la plus efficace possible.
C’est pour cela que l’ONUSIDA publie, en collaboration avec le Réseau international d’organisations d’entraide et de lutte contre le sida (ICASO), le Réseau africain d’organisations d’entraide et de lutte contre le sida (AfriCASO) et l’Alliance internationale contre le VIH/sida, un document intitulé Coordination avec les communautés – Directives sur l’implication du secteur communautaire dans la coordination des réponses nationales au VIH/sida. L’objectif de ces nouvelles directives est de renforcer la participation active et concrète du secteur communautaire à l’élaboration, à la mise en œuvre et au suivi de ripostes nationales coordonnées.
« Le secteur communautaire apporte au processus de coordination des connaissances techniques cruciales et un vécu qui peuvent contribuer à ce que les ripostes nationales au sida répondent aux besoins réels de ceux qui sont les plus affectés. Pour que cela marche, toutes les parties prenantes doivent vouloir collaborer véritablement et, à l’aide de ces directives, apprendre comment susciter et favoriser la participation active et significative du secteur communautaire », a-t-il ajouté.

Les nouvelles directives ont pour objectif de
renforcer la participation active et concrète du
secteur communautaire à l’élaboration, à la mise
en œuvre et au suivi de ripostes nationales
coordonnées.
Les directives ont pour objectif de proposer des options pratiques parmi lesquelles les communautés et les parties prenantes peuvent choisir celles qui conviennent le mieux à leur situation.
Ces directives ont aussi pour objectif de promouvoir un ensemble de principes universels, tels que les droits de la personne et l’égalité entre les sexes, qui sont pertinents pour tous les pays et dans tous les contextes. En particulier, ces directives s’appuient sur l’idée largement admise qu’une plus grande participation des personnes vivant avec le VIH permettra de mettre en place des ripostes nationales plus efficaces contre le sida.
Leur utilisation dépendra de facteurs tels que la capacité des organisations et des réseaux du secteur communautaire et de la relation entre groupes communautaires et autres parties prenantes. Cependant, quel que soit le pays, ces directives peuvent servir comme :
• Outil d’évaluation des points forts et des faiblesses de la participation du secteur communautaire à tous les organes et processus nationaux de coordination de la lutte contre le sida.
• Outil d’élaboration d’un plan d’action multisectoriel pour promouvoir et améliorer la participation du secteur communautaire à tous les organes et processus nationaux de coordination de la lutte contre le sida.
• Outil de plaidoyer pour améliorer et financer aussi bien la participation du secteur communautaire aux organes et processus nationaux de coordination de la lutte contre le sida que le maillage et la coordination du secteur communautaire.
• Base d’élaboration de directives au niveau local ou de district pour la participation du secteur communautaire aux organes et processus nationaux de coordination de la lutte contre le sida.

Les efforts engagés pour élargir une riposte
harmonisée au sida ne peuvent être menés à
bonne fin sans la participation active et concrète
du secteur communautaire.
Les directives ont été élaborées en réponse aux demandes de groupes de personnes vivant avec le VIH, d’organisations à assise communautaire et de groupes ou d’individus d’autres secteurs qui avaient conscience que les efforts engagés pour élargir une riposte harmonisée au sida – dans le respect des ‘Trois principes’ – ne pouvaient donner des résultats qu’avec la participation active et concrète du secteur communautaire.
« La participation du secteur communautaire est essentielle dans le cadre des efforts déployés en vue de l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et au soutien du VIH », a déclaré Michel Sidibe, Directeur exécutif adjoint de l’ONUSIDA. « C’est au secteur communautaire qu’il incombe en premier de définir les besoins et de dispenser des services aux communautés affectées. En conséquence, il mérite d’avoir davantage voix au chapitre lorsqu’il s’agit de planifier et de coordonner les ripostes nationales au sida. Avec ces directives, nous renforçons les capacités du secteur communautaire pour qu’il puisse assumer pleinement le rôle qui lui revient parmi les partenaires de la riposte au sida ».
Toutes les photos : Gideon Mendel pour l’Alliance internationale contre le VIH/sida, 2004.
Télécharger le document Coordination avec les communautés – Directives sur l’implication du secteur communautaire dans la coordination des réponses nationales au VIH/sida:
Télécharger la brochure (en anglais) (pdf, 873 KB)
Partie A – Généralités sur l’implication des communautés ( en | fr | es | ru ) (pdf, 791 KB | 799 KB | 792 KB | 2,27 MB)
Partie B – Actions à entreprendre en vue d’impliquer les communautés ( en | fr | es | ru ) (pdf, 568 KB | 575 KB | 565 KB | 1,48 MB)
Partie C – Fiches d’action ( en | fr | es | ru ) (pdf, 992 KB | 1 MB | 951 KB | 2,34 MB)
Guide d'animation d'ateliers ( en | fr | ru ) (pdf, 395 KB | 400 KB | 347 KB)
Liens associés:
Consulter le site Internet du Conseil international des organisations d’action contre le sida (ICASO) (en anglais)
Davantage d’informations sur les ‘Trois principes’
Related
Empowering youth to lead Togo’s HIV response

