Press Release

L’ONUSIDA et l’hôtel InterContinental Genève lancent une nouvelle campagne pour que les enfants puissent tous naître sans le VIH

La campagne « Là où l’histoire s’écrit » invite les hôtes à participer à l’histoire et à faire un don pour une génération sans sida

GENÈVE, 16 décembre 2013 – L’ONUSIDA et l’hôtel InterContinental Genève s’unissent au sein d’un partenariat public-privé pour promouvoir l’action afin que les enfants puissent tous naître sans le VIH, que leurs mères puissent avoir accès à des médicaments vitaux et que les enfants séropositifs puissent tous vivre en bonne santé.

Les pays se sont engagés à éliminer les nouvelles infections à VIH chez les enfants à l’horizon 2015. Bien que des progrès majeurs aient été enregistrés – marqués par une diminution de 53 % des nouvelles infections à VIH chez les enfants depuis 2001, des efforts importants restent nécessaires pour aider les pays à atteindre leurs objectifs. En outre, 28 % seulement des enfants ayant besoin d’un traitement ont accès à celui-ci.

« En protégeant les enfants de l’infection à VIH, nous ne faisons pas que sauver des vies, nous investissons aussi pour améliorer la santé future des générations à venir » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Je suis heureux que l’hôtel InterContinental Genève soit notre partenaire en permettant à un plus grand nombre de personnes de s’unir à nos efforts pour qu’il soit possible d’atteindre une génération sans sida ».

L’une des premières initiatives de ce partenariat est le lancement d’une campagne pour sensibiliser et mobiliser des fonds au profit d’une génération sans sida. Annoncée lors d’un événement spécial organisé à l’hôtel le 16 décembre, la campagne « Là où l’histoire s’écrit » invite les hôtes à participer à l’histoire et à faire un don pour une génération sans sida. Le personnel de l’hôtel aura pleinement son rôle à jouer grâce à une formation de sensibilisation au sida et pourra expliquer aux hôtes à quel point il est important de protéger les enfants de l’infection à VIH. Les hôtes pourront participer à la campagne en faisant un don lorsqu’ils quittent l’hôtel ou fréquentent son restaurant ou son bar.

« L’hôtel partage une histoire et entretient des relations de longues date avec l’ONU à Genève et nous sommes enthousiastes d’avoir créé ce partenariat avec l’ONUSIDA » a déclaré Jürgen Baumhoff, Directeur général de l’hôtel InterContinental Genève.

Situé à l’intersection de la ville et des Nations Unies, l’hôtel InterContinental Genève est un lieu incontournable de la ville. Il fêtera son 50ème anniversaire cette année, un demi-siècle pendant lequel il a accueilli les dirigeants du monde et abrité des négociations d’accords historiques et la création de partenariats. La campagne organisée par l’ONUSIDA et l’hôtel InterContinental Genève sera l’une des composantes des célébrations du cinquantenaire de l’hôtel en 2014 et au cœur de cet événement majeur en participant aux efforts engagés pour parvenir à une génération sans sida.

« Si nous voulons construire des sociétés en meilleure santé, il nous faut commencer par les enfants » a déclaré Toumani Diabaté, Ambassadeur international de bonne volonté de l’ONUSIDA, qui s’est produit sur scène à l’occasion du lancement de la campagne. « Nous pouvons tous participer à l’histoire en faisant en sorte que les femmes vivant avec le VIH et leurs enfants aient accès à des services de prévention, de traitement et de prise en charge du virus ».


Contact

ONUSIDA Genève
Sophie Barton-Knott
tel. +41 79 514 6896 / +41 22 791 1697
bartonknotts@unaids.org

Press centre

Download the printable version (PDF)

Press Release

Un nouveau rapport de FCAA et de l’ONUSIDA révèle que les financements philanthropiques destinés à la lutte contre le VIH ont peu évolué ces dernières années

Le rapport contient de nouvelles informations de 40 bailleurs de fonds externes aux États-Unis et à l’Europe

WASHINGTON D.C., LE CAP, GENÈVE, 10 décembre 2013 – Un nouveau rapport de Funders Concerned About AIDS (FCAA), établi avec le soutien de l’ONUSIDA, révèle que 5,4 % (US$ 0,5 milliard) de l’ensemble des financements internationaux destinés à la lutte contre le VIH dans les pays à revenu faible ou intermédiaire proviennent d’organisations philanthropiques. En 2012, les donateurs privés ont versé US$ 636 millions au niveau mondial. Présenté aujourd’hui lors du Sommet sur la philanthropie contre le sida 2013 de FCAA et de la 17ème Conférence internationale sur le sida et les IST en Afrique, ce rapport indique par ailleurs que les financements philanthropiques sont globalement restés stables depuis 2011 (augmentation inférieure à 1 %).

Selon le rapport, cette légère progression est essentiellement attribuable à 40 nouveaux bailleurs de fonds externes aux États-Unis et à l’Europe occidentale et centrale. Si l’on exclut les financements de ces entités, les organisations philanthropiques basées aux États-Unis et dans l’Union européenne ont réduit leurs financements de US$ 33 millions (5 %) depuis 2011. Les financements philanthropiques totaux sont globalement restés au même niveau depuis 2007 et demeurent très sensibles aux contributions du plus important donateur mondial de la lutte contre le VIH/sida – la Fondation Bill et Melinda Gates (Fondation Gates). Selon les prévisions américaines et européennes, les financements privés de la riposte au sida n’augmenteront sans doute pas en 2013.