31 octobre 2024
Bridging gaps: sex education saves lives in Central African Republic

03 septembre 2024
Cities leading the way to achieving key targets in the HIV response

27 septembre 2023

Feature Story
South Africa AIDS Conference
06 juin 2007
06 juin 2007 06 juin 2007
UNAIDS Executive Director Dr. Peter Piot, at the
opening of the third South African Aids conference
in Durban, 05 June 2007.
“If South Africa can achieve its aims, the country will be well on the way to leading Africa into a new phase in the AIDS response,” said UNAIDS Executive Director Peter Piot, at the opening of the third South African Aids conference in Durban yesterday.
Congratulating South Africa for its new “ambitious and credible” five-year National Strategic Plan for Aids, which aims to half new infections by 2011, Dr Piot underlined that the effective implementation of the plan is critical for future progress. “ The National AIDS Plan represents an incentive for all of us, wherever we work, to take a cold, hard look at what we are doing and to change what needs to change,” he said. “Failure to reach the ambitious, but necessary, goals would be a collective failure on all our parts. You have a better chance than any other country in the region to deliver on AIDS. If you can't, who can?" he added.

Ms Phumzile Mlambo-Ngcuka, Deputy President of
the Republic of South Africa and Dr Peter Piot,
UNAIDS Executive Director, during the press
conference that took place after the official opening
of the South African AIDS conference in Durban,
05 June 2007
More than 4000 scientists, activists and medical experts have joined in Durban this week for the third South African AIDS Conference. At the conference opening, Dr Piot joined Deputy President Phumzile Mlambo-Ncguka, who heads the recently restructured South African National AIDS Council, social activist Graça Machel and the Treatment Action Campaign’s Nkhensani Mavasa on the podium.
The conference theme is Building Consensus on Prevention, Treatment and Care, and organisers hope to end the four-day meeting with a formal declaration on the way forward on key topics, such as the role of male circumcision in preventing HIV transmission. Other issues up for discussion include WHO/UNAIDS’ new guidelines on HIV testing and counselling and the spread of extremely drug resistant tuberculosis, to which people living with HIV are particularly vulnerable.
The conference will run from 5 – 8 June.
All photo credits: UNAIDS/M.Furrer
Links:
Read UNAIDS Press Release
Read Dr Piot’s opening speech: ‘To reduce AIDS globally, South Africa should succeed’ (pdf, 43 Kb)
Download the HIV and AIDS and STI Strategic Plan for South Africa, 2007 – 2011 (pdf, 1.6 Mb)
Read feature story: South Africa marks key AIDS milestones
Visit the official web site of the 3rd South African AIDS Conference
Related