« Nous sommes très heureux de souligner l’action et l’impact de 40 nouveaux partenaires potentiels dans la riposte philanthropique au VIH/sida » a déclaré John Barnes, Directeur exécutif de FCAA. « Cependant, la prise en compte de ces nouvelles sources de financement dans le rapport masque un recul préoccupant des contributions des organisations basées aux États-Unis et dans l’Union européenne. Une approche de financement « lente et régulière » ne permettra pas de fournir les ressources nécessaires pour pouvoir relever les défis actuels de la riposte au sida ».

Autres conclusions majeures :

  • Les financements d’organisations philanthropiques américaines ont totalisé US$ 467 millions en 2012 (-3 % par rapport à 2011). Sept bailleurs de fonds importants – dont la Fondation Gates (qui est à l’origine de la moitié du total des financements américains) – ont fortement réduit leurs contributions (US$ 1 m-US$ 18mil) du fait des fluctuations annuelles des cycles de subventionnement et de la réorientation des financements vers d’autres domaines de la santé.
  • Parmi les organisations philanthropiques de l’Union européenne, le total des financements de 2012 a atteint US$147 millions (-6 % par rapport à 2011), ce qui confirme une diminution régulière sur trois ans depuis 2009. La réduction des financements de la majorité des bailleurs de fonds de l’Union européenne entre 2011 et 2012 résulte en partie des fluctuations annuelles des cycles de subventionnement, ou d’un processus d’examen des stratégies, plutôt que d’une réallocation des financements au détriment de la riposte au VIH.
  • Pour la première fois en 2013, FCAA a conduit une étude pour identifier des donateurs philanthropiques susceptibles de soutenir la lutte contre le VIH basés en dehors des États-Unis et de l’Europe occidentale et centrale. Des enquêtes et d’autres travaux de recherche ont permis d’obtenir des données de 40 bailleurs de fonds de 13 pays qui ont contribué aux financements philanthropiques de la riposte au sida à hauteur d’environ US$ 38 millions en 2012.

« On ressent une solidarité mondiale manifeste pour que la riposte au sida progresse afin de parvenir à une génération sans sida » a déclaré Luiz Loures, Directeur exécutif adjoint de la branche Programme de l’ONUSIDA. « L’ONUSIDA continue d’inciter vivement tous les partenaires à rechercher des moyens innovants pour garantir des sources de financement accrues et pérennes afin de nous permettre d’atteindre tous ceux qui ont besoin de services vitaux de prise en charge du VIH ».

Le rapport a été publié parallèlement à des nouvelles selon lesquelles les financements de la riposte au sida dans les pays à revenu faible ou intermédiaire provenant des gouvernements donateurs ont totalisé US$ 7,86 milliards en 2012, niveau pratiquement inchangé depuis 2008. Selon l’ONUSIDA, les ressources disponibles pour la lutte contre le VIH ont totalisé US$ 18,9 milliards en 2012, ce qui représente une insuffisance de US$ 3-5 milliards par rapport à ce qui est nécessaire pour atteindre l’objectif de US$ 22-24 milliards. Le Cadre d’investissement de l’ONUSIDA destiné à optimiser l’utilisation des ressources montre qu’on pourrait éviter 4,2 millions de nouvelles infections à VIH et 1,9 million de décès liés au sida, et que 15 millions de personnes pourraient avoir accès au traitement contre le VIH si les financements étaient augmentés à US$ 24 milliards d’ici à 2015.

Bien que les financements philanthropiques fournis aux pays à revenu faible ou intermédiaire ne représentent que 5 % environ de l’ensemble des financements philanthropiques internationaux alloués à la riposte au sida, FCAA et l’ONUSIDA soulignent que, du fait de leur indépendance, les organisations philanthropiques ont un rôle de catalyseur à jouer dans ce combat. Les financements philanthropiques sont souvent consacrés à des domaines essentiels grâce au plaidoyer et servent à soutenir les populations clés (telles que les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les consommateurs de drogues et les professionnel(le)s du sexe) dont les besoins sont rarement couverts par d’autres sources de financement.

Le rapport annuel de suivi des ressources de FCAA, établi avec le soutien de l’ONUSIDA, entend informer les parties prenantes de la répartition et des tendances globales des fonds philanthropiques mondiaux alloués à la riposte au sida. Les données financières sont largement tirées d’enquêtes auprès des bailleurs de fonds ainsi que d’examens complémentaires des bases de données sur les subventions et de listes de subventions des bailleurs de fonds. Les données ont été obtenues pour près de 300 organisations considérées comme représentatives de la grande majorité des organisations philanthropiques privées qui financent la riposte au VIH/sida.