Feature Story
Malgré une augmentation des fonds, les ressources allouées à la lutte contre le sida demeurent insuffisantes
05 juin 2007
05 juin 2007 05 juin 2007Financer la riposte à l’épidémie mondiale de sida est devenu l’un des plus grands défis du développement et de la santé au niveau planétaire.
Alors que les leaders mondiaux se préparent à se réunir cette semaine pour le Sommet annuel du G8, l’ONUSIDA et la Kaiser Family Foundation publient un nouveau rapport analysant les financements alloués par les pays du G8 et autres gouvernements donateurs à la lutte contre le sida dans les pays à revenu faible et intermédiaire.
Le rapport – Financing the response to AIDS in low- and middle- income countries: International assistance from the G8, European Commission, and other donor Governments, 2006 (financement de la riposte au sida dans les pays à revenu faible et intermédiaire : assistance internationale du G8, de la Commission européenne et d’autres gouvernements donateurs, 2006) – suit les niveaux de financement des gouvernements donateurs mentionnés qui fournissent collectivement l’essentiel de l’assistance internationale à la riposte au sida par le biais de programmes bilatéraux et de contributions au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
Certaines des principales conclusions du rapport indiquent notamment qu’en 2006, l’assistance internationale à la riposte au sida du G8, de la Communauté européenne et d’autres gouvernements donateurs a atteint son plus haut niveau historique grâce à des engagements totalisant US$ 5,6 milliards et des décaissements ou des mises à disposition de fonds pendant l’année s’élevant à US$ 3,9 milliards.
Le rapport rend compte de la manière dont les financements des gouvernements donateurs ont augmenté sensiblement au cours des dernières années. « Entre 2002 et 2006, les engagements et les décaissements ont dans les deux cas plus que triplé, et ce, même si les premiers ont augmenté plus vite que les seconds », indique le rapport.
En ce qui concerne les niveaux d’investissement, le rapport note que les fonds alloués à la riposte au sida par le Gouvernement des Etats-Unis sont de loin les plus importants et qu’ils représentent, en 2006, près de la moitié (47 %) des engagements financiers des gouvernements donateurs. Les Pays-Bas, classés deuxième avec 17 % des engagements, sont suivis par le Royaume-Uni (14 %).
Toutefois, lorsque l’on évalue les efforts des donateurs par rapport à la richesse nationale (décaissements financiers alloués à la riposte au sida par million de dollars US de PIB), ce sont trois pays non membre du G8 – les Pays-Bas, la Suède et l’Irlande – qui figurent dans le peloton de tête en matière de financement. Les Etats-Unis se situent en milieu de liste et le Japon et l’Italie sont en queue de peloton.
Malgré l’augmentation évidente des financements alloués pour 2006, le rapport fait également état d’un déficit de financement de US$ 6 milliards entre les estimations des besoins de ressources de l’ONUSIDA et les ressources effectivement mises à disposition en 2006, « écart qui pourrait devenir encore plus important dans les prochaines années », indique le rapport.
Liens:
Lire le rapport complet (en anglais) (pdf, 144 KB)
Lire les notes destinées à la presse sur le rapport (en anglais) (pdf, 43,9 KB)
Liens complémentaires:
Lire le communiqué de presse de l’ONUSIDA : l’ONUSIDA demande instamment aux pays du G8 de faire preuve d’un leadership audacieux et décisif sur le sida ( en | fr | ru ) (pdf, 26,9 KB | 33,7 KB | 221 KB)
Consulter le site Internet du G8 (en allemand)
Consulter le site Internet de la Campagne du G8 contre le sida ( en | es | fr | ru | pt )

Feature Story
Keeping Score: AIDS responses in the Caribbean
01 juin 2007
01 juin 2007 01 juin 2007
L to R: Dr. the Hon. Jerome Walcott, Minister of
Health, Barbados, Karen Sealey,Director, UNAIDS
Caribbean, and Sen. the Hon. Ann David-Antoine,
Minister for Health, Social Security, the Environment
and Ecclesiastic Relations, Grenada.
To demonstrate commitments and progress made by countries in the Caribbean to addressing AIDS, and to highlight programming challenges , the CARICOM based Pan-Caribbean Partnership Against HIV/AIDS (PANCAP) and the Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS) have launched a comprehensive report on national AIDS responses in the region.
For the first time ever, the report—Keeping Score: AIDS Responses in the Caribbean—provides a consolidated analysis of available data on key services being delivered to those in need throughout the region. The report analyzes data from 15 Caribbean nations in conjunction with the 2006 UN General Assembly High Level Meeting on AIDS.
Speaking at the publication launch, Director of UNAIDS Caribbean, Karen Sealey, stated, “Today marks another milestone in the Caribbean’s pursuit of demonstrating results towards the collective global goal of halting the spread of HIV.”
Keeping Score for the first time ever allows the region to see levels of performance across programme areas and across countries, towards meeting commitments made as part of the 2001 Political Declaration. The publication offers a crucial opportunity for those involved in national AIDS responses in the region to take stock of lessons learned in time for improved reporting and programming for reporting back in January 2008.

Karen Sealey,Director, UNAIDS Caribbean during
her speech at the launch of the new publication in
Grenada, Eastern Caribbean, 31 May, 2007
“We see achievements in many areas” Karen Sealey stated. “Responses have been expanded to include many sectors other than health. More funds are being mobilized. Programme reporting is strongest in the areas of treatment scale up and prevention of mother to child transmission.”
Keeping Score provides a quantitative and qualitative analysis of findings by indicator, across all 15 Caribbean reports. Key issues in the implementation and monitoring of national AIDS responses are reviewed and assessed.
However, Dr Sealey also added a cautionary note: “Data on prevention education programmes in general are very weak – more often than not we know numbers reached by various interventions, but we have no idea of coverage in terms of percentage of key populations reached, either by treatment or prevention programmes.”
After two decades, the Caribbean region ranks second in the world in terms of estimated prevalence of HIV infection, surpassed only by sub-Saharan Africa. At the end of 2006, an estimated 250,000 people were living with HIV in the Caribbean. Some 27,000 were newly infected during 2006. HIV infection rates average at 1.2% throughout the region, with the highest rates (2-4%) seen in The Bahamas, Haiti, Trinidad and Tobago.
Links:
Download full report (pdf, 3.2 Mb)
Read press release
More information on the Caribbean region

Feature Story
Grameenphone telecommunications joins forces with UNAIDS
01 juin 2007
01 juin 2007 01 juin 2007
Bangladesh ’s leading telecommunications service provider, Grameenphone Ltd has joined forces with UNAIDS to drive forward advocacy and awareness raising on AIDS issues, as part of the work of the Asia Pacific Leadership Forum on AIDS (APLF) in Bangladesh.
At a ceremony held in Dhaka on 24 May 2007, Managing Director of Gameenphone Erik Aas and UNAIDS Director for Regional Support Team Prasada Rao signed a statement of cooperation that will see the telecommunications giant support UNAIDS in their APLF work to engage high-level leaders from different sectors of the country, including governance, business, media and women in helping create an enabling environment in support of action on AIDS. A major focus of the agreement between UANIDS and Grameenphone is to work together to ensure media coverage for the leaders. Grameenphone will provide necessary support to execute the mutually agreed upon media campaigns.
Speaking at the signing ceremony, Erik Aas said that with Grameenphone’s network of more than 10 million subscribers across the country, the company is in an ideal situation to conduct wide reaching HIV awareness campaigns. "Utilising our infrastructure and employees, I expect that we will succeed," he said.
In Bangladesh, six leaders are already ambassadors of the APLF initiative. Major General (retd) ASM Matiur Rahman, Adviser of Ministries of Health and Family Welfare, Water Resources and Religious Affairs, Runa Laila and Alamgir, cultural personalities, Shykh Seraj, media personality and agriculture development expert, Bibi Russell, fashion icon and activist and Kafil HS Muyeed, Director, New Business Division, Grameenphone Ltd. All attended the event that saw UNAIDS and Grameenphone come together on the issue of AIDS.

“We hope this will encourage thousands of businesses in the country to come forward to address the major threats relating to health, education and poverty alleviation as part of their corporate social responsibility,” said Major General (retd) ASM Matiur Rahman. “AIDS is a global problem, and a reality in Bangladesh. There is no alternative to taking preventive measures – particularly focusing on young people who are at high risk,” he added and stressed the need for a combined effort of all religious minded people from mosques, temples and pagodas.
“Leaders are distinguished by their action, innovation and vision; their personal example and engagement of others; and their perseverance in the face of obstacles and challenges,” said UNAIDS’ Prasada Rao. “Leadership must be demonstrated at every level to get ahead of the epidemic- in families, in communities, in countries and internationally. We welcome working together with Grameenphone Ltd to push forward the AIDS response in Bangladesh.”
The APLF was established in 2002 in response to the commitment for strong leadership on AIDS agreed at the first United Nations General Assembly Special Session on AIDS (UNGASS) in New York in July 2001. Managed by UNAIDS, APLF supports and strengthens political and civil society leadership at country, sub-regional and regional levels to take action to reduce the spread and impact of the AIDS epidemic in the Asia Pacific region.
The first case of HIV in Bangladesh was detected in 1989. According to a 2004 UN study, HIV infections have tripled in the last six years. UNAIDS estimated that 13,000 adults and children were living with HIV at the end of 2002 in Bangladesh.
Links:
More information on Bangladesh
Related
Thailand’s Mplus: HIV services delivered in style