Télécharger le rapport Global Philanthropic Support to Address HIV/AIDS in 2012 (Soutien des organisations philanthropiques mondiales pour lutter contre le VIH/sida en 2012) à l’adresse : http://www.fcaaids.org/resourcetracking (en anglais)


Contact

ONUSIDA Genève
Sophie Barton-Knott
tel. +41 79 514 6896 / +41 22 791 1697
bartonknotts@unaids.org
FCAA
Sarah Hamilton
tel. +1 509 336 9240
sarah@fcaaids.org

Press centre

Download the printable version (PDF)

Mettre à jour

Ouverture au Cap de la plus grande conférence africaine sur le sida

08 décembre 2013

Des délégués du monde entier se sont réunis au Cap, Afrique du Sud, le 6 décembre pour le démarrage de la 17e Conférence internationale sur le sida et les infections sexuellement transmissibles en Afrique (ICASA). La conférence de 5 jours se tient sur une note de tristesse alors que le monde pleure le décès de Nelson Mandela qui est considéré comme le plus grand Homme d'État de l'Afrique.

Le Vice-président d'Afrique du Sud, Kgalema Motlanthe, a souhaité la bienvenue dans son pays aux participants et a rendu un hommage appuyé à l'ancien président Nelson Mandela par ces paroles « Sa stature plus grande que la vie, sa diplomatie, sa simplicité, son humour contagieux et sa résolution inflexible de voir par le rêve d'une meilleure vie pour toute l'humanité nous manqueront." Il a ensuite poursuivi en évoquant les immenses progrès réalisés dans la riposte au sida et a déclaré “Investir pour une bonne santé devrait être considéré comme une obligation de développement pour et en soi. »

Le thème de la conférence de cinq jours est « Maintenant plus que jamais : objectif zéro » ; il a été sélectionné pour souligner les progrès réalisés dans toute l'Afrique en intensifiant les traitements du VIH, mais également la nécessité de redoubler les efforts pour éviter toute nouvelle infection à VIH. Plus de 5 000 représentants de groupes politiques, multilatéraux et de la société civile, ainsi que des scientifiques, des jeunes et des militants participent à la conférence.

Les intervenants à la cérémonie d'ouverture incluaient : le Directeur exécutif de l'ONUSIDA, Michel Sidibé, la Première dame de Zambie, Christine Kaseba-Sata, la chanteuse reconnue, militante et Ambassadrice itinérante de l'ONUSIDA, Annie Lennox, la coordinatrice mondiale du Plan présidentiel américain d'aide d'urgence à la lutte contre le sida, Deborah von Zinkselnagel, le professeur Robert Soudré, Président de la Société africaine anti-sida, le professeur Ian Sanne, Président directeur général de Right to Care et Cyriaque Ako, spécialiste de santé de l'organisation African Men for Sexual Health and Rights (AMSHeR).

La cérémonie d'inauguration présente également des spectacles culturels de stars africaines, y compris le premier artiste transgenre connu d'Angola, Titica, qui est Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA. Plus tôt, Madame Lennox et Monsieur Sidibé ont inauguré le village communautaire culturel qui présente des stands d'information et d'artisanat réalisé par des personnes vivant avec le VIH et des groupes communautaires.

Quotes

« L'Afrique ne devrait pas avoir peur d'en appeler à stopper le sida en réalisant notre rêve des trois zéros comme un objectif séparé sur l'agenda de développement post-2015 car le sida est une affaire qui n'est pas encore bouclée. Je pense que d'ici 2030 nous pouvons stopper le sida. Oui, le VIH peut être avec nous dans le futur jusqu'à ce que nous arrivions à mettre en place une cure ou un vaccin, mais la maladie qui provoque le VIH ne doit pas être avec nous. »

Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA

« La subordination des femmes africaines créée une vulnérabilité aux infections à VIH par la dépendance économique, le manque de biens et le manque de protection contre les points de vue et l'exploitation. »

La Première dame de Zambie et la Vice-présidente de l'Organisation des Premières dames d'Afrique contre le VIH/sida (OPDAS), Christine Kaseba-Sata

« Il est temps que les leaders dans tout le continent africain, et les leaders d'ailleurs, s'engagent à prendre des actions concrètes pour stopper la violence contre les femmes et les enfants en mettant en œuvre des politiques qui aboutissent à des changements. »

Annie Lennox, Ambassadrice itinérante de l'ONUSIDA

Représentant la société civile lors de l'ouverture, M. Ako déclare que les personnes les plus exposées au VIH sont celle les plus exposées à des condamnations juridiques et il ajoute « Je suis là en tant qu'homosexuel et personne vivant avec le VIH. Ma communauté m'a demandé de vous dire que nos problèmes ne sont pas correctement exposés. »

Cyriaque Ako, spécialiste de santé de l'organisation African Men for Sexual Health and Rights

Mettre à jour

Annie Lennox, Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA, rend hommage à Nelson Mandela lors de sa visite en Afrique du Sud

07 décembre 2013

Annie Lennox, Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA, est en Afrique du Sud pour souligner les progrès et défis dans la riposte au sida. Lors de sa visite, elle rend un hommage à l'ancien Président Nelson Mandela.