13 décembre 2022
Preventing transmission and tackling stigma: The power of U=U

12 décembre 2022

Feature Story
Conseil et dépistage du VIH : nouvelles directives
30 mai 2007
30 mai 2007 30 mai 2007L’OMS et l’ONUSIDA ont publié le 30 mai un nouveau guide sur le conseil et le dépistage librement consenti du VIH dans les établissements de santé, dans le but d’accroître l’accès aux services nécessaires de traitement, de soins, de soutien et de prévention du VIH. Ce nouveau guide est axé sur le conseil et le dépistage à l’initiative du soignant.
Liens:
Télécharger le Guide du conseil et du dépistage du VIH à l’initiative du soignant dans les établissements de santé ( en | fr | ru ) (pdf, 2,65 MB | 1,23 MB | 1,29 MB)
Lire le communiqué de presse ( en | fr | es | ru | ar ) (pdf, 57,4 KB | 68,4 KB | 61,7 KB | 164 KB | 159 KB)
Lire le résumé analytique ( en | fr | es | ru ) (pdf, 516 KB | 189 KB | 174 KB | 243 KB)
Davantage d’informations sur le conseil et le dépistage
Related
Cities leading the way to achieving key targets in the HIV response

27 septembre 2023

Feature Story
Les médias asiatiques s’unissent contre le sida
28 mai 2007
28 mai 2007 28 mai 2007
Des sommités de la radio/télévision, des
réalisateurs et des journalistes de renom,
et des responsables de média asiatiques
ont promis de renforcer leur riposte au
sida.
Des sommités de la radio/télévision, des réalisateurs et des journalistes de renom, et des responsables de média asiatiques ont promis de renforcer leur riposte au sida et de créer l’initiative ‘Asia Pacific Media AIDS’ pour donner plus de place aux informations concernant le sida dans la région et mieux en rendre compte.
L’engagement de faire avancer la riposte des médias au sida a été pris lors de la conférence intitulée ‘Global Media Strategies on AIDS’ qui s’est tenue à Kuala Lumpur (Malaisie), le 28 mai. Plus de 130 représentants des grandes chaînes de télévision, de la radio, de la presse et des médias électroniques de la région ont assisté à la conférence – événement spécial qui a été organisé en préambule au 30ème Sommet des médias asiatiques qui s’est tenu les 29 et 30 mai.

Maître Dali Mpofu, PDG de la South
African Broadcasting Corporation et
Président de la Global Media AIDS
Initiative a prononcé le discours
programme.
« Le sida est une crise mondiale d’une ampleur considérable qui ne connaît aucune frontière », a déclaré Maître Dali Mpofu, PDG de la South African Broadcasting Corporation (SABC) et Président de la Global Media AIDS Initiative (GMAI) dans son discours programme.
« Il est évident que les médias sont l’un des outils les plus puissants pour infléchir l’évolution de l’épidémie et qu’ils sont terriblement sous-exploités ».
« Les médias doivent donner une ampleur accrue à leur action et propager l’information plus vite que l’épidémie », a-t-il déclaré.
Cette conférence d’une journée organisée par l’Asia-Pacific Institute for Broadcasting Development (AIBD), l’ONUSIDA, l’Asia Pacific Leadership Forum on AIDS and Development (APLF), l’UNESCO et ISIS Malaysia a été l’occasion de débattre d’un certain nombre de questions clés concernant la riposte des médias au sida, y compris la manière dont ces derniers peuvent favoriser une évolution positive des attitudes à l’égard des personnes vivant avec le VIH, les rôles positifs et négatifs que les médias ont joué à ce jour dans la riposte et les stratégies pour faire en sorte que les médias informent le public avec précision et efficacité des questions liées au sida.
La question du sida doit demeurer d’actualité dans les médias

Bai Bagasao, administratrice de l’Asia Pacific
Leadership Forum on AIDS, Equipe régionale
d’appui au développement de l’ONUSIDA.
Ouvrant la première séance de la journée, Mme Bai Bagasao, administratrice ONUSIDA de l’APLF, a brossé un tableau général de la situation actuelle de l’épidémie, soulignant la nécessité de poursuivre et d’améliorer la couverture médiatique du sida. « Je sais que nous attendons tous un progrès décisif, comme un vaccin, un traitement ou quelque chose de spectaculaire – mais la réalité est qu’au jour le jour, des milliers de personnes continuent de mourir du sida et des milliers de personnes sont nouvellement infectées par le VIH. Pourquoi donc le sida n’est-il plus d’actualité ? » a-t-elle demandé.
Invitant les médias à être vigilants et précis lorsqu’ils informent sur le sida, Mme Bagasao a cité le père de la médecine moderne, Hippocrate, pour souligner combien il est nécessaire d’avoir une conduite éthique. « Déclarer le passé, diagnostiquer le présent [et] s’agissant des maladies, prendre deux choses pour habitude – aider ou du moins ne pas nuire », a-t-elle dit. « Ces paroles de sagesse sont tout à fait appropriées à la manière dont les médias doivent riposter au sida aujourd’hui », a-t-elle ajouté.
Il a été rappelé aux professionnels des médias la contribution durable qu’ils peuvent apporter à la riposte au sida. « Vous avez la possibilité d’influencer les attitudes, les comportements et même les décisions de politiques », a déclaré Mme Bagasao. « S’assurer que les messages sont transmis pour aider les gens à s’adapter et à résister au VIH requiert de la sagesse, de la sensibilité, et un objectif clair », a-t-elle ajouté.
A l’aide d’un certain nombre d’exemples de la manière dont les médias ont, consciemment ou inconsciemment, contribué à alimenter les préjugés et la discrimination, les participants ont été invités à accorder une grande attention au langage qu’ils utilisent et à la manière dont ils formulent leurs informations. Ils ont par ailleurs été incités à suivre des cours à l’intention des médias, axés sur les questions relatives au sida et proposés par un certain nombre d’organismes des Nations Unies et d’organisations non gouvernementales.
Les journalistes présents ont dit qu’il convenait de sensibiliser leurs collègues à la nécessité d’informer clairement, ce qui est parfois oublié au sein d’un univers médiatique qui vit à un rythme effréné. « Je suis reporter, les délais sont toujours très courts et il m’est arrivé de négliger les questions sensibles », avoue Mao Xuzhi, journaliste dans la section anglaise de la société chinoise CCTV. « C’est la raison pour laquelle la formation est si importante – les ateliers nous apprennent quel langage choisir et qu’il faut éviter d’utiliser certains termes et certaines images susceptibles de renforcer la discrimination à l’égard des personnes vivant avec le VIH », a-t-elle ajouté.
Sida – agent du changement

Firdoze Bulbulia, Présidente de la Children and
Broadcasting Foundation for Africa, Afrique du
Sud.
On a fait valoir tout au long de la journée qu’il fallait permettre aux personnes vivant avec le VIH de raconter leur propre histoire dans le cadre d’articles et de reportages pour renforcer et améliorer les émissions radiophoniques et télévisuelles et les articles de presse. Selon les intervenants, la couverture médiatique des personnes qui ‘vivent positivement’ aide à faire évoluer les perceptions à l’égard du sida et à lever la discrimination.
« Ne sombrons pas dans la morosité. Cette idée a 25 ans d’âge. Le sida est devenu un agent du changement – il modifie le cours des choses, provoquant souvent des mouvements positifs et nous devons évoluer avec le temps », a déclaré Firdoze Bulbia, Présidente de la Children and Broadcasting Foundation for South Africa.
Concernant l’amélioration de la couverture médiatique du sida, les participants ont été exhortés à trouver de nouvelles manières de communiquer des informations sur le sida et d’intégrer la question du VIH dans la programmation courante plutôt que de proposer des émissions ponctuelles et symboliques sur ce thème. « Le sida est ici, avec nous – personne n’est ‘à part’, il s’agit de nous tous », a déclaré Mme Bulbia. « Les grandes émissions, les feuilletons, les sitcoms et autres programmes doivent intégrer des personnages vivant avec le VIH dans leurs scénarios, tout comme il y a dans nos vies de tous les jours des personnes qui vivent avec le virus. Nous devons faire face à cette question – le sida ne disparaît pas, il est bien présent et nous devons gérer ce problème aujourd’hui », a-t-elle ajouté.
Pour exprimer leur volonté de renforcer l’action contre le sida au sein des médias, les participants des entreprises asiatiques de médias ont conclu la réunion en approuvant une déclaration d’engagement prévoyant d’accorder plus de temps d’antenne, d’allouer davantage de ressources et de renforcer la collaboration en matière de production de programmes et de reportages. Ils se sont engagés à créer l’Asia-Pacific Media AIDS Initiative – bras régional du GMAI – pour élaborer et mettre en œuvre collectivement un plan commun et un calendrier pour élargir la riposte du secteur des médias au sida dans la région.
« Nous devons renforcer notre action et surmonter nos tabous culturels. Il s’agit de sauver des vies et des nations », a indiqué M. K P Madhu de l’AIBD.
Related
Thailand’s Mplus: HIV services delivered in style