Madame Lennox a été informée des bénéfices relatifs aux traitements du VIH précoces dans la prévention du sida pédiatrique lors d'une visite de l'unité de recherches cliniques des maladies infectieuses des enfants (KID CRU) au Tygerberg Children’s Hospital. Elle a rencontré des patients ainsi que leurs familles et regardé un spectacle donné par un groupe communautaire chantant un hommage dédié au Président Mandela.

Au Desmond Tutu HIV Foundation Youth Centre dans la communauté de Masiphumelele, Madame Lennox a pu se rendre compte comment un environnement taillé sur mesure pour les besoins des jeunes peut changer leurs vies. Le centre fournit des services de santé adaptés aux jeunes ainsi que l'éducation et les loisirs. Madame Lennox s'est entretenue avec de jeunes mères sur leurs défis et leurs rêves et a écouté un enregistrement tonique d'un groupe d'adolescents.

Les visites sur le terrain étaient particulièrement significatives et symboliques pour Madame Lennox car, il y a tout juste dix ans, elle a pris l'initiative d'attirer l'attention sur l'épidémie de VIH après sa première rencontre émouvante avec le Président Mandela.

Dans son rôle d'Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA, Madame Lennox participera à la 17e Conférence internationale sur le sida et les IST en Afrique (ICASA) et prendra la parole lors de différents événements de haut niveau. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA, avec environ 7 000 scientifiques leaders de par le monde, décideurs politiques, militants et personnes vivant avec le VIH participeront à la conférence de 5 jours qui début le 7 décembre.

Quotes

« Nelson Mandela est l'une des personnalités les plus significatives que la planète ait jamais vue pour changer la donne sur un plan historique, politique et social. En tant que telle, son décès laisse un vide énorme. Avant de quitter la vie publique il a déclaré "C'est dans vos mains", nous défiant tous pour mettre en œuvre des questions urgentes des droits de l'homme et de la justice sociale. Si nous voulons profiter de l'héritage qu'il a donné à l'Afrique du Sud et au monde et le maintenir, alors nous devons être proactifs et non indifférents. »

Annie Lennox, Ambassadeur itinérant de l'ONUSIDA et chanteur-compositeur

« Le Desmond Tutu HIV Foundation Youth Centre aide la jeunesse a être confiante et à reconnaitre les talents qu'ils ne savaient pas détenir. »

Ane Lisa, une jeune au Desmond Tutu HIV Foundation Youth Centre

Feature Story

Le président du Hanergy Holding Group souligne le rôle du secteur privé chinois dans la riposte au sida

05 décembre 2013

Le rôle significatif que peut jouer le secteur privé chinois dans la riposte au sida a été mis en avant lors de la récente visite au siège de l'ONUSIDA à Genève de Li Hejun, président du Hanergy Holding Group, une multinationale leader dans l'énergie propre.

M. Li, qui est également vice-président de la Fédération chinoise de l'industrie et du commerce, a été reçu le 12 novembre par Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. Les deux leaders ont eu diverses discussions sur la meilleure manière de renforcer et élargir l'implication du secteur privé dans une riposte efficace contre le VIH. Ils ont également débattu du futur de la responsabilité sociale mondiale.

Hanergy accueille également la China Red Ribbon Foundation. Par ailleurs, M. Li a exprimé sa volonté de renforcer activement l'engagement de sa société dans la riposte au sida et de coopérer avec l'ONUSIDA dans le domaine de la santé et du développement international.

Quotes

« Au-delà de promouvoir le développement des activités dans le secteur de l'énergie propre, Hanergy est engagé à contribuer de manière active à la riposte au sida. Nous entreprendrons un rôle clé dans les domaines de la responsabilité sociale mondiale pour les communautés locales en Chine et en Afrique. »

Li Hejun, président de Hanergy Holding Group

« Le président Li Hejun est un exemple qui force l'inspiration du rôle unique du secteur privé pour aider à stopper l'épidémie de sida. »

Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA

Feature Story

Consolider le potentiel de l'évolution de la riposte au sida comme une force pour la justice sociale, l'égalité et la santé mondiale post-2015

04 décembre 2013

Une consultation sur le futur du VIH, de la santé et du développement a eu lieu lors des Journées européennes du développement les 27-28 novembre à Bruxelles. La consultation faisait partie de la série de dialogues régionaux organisée par la Commission de l'ONUSIDA et du Lancet : Du sida à la santé durable.

Le principal message émergeant de la réunion était la nécessité de consolider l'expérience de la riposte au sida comme une force d'évolution pour la justice sociale, l'égalité et la santé mondiale post-2015. Les participants ont souligné l'importance de mettre les communautés marginalisées et vulnérables au centre des ripostes contre le VIH et d'intégrer le VIH, la santé et les droits de l'homme dans les mesures de développement après 2015.

Participants

Animé par le Député européen Michael Cashman, le panel comprenait Jacquelyne Alesi, Directrice des programmes, Réseau des jeunes vivant avec le VIH/sida en Ouganda ; Ann-Sofie Nilsson, Directrice générale pour la Coopération au développement international, Suède ; Siddharth Chatterjee, Chef diplomate de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge ; MacDonald Sembereka, Conseiller spécial du président du Malawi et Baba Gumbala, Alliance internationale contre le VIH/sida. Des députés africains, des acteurs du développement européen, de la société civile, des universitaires, des représentants de gouvernements et autres on assisté à la réunion.