13 décembre 2022
Preventing transmission and tackling stigma: The power of U=U

12 décembre 2022

Feature Story
Zackie Achmat : ‘S’unir pour prévenir le VIH’
25 mai 2007
25 mai 2007 25 mai 2007
En 2006, l’ONUSIDA s’est réuni avec des représentants de la société civile, des militants pour l’accès au traitement, des responsables du secteur privé et des gouvernements afin d’appeler la communauté mondiale à mobiliser une alliance pour intensifier les efforts de prévention du VIH autour du slogan ‘S’unir pour prévenir le VIH’ (Uniting for HIV Prevention).
L’un des principaux partenaires présent dès le début, la Treatment Action Campaign (TAC), continue de militer pour la prévention du VIH afin de stopper l’accroissement des taux d’infection et conserver les acquis de la riposte au sida, à savoir l’augmentation du nombre de personnes recevant un traitement VIH. Le fondateur et président de la TAC, le célèbre militant Zackie Achmat, nous fait part ici de ses idées sur les raisons pour lesquelles l’initiative ‘S’unir pour prévenir le VIH’ est essentielle pour assurer la pérennité de la riposte au sida ainsi que pour les systèmes de santé, les communautés et la société en général.
Pourquoi pensez-vous que ‘S’unir pour prévenir le VIH’ soit nécessaire ?
L’infection à VIH écourte la durée de vie des personnes touchées, influence leur qualité de vie et détériore les relations familiales et sociales ; elle a aussi des répercussions sur des enjeux plus vastes comme l’économie. Dans notre pays [l’Afrique du Sud], tous les jours plus de 1 000 personnes sont infectées et plus de 900 meurent de maladies liées au sida. Rien que de ce point de vue, si l’on n’élargit pas la prévention de manière efficace, nous connaîtrons une augmentation du taux de décès, un développement de la maladie et une fragilisation de la société qui vont de pair avec la propagation du VIH.
Qui, selon vous, doit participer à cette action ?
Pendant de nombreuses années, les efforts ont été concentrés sur ceux qui sont affectés par le sida – et, très franchement, ces personnes en ont entendu plus qu’il n’en faut sur la prévention. La prévention doit toucher des millions d’autres personnes et nous devons nous demander comment sensibiliser ces nouvelles personnes – comment s’assurer le concours des religieux, des syndicats, des chefs traditionnels, des tradipraticiens, des banquiers ? Il nous faut regarder au-delà des communautés VIH habituelles.
Parallèlement, les personnes vivant avec le VIH n’ont jamais été invitées à participer aux efforts de prévention alors qu’elles devraient en être le fer de lance et apporter leur point de vue tout particulier sur cette question.
On entend souvent dire que militer pour la prévention risque de concurrencer les appels en faveur de l’accès au traitement – qu’en pensez-vous ?
Le traitement nous a offert une occasion inégalée d’élargir la prévention. Il s’est avéré efficace et les gens qui sont affectés par le VIH l’ont compris et ont commencé à s’attaquer aux obstacles au traitement. Il y a très peu de personnes qui comprennent les obstacles à l’accès à la prévention et c’est là qu’il faut maintenant agir.
Je pense que le traitement et la prévention se renforcent fort bien mutuellement. A mon avis, la chose la plus scandaleuse est qu’un très grand nombre de programmes de thérapie antirétrovirale omettent un élément primordial de la prévention, à savoir la fourniture de six préservatifs par semaine qui devraient faire partie de l’ensemble des mesures.
Alors, peut-on dire que ceux qui militent pour un accès au traitement ont aussi un rôle important à jouer dans l’initiative ‘S’unir pour prévenir le VIH’ ?
Je pense qu’ils ont probablement le rôle le plus important car nous connaissons le coût du traitement et les coûts futurs que cela induira si la prévention ne fait pas l’objet d’un élargissement et d’une intensification massifs. Si l’on prend l’Afrique du Sud, par exemple, cela va coûter au pays près de 5 milliards de dollars par an d’ici 10 ans, rien que pour les traitements. C’est là une somme considérable et, à long terme, les familles et les systèmes de santé ne pourront pas faire face. Nous ne voulons pas vivre dans une situation d’urgence sanitaire permanente au sein de nos systèmes de soins et de notre société. Ainsi, je pense que ceux qui militent pour l’accès au traitement devraient mieux comprendre à quel point il est nécessaire d’élargir et d’intensifier la prévention.
Si vous aviez un message à faire passer concernant l’initiative ‘S’unir pour prévenir le VIH’, quel serait-il ?
J’aimerais en faire passer deux, premièrement, intensifier sans tarder la prévention de la transmission mère-enfant. Il est regrettable que nous ayons laissé passer l’occasion qui nous avait été donnée d’intensifier les soins de santé et les services prénatals pour toutes les femmes. Deuxièmement, tout le monde doit prendre conscience qu’il ne s’agit pas d’un combat à court terme et qu’il nous faut donc tous nous préparer à une lutte de longue haleine en lisant, en étudiant et en agissant en fonction des connaissances que nous acquérons, et ce, de toute urgence.
Liens:
Ecouter des extraits de l’entretien avec Zackie Achmat (en anglais)
Davantage d’informations sur ‘S’unir pour prévenir le VIH’
Read Press Release: Uniting for Prevention ( en | es | fr | ru ) (pdf, 38.6 KB | 50.5 KB | 58.8 KB | 171 KB)
Consulter le site Internet de la Treatment Action Campaign (TAC) (en anglais)
Related
Cities leading the way to achieving key targets in the HIV response