Résultats

Les principales questions discutées seront transmises aux présidents des commissions des trois groupes de travail dont les rapports finaux formeront les recommandations à la Commission ONUSIDA-Lancet qui seront publiées dans Le Lancet en 2014.

Quotes

« La jeunesse représente la nature intergénérationnelle des familles – ils relient les générations plus âgées et sont le chemin vers le futur. Investir dans la jeunesse est une chose raisonnable à faire pour garantir des résultats durables en matière de santé. »

Siddharth Chatterjee, Chef diplomate de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge

« Pour atteindre "l'objectif zéro" nous devons changer notre attitude envers le sida et les personnes vivant avec le VIH. Nous devons combattre la stigmatisation et la discrimination, assurer une éducation sexuelle complète et garantir une participation et une implication significatives des jeunes et des personnes vivant avec le VIH dans tous les aspects de prise de décision. »

Jacquelyne Alesi, Directrice des programmes, Réseau des jeunes vivant avec le VIH/sida en Ouganda

« Nous avons besoin d'une architecture plus simple qui se focalise sur la santé plutôt que sur les maladies, mais nous devons également conserver ce qui fonctionne. La riposte au sida a largement contribué à l'architecture actuelle en incluant le point de vue des droits de l'homme sur la santé, l'engagement fort de la société civile, la demande de responsabilisation et la réponse multisectorielle. »

Anne-Sofie Nilsson, Directrice générale pour la Coopération au développement international

« En tant que donateurs et gouvernements, multilatéraux, parlementaires et société civile, nous devons mettre le sida, la santé et les droits de l'homme en bonne place dans l'agenda post-2015. Il est essentiel de préserver et consolider la force de l'évolution de la riposte au sida et faire progresser la justice sociale et la santé mondiale dans l'agenda post-2015. C'est une question de vie et de mort - et de droits ! »

Michael Cashman, Député européen

« Stopper le sida peut seulement se faire si les gouvernements prennent des mesures pour lutter contre les obstacles de la stigmatisation et de discrimination qui empêchent les personnes d'accéder aux traitements et soins dont ils ont besoin. »

Révérend MacDonald Sembereka, Conseiller spécial du président du Malawi

Feature Story

Les États-Unis font preuve d'un engagement ferme et courageux dans la riposte au sida

03 décembre 2013

Alors que les dirigeants internationaux se réunissent aux États-Unis pour réaffirmer leurs engagements à l'occasion de la conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial), l'ONUSIDA appelle à donner à cet événement une issue positive pour veiller à ce que personne ne soit laissé de côté.

Les États-Unis accueillent cette importante conférence de reconstitution des ressources, lesquelles permettront d'assurer le financement des programmes de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme du Fonds mondial de 2014 à 2016. À la veille de la réunion, le Président des États-unis, Barack Obama, a souhaité la bienvenue aux responsables internationaux lors d'une réception exceptionnelle organisée à la Maison blanche à Washington DC.

À cette occasion, le Président a annoncé que les États-Unis avaient accompli, voire même dépassé sur certains points, les objectifs fixés par le Plan présidentiel américain d'aide d'urgence à la lutte contre le sida (PEPFAR). Ces objectifs, définis en 2011, portaient notamment sur l'ouverture de l'accès au traitement antirétroviral pour 6 millions de personnes vivant avec le VIH. Le Président Obama a annoncé que les États-Unis aidaient actuellement 6,7 millions de personnes à accéder à ce traitement vital.

En tant que représentant du pays hôte, le Président Obama a également appelé les autres responsables internationaux à soutenir pleinement les efforts mondiaux pour mettre fin à l'épidémie de sida et déclaré que les États-Unis donneront 1 dollar pour 2 dollars promis au Fonds mondial par les autres donateurs sur les trois prochaines années (soit jusqu'à 5 milliards de dollars).

Quotes

« Les États-Unis d'Amérique resteront le leader mondial de la lutte contre le VIH. Nous serons à vos côtés tout au long de ce parcours jusqu'au jour où nous saurons que toutes les femmes et tous les hommes pourront se protéger de l'infection ; le jour où toutes les personnes vivant avec le VIH pourront accéder aux traitements qui prolongent leur vie ; le jour où plus aucun enfant ne naîtra avec le VIH et où nous aurons réussi à accomplir, après tout ce temps, ce qui autrefois restait difficile à imaginer : une génération sans sida. »

Barack Obama, Président des États-Unis

« Des engagements accrus de la part de nos partenaires du Fonds mondial devraient apporter davantage de confiance... Je me sens extrêmement encouragé par la hausse des investissements du Royaume-Uni, du Danemark, de la Norvège, de la Suède et du Canada, ainsi que de l'Allemagne et de la France. Tous ont étendu leur haut niveau d'engagement. Si tout le monde suit, nous pourrons en faire encore plus pour relever ce défi. »

John Kerry, Secrétaire d'État des États-Unis

« Solidarité, tolérance et résultats, telles sont les valeurs du leadership mondial sur le sida. L'engagement sans faille du Président Obama augmente les chances de parvenir à une génération sans sida dans un avenir proche. »

Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA

Press Release

L’ONUSIDA et Daw Aung San Suu Kyi lancent la campagne #zerodiscrimination en Australie

Annonce d’une nouvelle journée internationale pour une discrimination zéro

Melbourne, 1er décembre 2013—À l’occasion de la Journée mondiale sida 2013, le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) et la lauréate du Prix Nobel de la Paix et ambassadrice mondiale de l’ONUSIDA pour la discrimination zéro Daw Aung San Suu Kyi lancent la campagne mondiale #zerodiscrimination, qui appelle à une transformation mondiale. L’initiative lancera la nouvelle Journée Zéro Discrimination le 1er mars 2014, et adoptera le papillon comme le symbole de la transformation pour une discrimination zéro.

« Je crois à un monde où chacun puisse éclore et s’épanouir. Nous pouvons tous faire la différence en tendant la main et en permettant aux individus de vivre une vie dans la dignité, indépendamment de qui ils sont, » a déclaré Daw Aung San Suu Kyi. « J’invite chacun à s’ouvrir, à faire changer les choses et à mettre fin à la discrimination. »

Daw Aung San Suu Kyi et le Directeur exécutif de l’ONUSIDA Michel Sidibé ont annoncé la campagne pour une discrimination zéro pendant une manifestation lors de la Journée mondiale sida à Melbourne (Australie).

« En tant que communautés et qu’individus, nous devons continuer d’agir pour réduire la transmission du VIH et faire en sorte que les personnes vivant avec le VIH puissent participer pleinement à la vie de la communauté, sans faire l’objet de stigmatisation et de discrimination, » a déclaré le Ministre de la Santé australien, Son Excellence Monsieur Peter Dutton.

« Nous reconnaissons que parvenir à zéro nouvelle infection à VIH et zéro décès lié au sida sera impossible si nous ne nous efforçons pas d’atteindre zéro discrimination, » a noté M. Sidibé. « Lors de la Journée Zéro Discrimination, nous célébrerons les droits de chacun à vivre une vie pleine et productive dans la dignité. »

La discrimination peut affecter la vie des gens de bien des façons.

Pour la riposte au sida, la discrimination à l’encontre des personnes vivant avec le VIH et des populations clés les plus exposées au risque de VIH constitue un obstacle majeur à l’élargissement des services de lutte contre le VIH. Des enquêtes menées au niveau des pays ont révélé que, selon les rapports, une personne sur sept vivant avec le VIH s’était vu interdire l’accès aux soins de santé et que plus d’une personne sur dix vivant avec le VIH s’était vu refuser un emploi à cause de son statut VIH.

Daw Aung San Suu Kyi a enregistré un message d’intérêt public qui déclare « Ouvrez-vous, tendez la main. Ensemble nous pouvons parvenir à zéro discrimination. » Grâce à ce message, à une page web sur la campagne, et à des activités de sensibilisation dans les médias sociaux, la campagne demande aux personnes du monde entier de se joindre à la conversation et d’agir.

La phase initiale de l’initiative se poursuivra jusqu’au 10 décembre – Journée internationale des droits de l’homme – et créera ensuite une dynamique au cours du mois qui précédera la Journée Zéro Discrimination.

 

En 2012, on estime que :

             35,3 millions [32,2 millions – 38,8 millions] de personnes dans le monde vivaient avec le VIH

             2,3 millions [1,9 million – 2,7 millions] de personnes ont été nouvellement infectées par le VIH

             1,6 million [1,4 million – 1,9 million] de personnes sont décédées de maladies liées au sida


Contact

ONUSIDA Genève
Saya Oka
tel. +41 22 791 1552
okas@unaids.org

Press centre

Download the printable version (PDF)

Feature Story

Le Président Goodluck Jonathan demande à tous les Nigérians de « prendre leurs responsabilités » et de faire un test de dépistage du VIH

01 décembre 2013

Dans une déclaration à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, S.E. Goodluck Jonathan, Président de la République fédérale du Nigéria, a présenté le plan de son gouvernement pour accélérer la riposte au sida de son pays avec son leadership et son engagement. « Aucun Nigérian ne devrait plus mourir du sida, ils doivent prendre leurs responsabilités et faire un test de dépistage du VIH », a déclaré le Président Jonathan.

Une nouvelle initiative nationale pour le dépistage du VIH auprès de 30 millions de personnes en 2014 a été lancée par le Ministre fédéral de la Santé, le Professeur Onyebuchi Chukwu, lors d'une manifestation organisée dans la région de Bwari, un district du territoire de la capitale fédérale nigériane. Selon le gouvernement nigérian, plus de 80 % des hommes et des femmes du pays indiquent n'avoir jamais fait de test de dépistage du VIH. Le Ministre de la Santé a donné l'exemple en faisant un test pour lancer la campagne de dépistage du VIH. Il a été rejoint par le Directeur exécutif adjoint de l'ONUSIDA, le Dr Luiz Loures, et par le Coordonnateur de l'ONUSIDA au Nigéria, le Dr Bilali Camara, qui ont également fait le test afin de marquer le soutien de l'ONUSIDA en faveur de cette campagne de premier plan.

Le Dr Loures s'est porté garant de l'appui total de l'ONUSIDA et de tout le système des Nations Unies auprès du Président Goodluck Jonathan et du gouvernement du Nigéria dans la mise en œuvre du Plan présidentiel complet de riposte au sida lancé plus tôt cette année.

Quotes

« Aucun Nigérian ne devrait plus mourir du sida, ils doivent prendre leurs responsabilités et faire un test de dépistage du VIH. »

Goodluck Jonathan, Président du Nigéria

« Le Plan présidentiel complet de riposte au sida est une priorité pour le gouvernement du Nigéria. »

Professeur Onyebuchi Chukwu, Ministre de la Santé de la République fédérale du Nigéria

« La fin de l'épidémie de sida commence par la connaissance de son état sérologique et l'accès aux services anti-VIH. »

Dr Luiz Loures, Directeur exécutif adjoint de la branche Programme de l'ONUSIDA

Press Statement

Plus de 850 000 nourrissons ont été sauvés du VIH depuis 2005, mais on constate des tendances inquiétantes chez les adolescents

Un rapport de l’UNICEF montre qu’il est possible de faire baisser de moitié les nouvelles infections chez les adolescents si l’on augmente les investissements et qu’on les cible mieux

NEW YORK, le 29 novembre 2013Un nouveau rapport publié aujourd’hui par l’UNICEF montre les progrès considérables qui ont été réalisés pour prévenir la transmission du VIH de la mère à l’enfant : plus de 850 000 nouvelles infections ont été évitées chez des nouveau-nés entre 2005 et 2012 dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

Cependant, le nouveau rapport 2013 « Enfants et SIDA – Un  bilan de la situation » tire la sonnette d’alarme en ce qui concerne les adolescents et affirme qu’il est nécessaire de redoubler d’efforts, aux niveaux national et international, pour lutter contre le VIH et le SIDA dans ce groupe d’âge vulnérable.

Les décès liés au SIDA chez les adolescents de 10 à 19 ans sont passés de 71 000 en 2005 à 110 000 en 2012, une augmentation de 50 pour cent qui contraste fortement avec les progrès accomplis pour prévenir la transmission du virus de la mère à l’enfant. Environ 2,1 millions d’adolescents vivaient avec le VIH en 2012.

Or, avec des fonds supplémentaires et davantage d’investissements dans l’innovation, on pourrait surmonter beaucoup d’obstacles, estime le rapport.

Selon une nouvelle analyse figurant dans le rapport, si l’on investit davantage dans les interventions à impact fort pour arriver à 5,5 milliards de dollars d’ici 2014, deux millions d’adolescents, et surtout d’adolescentes, pourraient éviter l’infection d’ici 2020. En 2010, les investissements s’élevaient à 3,8 milliards de dollars.

« Si l’on transpose à plus grande échelle les interventions à fort impact dotés d’une approche intégrée, nous pouvons faire diminuer de moitié le nombre de nouvelles infections chez les adolescents d’ici 2020, a déclaré M. Anthony Lake, Directeur général de l’UNICEF. Il importe de toucher de toute urgence les adolescents les plus vulnérables par le biais de programmes efficaces. »

Par interventions à fort impact, on entend entre autres les préservatifs, les traitements antirétroviraux, la prévention de la transmission du virus de la mère à l’enfant, la circoncision masculine médicalisée volontaire, les programmes de communication pour modifier les comportements, ainsi que des approches ciblées pour les populations à risque ou marginalisées. Ceci vient s’ajouter aux investissements à faire dans d’autres secteurs comme l’éducation, la protection et l’assistance sociales et le renforcement des systèmes de santé.

Contrairement à ce qui se passe chez les adolescents, on a fait des progrès impressionnants en matière de prévention des nouvelles infections au VIH chez les nouveau-nés. Quelque 260 000 enfants ont été infectés par le VIH en 2012, alors qu’ils étaient 540 000 en 2005.

« Le rapport nous rappelle qu’une génération affranchie du SIDA, c’est une génération où aucun enfant ne contracte le virus, que ce soit à la naissance ou tout au long de sa vie. Cela veut dire aussi que tout enfant vivant avec le VIH doit avoir accès à un traitement, a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur général d’ONUSIDA. Il nous rappelle aussi que la santé et le bien-être des femmes doivent être au cœur des interventions contre le SIDA. Je ne doute pas que nous atteindrons ces objectifs. »

Grâce à un nouveau traitement antirétroviral simplifié à prendre à vie (appelé Option B+), il devient plus facile de soigner efficacement les femmes vivant avec le VIH et d’empêcher qu’elles ne transmettent le virus à leurs bébés au cours de la grossesse de l’accouchement ou de l’allaitement. Le traitement consiste en une prise quotidienne d’un seul cachet.

« À l’heure actuelle, si une femme enceinte vit avec le VIH, cela ne veut pas dire que son bébé doit subir le même sort ni qu’elle ne peut pas mener une vie saine », a dit M. Lake.