27 septembre 2023

Feature Story
UN General Assembly meets on AIDS
23 mai 2007
23 mai 2007 23 mai 2007
At the 61st session of the General Assembly, United Nations Secretary-General Ban Ki-moon confirmed his support to the AIDS response promising to ensure that the international community remains united against the epidemic. “In some way or another, we all live with HIV. We are all affected by it. We all need to take responsibility for the response,” he said. His remarks were heard by UN Member States as he delivered a statement during the review of the progress made towards universal access to HIV prevention, treatment, care and support.
Speaking for the first time on the issue of AIDS, the Secretary-General presented his vision on the UN's response to the epidemic, promising that: “AIDS would remain a system-wide priority for the UN”; “the UN would deliver as one on AIDS and would further strengthen the already pioneering coordination efforts of UNAIDS and its Cosponsors”, and that he would “make every effort to mobilize funding for the response to AIDS.”
At the Plenary, The President of the General Assembly Sheikha Haya Rashed Al Khalif gave the opening statement, stressing that AIDS “demands the sustained engagement of the world community” and that there was a need for “those living with HIV and those at greatest risk of infection to be at the centre of the response.” The General Assembly President personally presided over the meeting throughout its entire course.
The plenary concluded with the adoption by consensus of a decision that welcomed the Secretary General’s report and its recommendations.
As part of events surrounding the General Assembly, the Secretary-General met for the first time with his Special Envoys for AIDS—Dr Nafis Sadik for Asia and the Pacific; Sir George Alleyne for Latin America and the Caribbean; Professor Lars Kallings for Eastern Europe and Central Asia, and; Ms. Elizabeth Mataka for Africa, whose appointment was announced that day. A number of specific suggestions were given at the meeting to ensure effective advocacy by the Special Envoys on AIDS issues.
On 21 May, the Secretary-General also met with UN Plus, the advocacy group of UN staff living with HIV. The meeting had a strong impact on the SG. “My perspective has totally changed," he told colleagues. "I have met many people in my life -- presidents, kings, diplomats. But this was one of the most important events of my life. I was very touched by their courage.” The Secretary-General also announced that on his next trip to Asia he would visit an AIDS clinic or a similar facility.
Links:
Read UN Secretary-General's speech ( en | fr ) (pdf, 31 KB | 22,3 KB)
Read statement by General Assembly's President (pdf, 28,9 KB)
Read UNAIDS statement on appointment of new Special Envoy (pdf, 25,6 KB)
Read Press Release ( en | fr | es | ru ) (pdf, 28,9 KB | 51 KB | 40,7 KB | 168 KB)
Read Media Advisory (pdf, 92 Kb)
Download UN Secretary-General's progress report (pdf, 240 Kb)
Read more about the UN Secretary-General's meeting with the UN Plus group