Ce sont des pays d’Afrique subsaharienne à forte prévalence d’infections au VIH qui ont connu les succès les plus remarquables. De 2009 à 2012, les nouvelles infections chez les nouveau-nés ont baissé de 76 pour cent au Ghana, 58 pour cent en Namibie, 55 pour cent au Zimbabwe, 52 pour cent au Malawi et au Botswana, et 50 pour cent en Zambie et en Éthiopie.

Le nouveau rapport insiste aussi sur le fait que pour arriver à une génération sans SIDA, un nombre plus important d’enfants vivant avec le VIH devront recevoir un traitement antirétroviral. Seuls 34 pour cent des jeunes vivant avec le VIH dans les pays à revenu faible ou intermédiaire ont reçu le traitement dont ils avaient besoin en 2012, contre 64 pour cent des adultes. C’est pourquoi quelque 210 000 enfants sont décédés de maladies liées au SIDA cette année-là.

Des innovations et de nouvelles façons de travailler rendent le dépistage et le traitement plus accessibles, plus économiques et plus efficaces. On peut citer par exemple l’utilisation des téléphones mobiles en Zambie et au Malawi pour recevoir rapidement les résultats d’un test de dépistage du VIH. Cela a permis à des mères de recevoir le diagnostic de leur bébé bien plus rapidement que si les résultats avaient été livrés à la main.

Le défi, à présent, c’est de tirer parti des connaissances actuelles, de continuer à se concentrer sur les enfants et adolescents les plus vulnérables et marginalisés et de chercher de nouvelles possibilités et innovations, tout cela avec des ressources limitées à utiliser avec le plus d’efficacité possible.

« Nous avons maintenant l’expérience et les outils nécessaires pour arriver à une génération sans SIDA, a affirmé M. Lake. Les enfants devraient être les premiers à bénéficier de nos réussites dans la lutte contre le VIH et les derniers à souffrir de nos échecs. »

Le rapport sera disponible à l’adresse suivante : www.childrenandaids.org

À l’attention des organismes de l’audio-visuel : on trouvera des reportages vidéo et des images non montées en provenance du Botswana, de Côte d’Ivoire et du Malawi à l’adresse suivante : http://weshare.unicef.org/mediaresources

Note aux rédactions :

  • À propos du traitement antirétroviral à vie simplifié (Option B+) :

L’UNICEF appuie les pays qui font la transition vers la nouvelle thérapie antirétrovirale à vie simplifiée (Option B+) pour toutes les femmes enceintes vivant avec le VIH. Ce nouveau traitement consiste en une seule pilule par jour (contre six par jour pour le traitement précédent). Il peut être fourni au niveau communautaire, dans des établissements de soins locaux. Il garde les mères en meilleure santé, car elles continuent à le suivre même après avoir donné naissance, pendant l’allaitement et après. Le Malawi a fait œuvre de pionnier en offrant l’Option B+ dès 2011, ce qui a permis un élargissement massif de la couverture de soins tant pour les femmes enceintes que pour les mères allaitantes vivant avec le VIH. En juin 2013, 13 des 22 pays prioritaires du Plan mondial avaient adopté la même politique et offraient un traitement à vie.

  • Les bilans de la situation :

Les rapports « Enfants et SIDA – Un  bilan de la situation » sont les publications-phares de la campagne Unissons-nous pour les enfants, contre le SIDA. L’UNICEF en dirige la production, dans le cadre de son engagement au sein du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA), en collaboration avec ONUSIDA et ses dix autres co-parrains. Le nouveau rapport  « Enfants et SIDA – Un  bilan de la situation » est le premier du genre depuis 2010.

À propos d’ONUSIDA

Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) guide et mobilise la communauté internationale en vue de concrétiser sa vision commune : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » L’ONUSIDA conjugue les efforts de 11 institutions des Nations Unies – le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNODC, ONU Femmes, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Il collabore étroitement avec des partenaires mondiaux et nationaux pour que la riposte au sida donne les meilleurs résultats possibles. Pour en savoir plus, consultez le site unaids.org, et suivez nous sur Facebook et Twitter.

À propos de l’UNICEF

L’UNICEF promeut les droits et le bien-être de chaque enfant, dans tout ce que nous faisons. Nous travaillons dans 190 pays et territoires du monde entier avec nos partenaires pour faire de cet engagement une réalité, avec un effort particulier pour atteindre les enfants les plus vulnérables et marginalisés, dans l’intérêt de tous les enfants, où qu’ils soient.

Suivez nous sur Twitter et Facebook

Pour de plus amples informations, veuillez contacter:

UNICEF Média | Rita Ann Wallace | tél. +1 212 326 7586 | Mobile : 1 917-213-4034 | rwallace@unicef.org

Communications stratégiques UNICEF | Iman Morooka | tél.  +1 212 326 7211 | imorooka@unicef.org

ONUSIDA Genève | Sophie Barton-Knott | tél. +41 22 791 1697 | bartonknotts@unaids.org



Contact

ONUSIDA Genève
Sophie Barton-Knott
tel. +41 79 514 6896 / +41 22 791 1697
bartonknotts@unaids.org

Informations utiles

Informations utiles

 

Press centre

Download the printable version (PDF)

S'abonner à Feature Story